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Départ négocié de Laurent Gbagbo : Les experts entament les consultations

Rédigé par leral.net le Lundi 7 Février 2011 à 17:57 | | 3 commentaire(s)|

Elle entame sa mission aujourd’hui. Les experts membres du panel de haut niveau mis en place par l’Union Africaine (UA) pour la résolution de la crise ivoirienne ont atterri hier, sur les bords de la lagune Ebrié. Bien avant, ces experts se sont retrouvés le samedi 5 févier au siège de l’UA à Addis-Abeba, sous la présidence du commissaire de l’UA pour la paix et la sécurité, Ramtane Lamamra (coordinateur de l’équipe). Selon un communiqué de l’UA, sanctionnant cette rencontre, l’équipe a examiné son programme de travail et des questions qui s’y attachent. A Abidjan, les experts qui sont issus des cinq pays dont sont originaires les chefs d’Etat du panel (Mauritanie, Tanzanie, Afrique du Sud, Tchad, Burkina Faso) et des organisations régionales et continentales auront des consultations avec les deux camps (celui du président sortant et du président élu), mais aussi avec l’ONUCI, la CEI et le conseil constitutionnel. Des rencontres qui leur permettront de se documenter sur la crise. Présents dans la capitale économique ivoirienne jusqu’au jeudi 10 février, les experts travailleront en étroite collaboration avec l’ONUCI dont le premier responsable en Côte d’Ivoire, Young J. Choi a certifié l’élection présidentielle. C’est d’ailleurs sur la base de cette certification que l’équipe travaillera. Car, comme l’a précisé M Jean Ping, président de l’UA, l’objectif du panel de haut niveau « est de négocier une sortie honorable» à l’ancien chef de l’Etat, Laurent Gbagbo. Le président élu en Côte d’Ivoire, a-t-il indiqué, est Alassane Ouattara. A l’issue de leur mission, les experts se rendront encore à Addis-Abeba pour rendre leurs conclusions.


Départ négocié de Laurent Gbagbo : Les experts entament les consultations
Plusieurs options, selon les observateurs, sont sur la table pour une issue pacifique à la crise ivoirienne. L’on parle de gouvernement d’union ou d’ouverture. Pour une résolution définitive de la crise, il est également question de propositions des experts, pour l’organisation des élections législatives. Cela, afin d’éviter une éventuelle crise sur la légitimité des institutions ivoiriennes. Ce sont donc, selon nos sources, ces propositions que les cinq chefs d’Etat examineront à partir du 20 février dans la capitale mauritanienne, à Nouakchott. Et, une fois les propositions définitives arrêtées, les cinq se rendront à Abidjan, certainement à partir du 21 février pour informer les deux parties. Ces propositions comme l’a souligné le Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) de l’UA, seront contraignantes pour les deux parties. En effet, faut-il le rappeler, c’est le 28 janvier dernier que le CPS réuni dans le cadre du 16ème sommet de l’UA, a décidé d’ajourner, à la demande de l’Afrique du Sud, l’option militaire et d’accorder une dernière chance à la négociation. Pour éviter tout enlisement, le CPS a averti que les propositions du panel de haut niveau seront contraignantes pour les deux parties, non sans préciser que le président élu est bien Alassane Ouattara.

avec abidjan.net



1.Posté par omar le patriote le 07/02/2011 18:52 | Alerter
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Dakar, le 30 janvier 2011

