Le désistement du juge du premier cabinet dans l'affaire Sweet Beauty, opposant Adji Sarr et Ousmane Sonko, avait suscité moult commentaires, avant que le dossier n'atterrisse sur la table du juge, Samba Sall.
Le juge Mamadou Seck avait évoqué dans sa lettre de désistement des liaisons ethniques pour justifier sa décision de prendre du recul et c'est finalement Samba Sall qui en héritera.
D'ailleurs, c'est dans son bureau que les premiers actes du dossier ont été posés, avec l'entretien capital qu'il a eu avec le leader de Pastef, Ousmane Sonko, qui aura abouti à décanter le contentieux, en rentrant dans le fond des accusations.
Le juge Mamadou Seck avait évoqué dans sa lettre de désistement des liaisons ethniques pour justifier sa décision de prendre du recul et c'est finalement Samba Sall qui en héritera.
D'ailleurs, c'est dans son bureau que les premiers actes du dossier ont été posés, avec l'entretien capital qu'il a eu avec le leader de Pastef, Ousmane Sonko, qui aura abouti à décanter le contentieux, en rentrant dans le fond des accusations.
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