« On parle de 19 couloirs autorisés ; mais, tous les jours, dans des zones très nichées, on a des sites qui sont ouverts et qui échappent à l’autorité et bénéficient d’une complicité des populations », déplore-t-il
« A la frontière ou dans la forêt, les gens s’activent. Et tant que le signalement n’est pas fait, nous ne pouvons pas accéder dans ces zones pour les démanteler. Néanmoins, les Forces de défense et de sécurité s’y activent. Tout ce qui est clandestin, on ne peut pas l’accepter ; ça cause un réel problème de sécurité et, est nocif à l’environnement. Il faut une sensibilisation. Tant que les communautés ne savent pas où elles doivent aller, il y aura toujours des problèmes», a-t-il ajouté.
« A la frontière ou dans la forêt, les gens s’activent. Et tant que le signalement n’est pas fait, nous ne pouvons pas accéder dans ces zones pour les démanteler. Néanmoins, les Forces de défense et de sécurité s’y activent. Tout ce qui est clandestin, on ne peut pas l’accepter ; ça cause un réel problème de sécurité et, est nocif à l’environnement. Il faut une sensibilisation. Tant que les communautés ne savent pas où elles doivent aller, il y aura toujours des problèmes», a-t-il ajouté.