La République de Côte d’Ivoire et les rapaces

Partout en Afrique, les débats s’installent entre la tentative de recolonisation de la Côte d’Ivoire par chefs d’état africains interposés, sous la houlette de la France de Sarkozy qui draine dans son sillage l’union européenne, et un Obama devenu borgne, et ceux qui sont persuadés que Laurent Gbagbo tente un forcing pour perpétuer un pouvoir illégitime.
A°) Quels sont les principaux arguments de ceux qui défendent Laurent Gbagbo.
D’abord, il faut signaler que dans ce camp, un amalgame conscient ou non est fait volontairement ou non entre le désir de voir une démocratie réelle s’installer en Côte d’Ivoire et faire tâche d’huile en Afrique et l’intolérable ingérence de la France et de la communauté internationale dans des élections d’un pays africains souverains.
Le cas de cette élection ivoirienne, antithèse de l’élection guinéenne devient cas de jurisprudence pour toute future élection qui utilisera la cohabitation malheureuse entre une cours suprême et une commission électorale autonome ou indépendante : toutes les futures élections africaines, peuvent désormais être confisquées à volonté par le pouvoir sortant.
La communauté internationale va même plus loin, elle qui propose désormais, à tour de bras, des referendums d’autodétermination de grands pans de territoire national, dès que le président en exercice n’est plus à sa solde. Cinquante ans après nos indépendances, il est proposé à l’Afrique une seconde vague « d’indépendance » pour toutes les régions à grands potentiels miniers, pétrolifères ou agricoles.
Il s’en suit que beaucoup de penseurs africains sont certains que ce qui se passe en Côte d’Ivoire, se passera sûrement chez eux demain.
Sarkozy par sa réaction démesurée en Côte d’Ivoire, cristallise un sentiment antifrançais qui masque le désir de démocratie et de bonne gouvernance des africains. Sarkozy par ses attaques incessantes contre le peuple africain, transforme Gbagbo en héritier des grands résistants africains contre la colonisation. Ce que Sarkozy a fait en Côte d’Ivoire est exactement l’inverse de ce qu’il a fait en Guinée Conakry. La cécité politique qui l’a habité en Tunisie, nous force à affirmer qu’il n’est pas assez « entré dans l’histoire » de l’Afrique. Le mieux pour lui est donc qu’il en sorte comme il en est entré, par la fenêtre.
En fait, Gbagbo est pratiquement soutenu par tous les partis d’opposition alors que les partis de la mouvance présidentielle se mobilisent et exigent le bombardement pur et simple de la Côte d’Ivoire. En d’autres termes, cinquante ans après les indépendances, des pays africains se mobilisent pour demander et mieux, exiger de l’ancienne puissance coloniale, le bombardement d’un pays frère. Est-ce honteux ?



