Votre arrivée au même titre que l’ancien maire socialiste de Dakar a suscité des réactions de la part de certains libéraux. Quel est votre appréciation ?
Personnellement, je ne peux parler que de ce qui me concerne. C'est-à-dire ce que je connais en principe le mieux. J’ai décidé, il y a quelques mois de rejoindre le Président de la République pour des raisons que j’ai déjà évoquées. D’abord, Me Wade est un ami de très longue date. Je le connais depuis plus de quarante ans. Ensuite, parce que nous avons d’une certaine façon toujours été en harmonie sur le plan intellectuel. C’est quelqu’un chez qui j’ai toujours décelé une certaine vision et une grande préoccupation pour ce qui concerne l’avenir. On a donc eu, cette espèce de sympathie intellectuelle et une amitié sincère. Ça fait plusieurs années qu’il m’a demandé de travailler avec lui et après avoir bien examiné la situation de ce pays et les efforts énormes qu’il consentit pour faire progresser notre pays, j’ai enfin décidé de le rejoindre dans son gouvernement en tant que ministre d’Etat auprès de lui. Je pense que le Sénégal est à un tournant et un tournant c’est toujours un peu difficile. Mais, je pense qu’en épaulant quelqu’un comme lui, en se mettant à ses côtés, en l’aidant à mieux renforcer la force politique sur laquelle il s’appuie et en l’aidant à réaliser au mieux les projets qu’il a pour ce pays, nous pourrons apporter une contribution importante aussi bien pour lui et surtout pour notre pays le Sénégal. C’est pour l’ensemble de ces raisons que j’ai décidé de le rejoindre.
Dimanche dernier, vous avez organisé un grand meeting dans votre fief de Yen au cours duquel vous avez enregistrés des ralliements pas des moindres. Qu’est ce que cela vous fait ?
Pendant les dix dernières années, je m’étais mis légèrement en retrait de la politique, mais pas complètement. Depuis plus de huit ans, j’anime un club de réflexion politique qui s’appelle «Club de Recherche Prospective 2012» et je m’occupais par ailleurs de beaucoup de questions concernant l’Education, la Formation, la Recherche Scientifique et la Technologie. Et là, j’ai décidé de revenir sur l’espace politique que je connais le mieux. C'est-à-dire, la banlieue de Rufisque. Je pense que certaines personnes se rappelleront que non seulement, j’étais responsable de Yen, mais j’ai dirigé pendant de longues années l’Union Départementale de la Coordination de Rufisque. Mon fief politique, c’était tout le département de Rufisque où j’étais le responsable pendant des années. Pourquoi nous avons tenu un grand meeting à Yen ? C’est parce qu’il y a une grande militante de l’AFP, Astou Ndiaye Faye, qui est vice-présidente du Conseil rural de Yen, qui a décidé de me rejoindre. Dès qu’elle à appris que je travaille aux côtés du Président de la République, Me Abdoulaye Wade, elle a pris la décision de venir me soutenir avec toute son équipe. Il y a également d’autres politiques du parti socialiste et de Rewmi. Comme ils ont tous décidé de soutenir mon action auprès du chef de l’Etat, j’ai accepté l’organisation de ce meeting qui était un meeting de ralliement. Et ceux qui ont assisté à cette grande rencontre ont vu la grande affluence. Il a été une réussite totale, parce qu’il nous a permis de noter désormais qu’il y a un ensemble de personnes bien décidées à revenir en force à la politique pour me soutenir. Le travail ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Nous le poursuivrons au niveau des autres localités comme Bambilor, Sangalkam, Bargny, Sendou, Tivaoune Peulh, Niaga et à Rufisque même, bref sur toute la Petite Côte et sur l’ensemble du territoire national. Parce que, ce qui nous intéresse, c’est apporter notre contribution à l’œuvre du Président Abdoulaye Wade et le soutenir de façon sincère. Et en le soutenant, nous pensons contribuer aussi à l’avancement du Sénégal.
Vous parlez de soutien à Wade, comment envisagez-vous la présidentielle de 2012 ?
Je pense qu’il y aura beaucoup de candidats. Mais, pour le moment, on examine de près tous les prétendants, nous nous sommes assurés que nous avons le meilleur candidat en la personne du Président Abdoulaye Wade. Comme j’ai l’occasion de le rappeler, nous vivons un monde extrêmement difficile, extrêmement complexe. Donc, il faut à la tête des pays qui veulent réussir, des personnes ayant une grande vision, une vision à long terme. Des personnes capables de comprendre aussi bien des problèmes scientifiques, que des problèmes d’ordre social et politique. Il faut aussi des personnes mesurées, des personnes de paix et de dialogue. Et nous trouvons toutes ces qualités dans la personne du Président Abdoulaye Wade. C’est pour cela qu’un travail important devrait être fait par le PDS, ses partis alliés et par le gouvernement. Avec tout cela, nous sommes sûrs que notre candidat sera en meilleur position par rapport à tous les prétendants que nous connaissons au jour d’aujourd’hui.
