«Nous sommes régis par la coutume. Yoff ne se laissera pas faire. Depuis un temps, certains disent qu’ils ont élu des Jaraaf, des Ndey Ji Rew. Ce que nous n’accepterons pas. C’est aux Saltigués de prendre leurs responsabilités pour que cette situation cesse», a tapé du poing sur la table Souleymane Sarr Pédre.
«Nous portons la voix de Yoff, nous ferons face. Nous gérons Yoff sous la tutelle de El Hadji Babacar Mbengue, président du Conseil des notables et des Borom Ndombol Tank», ajoute Birane Mbengue, président des Freys de la classe 57-61.
Selon « Le Quotidien » qui livre l’info, après avoir haussé le ton, le président a lancé un message pour dire que «Yoff, qui traverse des moments de turbulences qui inquiètent tout un chacun», a besoin de retrouver sa sérénité.
Il n’y a, selon lui, que le «dialogue » pour y parvenir. Une position que partage El Hadji Amadou Guèye Samb, premier vice-président des Freys de Yoff.
«Nous ferons tout pour que les relations soient davantage pacifiées. Que Yoff devienne le Yoff d’antan. La tradition de nomination date de 1432. Nous ne voulons pas que cet héritage soit mal géré», tient-il à faire savoir.
D’après le journal, au même moment, certains parmi eux pensent qu’il faudrait tenir «un langage de vérité» à l’autre camp, en l’accusant d’être à l’origine de la scission qui avait été notée auparavant au sein des Freys.
«Nous portons la voix de Yoff, nous ferons face. Nous gérons Yoff sous la tutelle de El Hadji Babacar Mbengue, président du Conseil des notables et des Borom Ndombol Tank», ajoute Birane Mbengue, président des Freys de la classe 57-61.
Selon « Le Quotidien » qui livre l’info, après avoir haussé le ton, le président a lancé un message pour dire que «Yoff, qui traverse des moments de turbulences qui inquiètent tout un chacun», a besoin de retrouver sa sérénité.
Il n’y a, selon lui, que le «dialogue » pour y parvenir. Une position que partage El Hadji Amadou Guèye Samb, premier vice-président des Freys de Yoff.
«Nous ferons tout pour que les relations soient davantage pacifiées. Que Yoff devienne le Yoff d’antan. La tradition de nomination date de 1432. Nous ne voulons pas que cet héritage soit mal géré», tient-il à faire savoir.
D’après le journal, au même moment, certains parmi eux pensent qu’il faudrait tenir «un langage de vérité» à l’autre camp, en l’accusant d’être à l’origine de la scission qui avait été notée auparavant au sein des Freys.