Le combat sans merci entre « le coup d'état électoral et le coup d'état constitutionnel », a conduit à un aboutissement inédit : un pays avec deux présidents issus de la même élection. L’un est reconnu par la communauté internationale et une partie du peuple et, l’autre reconnu par une autre partie de la communauté internationale et l’autre partie du peuple.
Sarkozy, Obama, l’UA et une partie du peuple est avec ADO. Les autres sont avec Gbagbo.
La communauté internationale considère que Gbagbo est un mauvais perdant qui doit donc débarrasser le plancher par la force s’il le faut et qu’importe que la plus grande institution ivoirienne en ait décidé autrement. Car et cela est quand même inouï, c’est le Conseil constitutionnel qui proclame les résultats définitifs. Et cette institution a proclamé Gbagbo vainqueur. Il faut respecter ce résultat.
Les élections ivoiriennes sont la preuve que la France ne peut se passer de l’exploitation de ses anciennes colonies qui doivent lui assurer son approvisionnement énergétique, minier et alimentaire. L’Afrique francophone doit rester et demeurer la vache à lait de l’empire néocolonial français.
Ce néo impérialisme français s’est modernisé en s’internationalisant. Il est onusien en ce que désormais, il agit sous le couvert des armées et lois onusiennes. Son armée d’occupation porte des casques bleus. Ses tribunaux porte le titre élogieux de tribunal pénal international. Ses ressources financières coulent des robinets du FMI et de la BM. L’hydre est multiforme mais reste une et unique entité, le capital international qui a pour but ultime, l’asservissement de tous les peuples.
La France ne peut quant à elle, rester puissance mondiale que si elle pille l’Afrique.
Elle ne peut le faire que si elle installe dans tous les « royaumes » africains, des gouvernements fantoches à sa solde. Toutes les élections volées par leurs pantins sont validées, tandis que les autres, celles gagnées par les « Gbagbo », sont menacées de bombardement par les armées onusiennes.
Ces « Gbagbo » qui mettent les intérêts de leurs pays au dessus de l’intérêt de l’exploiteur étranger se nomment Chavez au Vénézuela, Morales en Bolivie, Correa en Equateur; Ahmadinedjad en Iran.
Ceux de la partie Gbagbo se demandent avec tristesse pourquoi n’avoir pas résolu les nombreux problèmes qui se posaient à eux, avant d’aller à des élections :
1. Pourquoi organiser des élections dans un pays divisé en deux, avec une partie contrôlée par le gouvernement et l'autre par les rebelles?
2. pourquoi aller à des élections financées par la communauté internationale et qui va délivrer une certification qui a sûre, parce que dictée par la France, nous sera défavorable ?
3. Pourquoi la communauté internationale a-t-elle pensé qu’il lui suffisait de distribuer de l’argent à la pelle pour s’assurer des élections fiables ?
4. Pourquoi le FPI a préféré s’allier au RDR et aux forces nouvelles plutôt qu’au PDCI ?
5. Pourquoi les casseroles que sont les emprisonnements sans jugements des dignitaires de la filière Cacao, les recettes du pétrole Ivoirien ainsi que celles
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8. du port d’Abidjan non mentionnées dans les recettes de l'Etat, les déchets toxiques du Probo Koala, les charniers des escadrons de la mort n’ont pas trouvé solutions avant d’aller à des élections?
9. Pourquoi la communication de Gbagbo a eu tellement confiance en elle et aux sondages qu’elle recevait au point d’en arriver à sous estimer la puissance de nuisance des médias français contrôlés par Bouygues, Bolloré, Sarko, Arnault Bernard, Lagardère, Dassault, Hersant, BNP ?
10. Pourquoi, dans le match qui opposait Gbagbo à ADO, Gbagbo n’a pas donné assez d’importance au fait que l’arbitre, Sarkozy, a été celui qui a « donné » une épouse à son adversaire en 1990 à Neuilly.
11. Cette dame une française, « héritière de Boigny », milliardaire associée à l’oligarchie financière française et mondiale, dont le fils français, est un milliardaire, principal exportateur du café cacao ivoirien pèse t-elle suffisamment dans une balance face à une Simone que le TPI attend avec impatience pour des accusations que lui seul en a le secret ?

B°) La politique des deux poids, deux mesures de la communauté internationale :

La démocratie est noire en Afrique et blanche en Occident. Pianotée par la communauté internationale, elle concocte un air gai pour tous les vautours qui lui déploient un tapis rouge et entonne un air funèbre pour les patriotes qui pensent aux intérêts de leurs populations.
Elle exporte et impose « sa démocratie » dans son format chez les noirs primitifs d’Afrique.
1. Au Togo, la communauté internationale est complice de militaires voleurs d’urnes qui tiraient à balles réelles sur les populations ou qui procédaient à des exécutions sommaires. Faure Gnassingbé accédait au pouvoir par-dessus le corps de plus de 1000 victimes innocentes avec la bénédiction de la communauté internationale. Rebelote Au mois d’avril 2010 et Faure se proclame vainqueur en faisant substituer la Commission électorale nationale indépendante les voix du candidat de l’opposition Jean Pierre Fabre. La Cour constitutionnelle togolaise a avalisé la tricherie. La Communauté internationale n’a rien eu à redire.
2. Le monde « démocratique » voit l’ami de l’immortel Sankara, Blaise Compaoré, le gardien en chef des biens français en Afrique, se faire réélire après 23 ans de règne sans partage, avec un score stalinien. C’est ce gardien qui s’est occupé des élections de ses deux compatriotes : ADO en Côte d’Ivoire et Alpha en Guinée.
3. La France et la Communauté internationale, installent au Gabon le fils du roi sans que personne ne pipe mot.





