Bouzy. "C'est le dimunitif de mon prénom et le mon nom de famille", avait-il expliqué sur ce sobriquet. Pourtant, j'avais décidé de l'appeler tonton, du fait de son nom de famille, SY. Comme celui que portait m défunte maman.
Mais, Abou Mamadou Sy Mayi. Abou est parti. Pourtant, ce terme qui signifie la mort était présent sur ces lèvres, jusqu'à la veille de son départ pour ma tournée du Président de la République. On discutait sur le désormais nouveau slogan, Fouta Tampi. "Non, ne dites pas Tampi, mais Mayi", avait rectifié Abou et c'était un fou rire dans la salle.
ABOU MAYANI
Désigné pour couvrir la rencontre amicale internationale de demain samedi entre le Sénégal et la Zambie à Thiès, Abou ne sera pas de la partie. le destin en a décidé autrement. Ce qui devait être son accréditation pour une longue série, restera posthume. Cette accréditation qui risquera de faire très mal à la personne qui se chargera de l'acheminer à la rédaction pour un souvenir qui restera vivace dans les mémoires.
Je ne pourrai dévoiler les choses profondes échangées avant son départ pour l'autre monde, mais je me devais de raconter le peu de temps vécu avec lui et qui est plein d'enseignement.
La volonté qu'il affichait, le sérieux qu'il dégageait ainsi que cette envie de savoir, l'énergie qu'il puisait au fond de lui, chaque jour, montrait combien, ce t homme frêle par l'apparence était capable de transcender tout un groupe. Ayant fait plusieurs rédactions durant mon parcours, celle de Leral, a montré que dans le journalisme, des amitiés réelles, sincères sont possibles dans ce milieu où il est plus facile de créer des ingrats que des amis fidèles.
Mais, Abou Mamadou Sy Mayi. Abou est parti. Pourtant, ce terme qui signifie la mort était présent sur ces lèvres, jusqu'à la veille de son départ pour ma tournée du Président de la République. On discutait sur le désormais nouveau slogan, Fouta Tampi. "Non, ne dites pas Tampi, mais Mayi", avait rectifié Abou et c'était un fou rire dans la salle.
ABOU MAYANI
Désigné pour couvrir la rencontre amicale internationale de demain samedi entre le Sénégal et la Zambie à Thiès, Abou ne sera pas de la partie. le destin en a décidé autrement. Ce qui devait être son accréditation pour une longue série, restera posthume. Cette accréditation qui risquera de faire très mal à la personne qui se chargera de l'acheminer à la rédaction pour un souvenir qui restera vivace dans les mémoires.
Je ne pourrai dévoiler les choses profondes échangées avant son départ pour l'autre monde, mais je me devais de raconter le peu de temps vécu avec lui et qui est plein d'enseignement.
La volonté qu'il affichait, le sérieux qu'il dégageait ainsi que cette envie de savoir, l'énergie qu'il puisait au fond de lui, chaque jour, montrait combien, ce t homme frêle par l'apparence était capable de transcender tout un groupe. Ayant fait plusieurs rédactions durant mon parcours, celle de Leral, a montré que dans le journalisme, des amitiés réelles, sincères sont possibles dans ce milieu où il est plus facile de créer des ingrats que des amis fidèles.
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