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Collectif des Amis de Macky Sall : “Il n’y a jamais eu de dette cachée sous Macky Sall…”

Depuis plusieurs mois, Ousmane Sonko et Pastef tentent de faire croire à l’opinion qu’il existerait une mystérieuse “dette cachée” héritée de Macky Sall. Une accusation aussi grave qu’infondée. La réalité est pourtant simple : il n’existe aucune dette dissimulée dans les comptes publics du Sénégal. Ce que certains appellent “dette cachée” n’est autre que l’endettement normal des entreprises parapubliques sénégalaises, comme PETROSEN, SENELEC, SOGEPA, AIR SÉNÉGAL, SAR, ou encore la CDC, qui ont emprunté pour investir dans leur développement et renforcer leur compétitivité..


Rédigé par leral.net le Dimanche 19 Octobre 2025 à 18:56 | | 0 commentaire(s)|


Des entreprises solvables et des dettes d’investissement productif

Les principales entreprises publiques et para-publiques du Sénégal n’ont pas contracté des dettes pour combler des déficits, mais pour financer des investissements structurants destinés à renforcer la compétitivité du pays. Ces emprunts, adossés à des garanties de l’État, ont été utilisés pour créer de la valeur réelle, moderniser les infrastructures et stimuler la croissance. PETROSEN a investi dans les projets pétroliers et gaziers, secteurs stratégiques qui feront du Sénégal un acteur majeur de l’énergie en Afrique de l’Ouest. Ces investissements prépareront les revenus futurs du pétrole et du gaz, assurant à terme des recettes fiscales considérables. SOGEPA a contribué au développement d’infrastructures publiques et immobilières, renforçant le patrimoine de l’État et soutenant la relance industrielle.

SENELEC a modernisé son réseau de distribution et produit davantage d’électricité, notamment à partir de sources renouvelables. Ces projets ont permis d’améliorer la qualité du service, d’abaisser le coût de production et d’étendre l’accès à l’énergie.

AIR SÉNÉGAL a investi dans une flotte moderne et compétitive, avec l’ambition de positionner Dakar comme hub aérien régional, stimulant le tourisme, le commerce et la connectivité du pays.

SAR, CDC, FERA, AIBD, FHS et d’autres sociétés nationales ont elles aussi mobilisé leurs ressources pour construire, rénover, connecter et dynamiser l’économie. Toutes ces entreprises génèrent des revenus, emploient des milliers de Sénégalais et rendent des services essentiels à la population. Elles ne sont pas des charges pour le budget national, mais des actifs économiques solides qui contribuent à la création de richesses, à la souveraineté énergétique, et à l’indépendance industrielle du pays.

En réalité, ces dettes sont productives, soutenables et porteuses d’avenir, elles traduisent la volonté du Sénégal d’investir pour préparer la croissance de demain, et non de vivre au-dessus de ses moyens. Une confusion volontaire entre dette d’État et dette d’entreprises C’est tout simplement de la manipulation délibérée qui consiste à mélanger la dette publique de l’État avec les dettes commerciales contractées par les entreprises parapubliques. Or, cette confusion est non seulement trompeuse, mais aussi contraire à toutes les règles de la comptabilité publique moderne.

Dans toutes les économies structurées, qu’il s’agisse de la France, du Canada, des États-Unis ou des pays de l’Union européenne, les entreprises publiques (comme EDF, SNCF, ou Orange) disposent de leur propre personnalité juridique et financière. Elles empruntent pour financer leurs projets, développer leurs activités et améliorer leurs services, sans que leurs dettes ne soient directement imputées au budget de l’État. L’État peut accorder une garantie souveraine à certaines de ces entreprises, notamment lorsque les projets concernent des secteurs stratégiques comme l’énergie, les transports ou les télécommunications. Mais cette garantie ne signifie pas que l’État est le débiteur : il ne rembourse pas la dette, sauf dans des cas exceptionnels de défaillance avérée, ce qui reste très rare au Sénégal comme ailleurs.