Propos recueillis par Sékou Dianko DIATTA
source Rewmi.com
Personnellement, je ne peux parler que de ce qui me concerne. C'est-à-dire ce que je connais en principe le mieux. J’ai décidé, il y a quelques mois de rejoindre le Président de la République pour des raisons que j’ai déjà évoquées. D’abord, Me Wade est un ami de très longue date. Je le connais depuis plus de quarante ans. Ensuite, parce que nous avons d’une certaine façon toujours été en harmonie sur le plan intellectuel. C’est quelqu’un chez qui j’ai toujours décelé une certaine vision et une grande préoccupation pour ce qui concerne l’avenir. On a donc eu, cette espèce de sympathie intellectuelle et une amitié sincère. Ça fait plusieurs années qu’il m’a demandé de travailler avec lui et après avoir bien examiné la situation de ce pays et les efforts énormes qu’il consentit pour faire progresser notre pays, j’ai enfin décidé de le rejoindre dans son gouvernement en tant que ministre d’Etat auprès de lui. Je pense que le Sénégal est à un tournant et un tournant c’est toujours un peu difficile. Mais, je pense qu’en épaulant quelqu’un comme lui, en se mettant à ses côtés, en l’aidant à mieux renforcer la force politique sur laquelle il s’appuie et en l’aidant à réaliser au mieux les projets qu’il a pour ce pays, nous pourrons apporter une contribution importante aussi bien pour lui et surtout pour notre pays le Sénégal. C’est pour l’ensemble de ces raisons que j’ai décidé de le rejoindre.
Dimanche dernier, vous avez organisé un grand meeting dans votre fief de Yen au cours duquel vous avez enregistrés des ralliements pas des moindres. Qu’est ce que cela vous fait ?
Pendant les dix dernières années, je m’étais mis légèrement en retrait de la politique, mais pas complètement. Depuis plus de huit ans, j’anime un club de réflexion politique qui s’appelle «Club de Recherche Prospective 2012» et je m’occupais par ailleurs de beaucoup de questions concernant l’Education, la Formation, la Recherche Scientifique et la Technologie. Et là, j’ai décidé de revenir sur l’espace politique que je connais le mieux. C'est-à-dire, la banlieue de Rufisque. Je pense que certaines personnes se rappelleront que non seulement, j’étais responsable de Yen, mais j’ai dirigé pendant de longues années l’Union Départementale de la Coordination de Rufisque. Mon fief politique, c’était tout le département de Rufisque où j’étais le responsable pendant des années. Pourquoi nous avons tenu un grand meeting à Yen ? C’est parce qu’il y a une grande militante de l’AFP, Astou Ndiaye Faye, qui est vice-présidente du Conseil rural de Yen, qui a décidé de me rejoindre. Dès qu’elle à appris que je travaille aux côtés du Président de la République, Me Abdoulaye Wade, elle a pris la décision de venir me soutenir avec toute son équipe. Il y a également d’autres politiques du parti socialiste et de Rewmi. Comme ils ont tous décidé de soutenir mon action auprès du chef de l’Etat, j’ai accepté l’organisation de ce meeting qui était un meeting de ralliement. Et ceux qui ont assisté à cette grande rencontre ont vu la grande affluence. Il a été une réussite totale, parce qu’il nous a permis de noter désormais qu’il y a un ensemble de personnes bien décidées à revenir en force à la politique pour me soutenir. Le travail ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Nous le poursuivrons au niveau des autres localités comme Bambilor, Sangalkam, Bargny, Sendou, Tivaoune Peulh, Niaga et à Rufisque même, bref sur toute la Petite Côte et sur l’ensemble du territoire national. Parce que, ce qui nous intéresse, c’est apporter notre contribution à l’œuvre du Président Abdoulaye Wade et le soutenir de façon sincère. Et en le soutenant, nous pensons contribuer aussi à l’avancement du Sénégal.
Vous parlez de soutien à Wade, comment envisagez-vous la présidentielle de 2012 ?
Je pense qu’il y aura beaucoup de candidats. Mais, pour le moment, on examine de près tous les prétendants, nous nous sommes assurés que nous avons le meilleur candidat en la personne du Président Abdoulaye Wade. Comme j’ai l’occasion de le rappeler, nous vivons un monde extrêmement difficile, extrêmement complexe. Donc, il faut à la tête des pays qui veulent réussir, des personnes ayant une grande vision, une vision à long terme. Des personnes capables de comprendre aussi bien des problèmes scientifiques, que des problèmes d’ordre social et politique. Il faut aussi des personnes mesurées, des personnes de paix et de dialogue. Et nous trouvons toutes ces qualités dans la personne du Président Abdoulaye Wade. C’est pour cela qu’un travail important devrait être fait par le PDS, ses partis alliés et par le gouvernement. Avec tout cela, nous sommes sûrs que notre candidat sera en meilleur position par rapport à tous les prétendants que nous connaissons au jour d’aujourd’hui.
Propos recueillis par Sékou Dianko DIATTA
source Rewmi.com
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