4. Cette même France accompagnée par cette même communauté internationale, débarquent un président démocratiquement élu pour y imposer un militaire, ancien de la coloniale.
5. En Algérie, Bouteflika s’est fait élire par …. la communauté internationale.
6. Au Tchad, c’est l’armée française elle-même qui tue les opposants au régime pendant la sieste de Déby.
7. Au Congo, c’est la communauté qui envoie le président au TPI pour permettre à leur ami de s’installer.

C°) Quels sont les principaux arguments de Alassane Ouattara
Il Est le président sans pouvoir de la République bananière de Côte d’Ivoire, et qui tient tous les matins devant un verre de whisky au bar d’un hôtel assiégé, son conseil de ministre qui se termine inlassablement par la même supplication les mains jointes, la tête courbée et les yeux fermés : « Mon Dieu faites que la « communauté internationale » française et cédéaoienne bombardent mon pays ».
1) Houphouët, à la fin de sa vie, était entouré de quatre « ivoiriens » de valeur qui aimaient la Côte d’Ivoire à en mourir :
a) Un sénégalais nommé Thiam, neveu du président, et actuel ami de Sarkozy,
b) Une française dans l’immobilier, qui devient épouse du premier ministre ivoirien,
c) Un burkinabé premier ministre, dont la fiancée peule fut épouse de l’actuel président de la Guinée,
d) Un guinéen directeur de cabinet de ce premier ministre qui a fini sa course en voulant être président de la Guinée. Notons que Sydia et Ouattara pour la petite histoire, sont cousins par la mère d’ADO qui est une Cissé djankanké de Guinée.
2) En 1992, Alassane Ouattara pensa que le couple Laurent-Simone devait bénéficier de vacances princiers et il leur offra un séjour tous frais payés à la cathédrale du silence d’Abidjan, la MACA (maison d’arrêt et de correction d’Abidjan).
3) En 2000, Laurent se rend compte subitement qu’ADO a un nom de famille à consonance étrangère. Il ressort des tiroirs, la loi sur « l’ivoirité » expulse le burkinabé de l’élection présidentielle, se transforme en boulanger et plonge la France et la Communauté internationale dans le pétrin pendant 10 ans.
4) Au moment des élections, le pétrin tombe en panne et il est obligé de servir à la communauté internationale, des urnes bourrées, avec l’aide de son cousin et militant de la cours suprême. Cette fois ci, le pain servi est moisi. Il ne passe pas.
5) Alors Gbagbo avance sans bouger en comptant sur le temps et l’alcoolisme pendant du président barman pour faire pourrir les choses.

D°) les implications régionales et internationales de l’élection ivoirienne.




1. La guinée : ADO et Sydia sont des cousins. Ado et Alpha condé sont des « amis ». Ces deux individus sont des membres éminents de l’association dite « le grand mandé » qui s’est donné pour objectif, la reconquête de l’Afrique occidentale en restaurant les frontières de l’empire de Soundiata Keïta. La France est un allié objectif du grand Mandé.
2. Le Nigéria : ce géant, empire de la magouille, a besoin d’une Côte d’Ivoire faible pour asseoir son désir d’expansion régionale économique. En outre, une guerre loin de ses frontières lui permettrait d’impulser de grands secteurs de son économie. Plus que tous les états de la sous région, une guerre en Côte d’Ivoire serait pour lui, une bouffée d’air frais.
3. le Burkina-Faso verrait d’un très bon œil, une déliquescence de cet état ataviquement utilisateur de sa main d’œuvre bon marché, malléable et corvéable depuis plus de cinquante ans par les gros propriétaires terriens ivoiriens.
4. l’Uemoa serait heureuse de l’affaiblissement du géant ivoirien, ce qui va lui permettre d’essayer d’améliorer son taux de croissance pendant toute la période de chute de l’économie ivoirienne, du fait de la déstabilisation consécutive à la guerre.
5. L’Union Européenne et l’Onu en tant qu’acteurs du sous développement en Afrique, vont pousser à une destruction massive de la Côte d’Ivoire afin que ce pays soit obligé pendant vingt ans, d’avoir besoin de l’aide internationale pour la reconstruction.
6. La CEDEAO verra le retour massif de millions d’émigrés que son économie ne pourra pas résorber. Comme un domino, les économies de la sous région tomberont les unes après les autres.
7. Tout le monde connaîtra le début de la guerre mais personne ne pourra prédire sa durée ni sa fin et encore moins le nombre de morts.
8. Si la guerre est évitée, il restera alors les sanctions internationales. Si le peuple embrasse la lutte de Gbagbo, alors bonjour les dégâts.