Ainsi, les dettes de SENELEC, PETROSEN, SAR, AIBD, SOGEPA ou SONES sont des dettes d’investissement productif, gérées dans le cadre de plans de développement autonomes. Elles sont adossées à des revenus d’exploitation, à des actifs réels (infrastructures, équipements, ressources naturelles) et à des perspectives de rentabilité. Confondre ces engagements avec la dette souveraine revient à nier la réalité économique et à faire croire, à tort, que l’État sénégalais vit au-dessus de ses moyens. C’est une approche simpliste et politisée, qui ne tient pas compte du fait que ces entreprises contribuent directement à la croissance, à la création d’emplois et à la souveraineté économique du pays. En vérité, il ne s’agit pas d’un fardeau budgétaire, mais d’une stratégie d’investissement visant à moderniser le Sénégal et à le positionner durablement comme une puissance économique africaine. La dette du Sénégal sous Macky Sall était maîtrisée, soutenable et productive.

Contrairement à certaines affirmations alarmistes, la dette publique du Sénégal sous le président Macky Sall est restée maîtrisée, soutenable et surtout productive. À la fin de son mandat, elle ne dépassait pas 25 milliards d’euros, un niveau très modéré à l’échelle internationale. Pour donner un ordre de comparaison : cela représente à peine 6 % de la dette française, 10 % de la dette du Nigeria, et 15 % de celle de la Côte d’Ivoire. Fait symbolique : à la même période, le groupe Orange, entreprise multinationale privée, affichait une dette supérieure à 27 milliards d’euros, soit davantage que tout l’État du Sénégal. Autrement dit, le Sénégal était loin d’être surendetté.

Le Sénégalais moyen restait moins endetté qu’un Américain, un Français, un Ivoirien, un Ghanéen, un Chinois ou un Nigérian, preuve que la politique budgétaire de Macky Sall s’appuyait sur une gestion prudente et une vision d’investissement durable. Mais surtout, cette dette n’a jamais été une dette de consommation : elle a servi à transformer durablement le pays, à travers des projets visibles, utiles et rentables. Cette dette était tournée vers les infrastructures et le développement humain. Les ressources mobilisées ont été orientées vers des investissements structurants : - Les autoroutes reliant Dakar à Thiès, Touba, AIBD, Mbour, Kaolack, Saint-Louis… ont ouvert le pays, favorisant la mobilité des personnes et des marchandises. - Les ponts et autoponts (Foundiougne, Rosso, Kolda, Saint-Louis, etc.) ont désenclavé des régions entières. - Des milliers de forages et réseaux d’eau potable ont été réalisés, réduisant la pénurie dans les zones rurales. - De nouvelles universités, lycées modernes, centres de formation professionnelle ont été créés, soutenant la jeunesse et l’emploi. - Les hôpitaux, centres de santé et stades ont été réhabilités ou construits, améliorant l’accès aux soins et aux infrastructures sportives. - Les bourses de sécurité familiale, bourses d’études et subventions sur les produits de première nécessité ont soutenu directement les populations les plus vulnérables. C’était une stratégie d’investissement et non d’endettement.

Sous Macky Sall, la dette n’était pas un fardeau, mais un levier de croissance. Chaque franc emprunté a été orienté vers la création de richesses : routes, énergie, santé, éducation, sécurité alimentaire. Les emprunts étaient structurés, planifiés, et adossés à des projets concrets, avec des partenaires crédibles (Banque mondiale, BAD, FMI, BEI, partenaires bilatéraux, marchés financiers). Le Sénégal a donc investi dans son avenir, tout en gardant une dette en dessous du seuil de soutenabilité fixé par les institutions financières internationales. Cette discipline macroéconomique a permis au pays de préserver sa crédibilité internationale, d’obtenir des financements à taux préférentiels, et de figurer parmi les économies les plus stables et attractives d’Afrique de l’Ouest avant 2024.

