« Nous devons voir aujourd’hui quels sont les écueils qui font qu’il y a des réticences, des difficultés. De toute façon, nous n’étions pas en guerre. C’était des élections tout simplement. Il y a, peut-être, des choses qu’on nous reproche », a souligné le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique en charge des élections.
Dans une dynamique de dialogue où toutes les parties prenantes devraient être présentes, il fait remarquer : « on va vers d’autres élections, il va falloir qu’on travaille ensemble pour lever toutes les équivoques ». « Notre rôle, c’est d’amener les gens autour de la table des négociations. Peut-être que, si nous prenons en compte leurs préoccupations, ils reviendront autour de la table pour qu’on puisse avancer», croit savoir le maire de Linguère.
La rédaction de leral.net