E°) Conclusions

Elles sont multiples et fonctions des intérêts du propagandiste :
1. le camp Gbagbo s’engouffre de plus en plus dans une souricière, perdra et fera perdre la Côte d’Ivoire. Il va s’arque bouter sur ses positions suicidaires parce qu’il n’a pas le choix. Il ne refusera jamais une table d’audience qui lui donnera vie et dignité sauves. Mais ne devra-t-il pas lâcher les brigades de la mort et restituer les énormes sommes détournées ?
2. le Camp Ouattara est sous l’influence maléfique de Guillaume Soro qui devrait peut être expliquer comment il fait pour mettre beaucoup de chefs d’état de l’uemoa, à sa botte. Sait-il comment les milliards de Khorogho et de
Bouaké ont été blanchis en Afrique de l’Ouest ?



3. le peuple ivoirien est pris en otage depuis 15 ans par une poignée de politiciens qui n’ont fait que répandre mort et désolation. Ce peuple, sa société civile, son armée, sa classe politique ses syndicats n’ont-ils pas de valeureux ivoiriens qui puissent au nord comme au sud, se retrouver et dire aux vautours que sont tous les autres, « ça suffit, nous ne voulons plus qu’un seul ivoirien ne meurt pour vous. Vous, le communauté internationale, nous n’avons plus besoin de votre aide militaire. Sortez de chez nous, tous et en tant qu’ivoiriens aimant notre pays, nous saurons nous asseoir autour d’une table et recouvrer la paix que nous chérissons et appelons de tout notre cœur ».
4. l’Afrique de l’ouest doit absolument refuser de fournir de la chair à canon pour une guerre qui jamais ne sera la sienne. Nous ne devons surtout pas mourir pour que Clara ait son chocolat à Pâques. Créons une châine africaine de solidarité pour l’instauration de la paix en Côte d’Ivoire. Si Gbagbo et Ado ne peuvent « s »asseoir et causer », ils nous mettent tous en danger et nous devons alors mener une guerre ciblée contre ses deux personnes et uniquement contre ses deux personnes. Les dommages collatéraux devront être circonscrits à leurs proches collaborateurs et alliés.
5. La France et l’ONU pour une fois depuis que L’Afrique a rencontré l’homme blanc sur ce cailloux que décrit le raciste Victor Hugo, seront priées de bien vouloir se mettre à l’écart pour nous permettre de trouver une solution africaine à ce problème africain.
6. Le Bloc Pour le Renforcement de la Démocratie au Sénégal (BRDS) que j’ai l’honneur de diriger, est un parti politique sénégalais d’obédience libéral au sens occidental du terme. Cette précision est faite pour mieux comprendre notre position. Gbagbo est un socialiste, lui aussi, au sens occidental du terme.
7. LE BRDS ET SON SECRETAIRE GENERAL, SONT ENTIEREMENT ET DE TOUT CŒUR, AVEC LE GRAND PEUPLE IVOIRIEN ET SON LEADER LAURENT KOUDOU GBAGBO, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE.

QUE DIEU DEVERSE LA PAIX DANS NOS CŒURS POUR QU’ELLE REGNE EN AFRIQUE.
El Hadj Hamidou Diallo,
Secrétaire général du BRDS.

2.Posté par le roi le 08/02/2011 08:10 | Alerter
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Omar tu bavardes unutilement.

3.Posté par Bozz le 08/02/2011 10:50 | Alerter
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Avec un pouvoir incertain comme celui de Gbagbo,il n'y a pas d'autres solutions, il doit partir.

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