En somme, la dette sous Macky Sall a été un instrument de modernisation, pas une bombe à retardement. Elle a permis de préparer le Sénégal de demain, en dotant le pays d’infrastructures dignes d’un État émergent. La question aujourd’mais ne devait pas de faire de la dette un scandale pour diaboliser le Président Macky Sall , mais de préserver la dynamique de croissance qu’elle a rendue possible, en continuant à investir intelligemment dans l’économie réelle. Pendant ce temps : la dette Sonko-Diomaye explose Ironie du sort et contradiction flagrante : ceux qui accusaient le président Macky Sall d’avoir “caché” la dette sont aujourd’hui à la tête du régime le plus endetté de l’histoire du Sénégal. Les faits sont implacables. Selon les données publiées par Bloomberg, la dette du Sénégal sous le duo Sonko– Diomaye a bondi à 132 % du PIB en moins de deux ans, un record historique jamais atteint, même pendant les périodes de crise mondiale. L’évolution de la dette depuis le 2 avril 2024 illustre à elle seule l’amateurisme et l’incompétence du régime actuel.

Au moment de la passation de pouvoir, la dette publique du Sénégal s’établissait à 74,6 % du PIB. Moins de six mois plus tard, le 12 septembre 2024, elle bondissait déjà à 99,7 %, selon les chiffres de Sonko lui-même et de la Cour des comptes. À la fin de l’année 2024, la Cour des comptes et le FMI faisaient état d’un taux de 119 %, confirmant une trajectoire alarmante.

Enfin, selon les estimations de Bloomberg, la dette atteint désormais 132 % du PIB au 18 octobre 2025, un record historique. En d’autres termes, le régime actuel a emprunté plus entre 2024 et 2025 que Macky Sall en douze années de gouvernance. Alors que Macky Sall avait su maintenir l’endettement à un niveau soutenable, adossé à des projets productifs, le pouvoir actuel a fait exploser les compteurs sans présenter de plan d’investissement clair, ni de vision de rentabilité économique. Depuis leur arrivée, les signaux envoyés aux marchés financiers et aux investisseurs internationaux sont catastrophiques : La note souveraine du Sénégal a été dégradée à “Caa1” par Moody’s, synonyme de risque élevé de défaut. Les investisseurs étrangers, autrefois attirés par la stabilité et la prévisibilité du cadre sénégalais, commencent à se retirer ou à suspendre leurs projets.

Les taux d’intérêt sur la dette sénégalaise ont grimpé, rendant chaque nouvel emprunt plus coûteux pour l’État. À cela s’ajoute une diplomatie économique brouillonne, marquée par des déclarations incendiaires et des prises de position idéologiques qui ont refroidi des partenaires historiques comme la France, la Banque mondiale, l’Union européenne, et plusieurs bailleurs du Golfe. Résultat : la confiance s’est érodée, les financements concessionnels se raréfient, et le Sénégal se tourne vers des prêts commerciaux à taux élevés, alimentant la spirale de surendettement. La différence fondamentale entre Macky Sall et Sonko-Diomaye, c’est la nature de la dette. Sous Macky, la dette servait à construire, connecter, moderniser et produire. Sous Sonko-Diomaye, elle sert à compenser des déficits budgétaires, financer des subventions politiques ou entretenir une administration pléthorique avec des recrutements de clientèles politiques. Aucun grand chantier structurant n’a vu le jour depuis 2024. Aucun nouvel hôpital, pont, ou campus universitaire majeur n’a été lancé. Les infrastructures héritées du PSE (Plan Sénégal Émergent) continuent de porter l’économie, mais sans vision de continuité ni politique d’entretien durable.

Pendant ce temps, le franc CFA de la BCEAO a subi une pression inhabituelle, les réserves de change s’amenuisent, et le taux de croissance stagne malgré la promesse d’une “rupture économique”. Le pays, qui devait bénéficier de la manne pétrolière, voit sa crédibilité financière s’éroder avant même d’entrer dans l’ère de production massive. Le discours anti-dette, anti-partenaire et anti-institution porté par Sonko a produit l’effet inverse de ce qu’il promettait : le crédit international s’est asséché, il n’y a plus de touristes, et la croissance est à la traîne. Les marchés, les institutions de Bretton Woods et les investisseurs n’écoutent pas les discours politiques : ils observent la cohérence des chiffres, la stabilité des institutions et la fiabilité des dirigeants et Sonko n’est pas internationalement fiable. Ce que Macky Sall et ses prédécesseurs avaient patiemment construit crédibilité, confiance, notation stable et attractivité régionale, a été compromis en quelques mois.

