Laurent Gbagbo avait pourtant décidé d’inviter ses homologues de l’Afrique de Ouest, dont les présidents sénégalais, Abdoulaye Wade ; malien, Amadou Toumani Touré ; béninois, Yayi Boni ; togolais, Faure Gnassingbé… Le président ivoirien leur avait même dédié tout spécialement des ‘’visites d’amitié‘’ pendant les trois derniers mois, avant le cinquantenaire de son pays.
L’absence des chefs d’Etat n’est guère un rendez-vous manqué. C’est plutôt voulu.
« Nous n’avons pas voulu faire une grande fête. (...) On fera notre grand défilé quand les élections seront passées. Donc, on fait une prise d’armes et on fera le grand défilé après. C’est pourquoi, nous n’avons pas invité nos collègues. Ils sont au courant, puisque je les ai avertis à chaque fois. Partout où je suis passé, j’ai parlé avec eux, les Chefs d’Etat africains », a-t-il justifié, samedi.
La sobriété l’a emporté, à dessein, sur l’éclat, obligeant ainsi Abidjan à différer le cinquantenaire clinquant qui devait marquer d’une pierre blanche l’âge d’or ivoirien. Place a été fait au symbole, sur le parvis de la présidence de la république, scène d’un défilé militaire qui aura duré à peine quarante cinq minutes.
« Mais, nous avons voulu quand même marquer de façon symbolique cette cérémonie, avec 16 drapeaux, parce que nous sommes 17 à avoir eu nos Indépendances en 1960. Avec 16 drapeaux des autres pays, nous avons voulu montrer la solidarité avec les autres », a-t-il expliqué.
Priorité est faite aux élections présidentielles, attendues depuis 2005. Elles se tiendront sans heurt, rassure le président ivoirien.
Optimiste quant au lendemain de son pays, il ri au nez des oiseaux de mauvaise augure qui prédisent l’apocalypse après le scrutin : « Il y a en qui disent : ’’ah oui, on va acheter le cacao, parce que si on ne l’achète pas, après les élections, il va avoir des bagarres’’. Je voudrais dire qu’il n’y aura rien. Ceux qui bougent et qui achètent de grande quantité de cacao, dans ce sens, se trompent. S’ils achètent suffisamment le cacao, c’est bon. Mais, Il ne faut pas qu’ils pensent qu’il y aura quelque chose, il n’y aura rien du tout ! ».
L’absence des chefs d’Etat n’est guère un rendez-vous manqué. C’est plutôt voulu.
« Nous n’avons pas voulu faire une grande fête. (...) On fera notre grand défilé quand les élections seront passées. Donc, on fait une prise d’armes et on fera le grand défilé après. C’est pourquoi, nous n’avons pas invité nos collègues. Ils sont au courant, puisque je les ai avertis à chaque fois. Partout où je suis passé, j’ai parlé avec eux, les Chefs d’Etat africains », a-t-il justifié, samedi.
La sobriété l’a emporté, à dessein, sur l’éclat, obligeant ainsi Abidjan à différer le cinquantenaire clinquant qui devait marquer d’une pierre blanche l’âge d’or ivoirien. Place a été fait au symbole, sur le parvis de la présidence de la république, scène d’un défilé militaire qui aura duré à peine quarante cinq minutes.
« Mais, nous avons voulu quand même marquer de façon symbolique cette cérémonie, avec 16 drapeaux, parce que nous sommes 17 à avoir eu nos Indépendances en 1960. Avec 16 drapeaux des autres pays, nous avons voulu montrer la solidarité avec les autres », a-t-il expliqué.
Priorité est faite aux élections présidentielles, attendues depuis 2005. Elles se tiendront sans heurt, rassure le président ivoirien.
Optimiste quant au lendemain de son pays, il ri au nez des oiseaux de mauvaise augure qui prédisent l’apocalypse après le scrutin : « Il y a en qui disent : ’’ah oui, on va acheter le cacao, parce que si on ne l’achète pas, après les élections, il va avoir des bagarres’’. Je voudrais dire qu’il n’y aura rien. Ceux qui bougent et qui achètent de grande quantité de cacao, dans ce sens, se trompent. S’ils achètent suffisamment le cacao, c’est bon. Mais, Il ne faut pas qu’ils pensent qu’il y aura quelque chose, il n’y aura rien du tout ! ».