En effet, voilà des semaines qu’un groupe d'une soixantaine d'étudiants sortants de la Fastef , ex- "Ecole normale supérieure" manifestait leur colère pour n’avoir été recruté dans l'enseignement. Après avoir frappé à toutes les portes sans y être entendus, ils ont décidé de passer à la vitesse supérieure, en observant une grève illimitée. Mais grande fut leur surprise quand ils se sont regroupés ce matin dans une des salles de la Fastef, de gros bras se sont joints à eux pour leur rouer de coups. Ils accusent le Doyen de la Fastef d’être derrière ces nervis. "C’est le Doyen qui a envoyé les nervis nous brutaliser. C’est désolant, mais qu’il sache que nous n’allons pas reculer d’un iota. C’est notre avenir qui est en jeu. Nous sommes prêts à mourir", rumine l’un d’eux grévistes sur les ondes de Zik-fm.
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