Le Sénégal, jadis cité en exemple de bonne gouvernance budgétaire, se retrouve aujourd’hui cité parmi les économies “à haut risque”, aux côtés d’États fragilisés. C’est une régression qui n’est ni idéologique ni morale : elle est économique, technique et mesurable. Macky Sall est un bâtisseur et un vrai homme d’État Il est donc faux, malhonnête et dangereux de présenter la politique économique de Macky Sall comme un “crime financier”.

Le président Sall a emprunté pour construire, pas pour consommer. Il a développé le pays, pas endetté le peuple. Son bilan reste celui d’un bâtisseur méthodique, d’un dirigeant visionnaire qui a su faire du Sénégal un chantier de modernité et de prospérité. - Ce faux débat sur une prétendue “dette cachée” n’est rien d’autre qu’une offensive politique orchestrée pour ternir l’image d’un homme d’État respecté et affaiblir l’APR. - C’est une stratégie petite, mesquine et désespérée, révélatrice d’une jalousie politique face au rayonnement international de Macky Sall. Ousmane Sonko, sans expérience significative, sans vision économique claire et sans culture de la gouvernance, instrumentalise l’opinion pour détourner l’attention de son propre échec. Sous Macky Sall, il n’y a pas eu de dette cachée, il y a eu des investissements structurants. Macky Sall a bâti Sous Sonko-Diomaye, il y a une dette explosive, sans résultats visibles. Ousmane Sonko est en train de détruire

Le Collectif des Amis de Macky Sall Babacar Gaye Mouhamadou Lamine Massaly Cheikh Thiam, ambassadeur Mamadou DJIGO Pr Moussa Baldé Aboubacry Sokomo Pr Boubacar Siguiné SY Pr Serigne Ababacar Ba Pape oumar Sarr Diane Diop Ndèye Sow, Leyla Medoune Diop Abdoulaye Ndao Émile Galas Ndiaye Kader Diawara Samba Ndong Elhadji Seydou Nourrou Sall Cheikh Thiam Ismaila Ndao Adia Fatou Mbacké Ndèye Ndiaye Diaw Khady Diagne Fatimatou Ndiaye Khady Diop Ameth Diack Malick Diop Amadou Moustapha Gaye Yassine Sèye Sophie Diamé Alimatou Diawara Sala Mar Binette Diop Khadim Gueye Italie SEYNABOU DEME Marie Bassel Sow Nafi Ndiaye Mboup Sophie Diamé Cheikh Tidiane Kandé Djiby Ndiaye Djiby Ba Matam Ba Mara Diop Ousmane Ba Khady Diop Mamadou Mokhtar Sène Waly Ndiaye Ibrahima Ndao Mactar Mbaye Mamadou Bamba Sarr Rama Mbaye Wagane Faye Elhadj Daouda Ndiaye Ngoné Gomis Ngoné Laye Seck Daouda Dieng Ibou Touré Fatou Sarr Alioune sall junior Cheikh Niang Mamadou Gassama Ibrahima Gueye Khadija Ndiaye Ibrahima Konaté Abdou Mahi Gueye Abdoulaye Ngom Cheikh Sall Tidiane Diallo Thierno Malick Ndiaye Henriette Mbaye Adama KhAdy BNiasThior Mame Fatou Ndiaye Fatou Cissokho.

Mamadou Sow Ma Khady Niass Amy Kassé Cheikh Ibra Fall Omar Fall Commissaire Keita Rokhy Ngom Astou Niang Asstou Seniadiou Ndeye Fatou Diouf Ndeye Arame Diop Nogaye Diop Ndeye Salamata Gueye Khoudia Gueye Coumba Ndiaye Pascaline De Baros Patrice Mané Mareme Soda Gaye Dior Pene Absa Diouf Abdoulaye Timéra Lanssana Marega Yaly Fall Pally Ndiaye Medoune Diouf Seydou Dia Baye Diouf Ousmane Balade Ahmadou Sagnan Père Sognané Cheikh Kane Mouhamadou Lamine Bara Faye Abdoulaye Mbodji Ousmane Demba Sow Ibrahima Diédhiou Ousmane Diakhaté Ndèye Astou Thiam

Ousseynou Wade