L’émotion se lisait sur les visages des populations. Tous les membres des familles de victimes ont convergés vers la morgue de l’hôpital régional de Ziguinchor où les corps sans vie ont été déposés. Des morts atroces qui nous ont bouleversés », se lamente, entre deux sanglots, la dame F Badji rencontrée au village de Diagnon.
M. Diédhiou, un père de famille d’ajouter : « ces jeunes ont été atrocement abandonnés dans la foret. Une tragédie qui a mutilé notre village ».
Ce drame, les habitants de Diagnon ne veulent plus le vivre. « L’armée est présente dans notre village depuis 1993 ; aujourd’hui, nous demandons à l’Etat de renforcer la sécurité », explique Cheikh Ba Mané, la président de la jeunesse de Diagnon.
M. Diédhiou, un père de famille d’ajouter : « ces jeunes ont été atrocement abandonnés dans la foret. Une tragédie qui a mutilé notre village ».
Ce drame, les habitants de Diagnon ne veulent plus le vivre. « L’armée est présente dans notre village depuis 1993 ; aujourd’hui, nous demandons à l’Etat de renforcer la sécurité », explique Cheikh Ba Mané, la président de la jeunesse de Diagnon.