Après s’être entretenus avec les détenues, sur leurs conditions de détention, les jeunes avocats ont pris des engagements d’assister ces femmes en conflit avec la loi. « Ces femmes sont détenues pour diverses infractions allant de l’infanticide, au trafic de drogue et aux infractions de droit commun. La situation d’une détenue sourde-muette a particulièrement attiré notre attention. C’est pourquoi, l’AJAS a pris l’engagement de commettre des avocats pour le suivi des dossiers d’instruction notamment », explique le chargé de communication de l’association, Me Sally Mamadou Thiam. « L’AJAS a également dans le cadre de son programme social, offert des denrées alimentaires et des produits de toilette aux femmes détenues », a ajouté Me Thiam.
Pour rappel, l’Ajas était depuis le lundi 17 février 2020, dans la capitale du sud du pays pour une visite de trois (3) jours. Laquelle, à en croire son président, Me Adama Fall, entrait dans le cadre d’une tournée juridique de promotion des droits de la femme. « A cet effet, nous serons pendant ces 72 heures au chevet des femmes en conflit avec la loi. Ces avocats ont assisté ces femmes détenues à la Mac de Ziguinchor à travers des consultations juridiques sur l’état d’avancement de leurs dossiers, des plaidoiries pour celles qui sont en phase de jugement.»
IGFM
Pour rappel, l’Ajas était depuis le lundi 17 février 2020, dans la capitale du sud du pays pour une visite de trois (3) jours. Laquelle, à en croire son président, Me Adama Fall, entrait dans le cadre d’une tournée juridique de promotion des droits de la femme. « A cet effet, nous serons pendant ces 72 heures au chevet des femmes en conflit avec la loi. Ces avocats ont assisté ces femmes détenues à la Mac de Ziguinchor à travers des consultations juridiques sur l’état d’avancement de leurs dossiers, des plaidoiries pour celles qui sont en phase de jugement.»
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