Selon Mamadou Ndiaye, les chauffeurs de taxi urbain, en particulier ceux de la capitale du Sine, sont essentiellement confrontés à une concurrence déloyale de la part des vélotaxis, des charrettes et des taxis clandestins qui, renseigne-t-il, ont même triplé le nombre de taxis réguliers.
«Ici à Fatick, le tarif est le même aussi bien pour les taxis que pour les charrettes. Ce qui fait que si l’on n’y prend garde, le métier de conducteur de taxi risque de disparaître de cette localité», a fait remarquer le syndicaliste pour s’en offusquer.
En vue de trouver les voies et moyens pour améliorer les conditions de travail de leurs mandants, M. Ndiaye et Cie disent avoir remis un mémorandum au gouverneur de région, Mme Seynabou Guèye, qui leur a prêté une oreille attentive.
Outre la concurrence déloyale, Mamadou Ndiaye a aussi soulevé des questions relatives au fonds Force Covid-19 que les taximen de Fatick attendent toujours. Le secrétaire général du Sdcts a également déploré les lenteurs administratives qui font que, depuis 3 ans, certains chauffeurs de taxi, exerçant à Fatick, ne peuvent toujours pas disposer de leur licence, agrément et autres dont les demandes sont pourtant bien déposées au niveau du Service régional des transports terrestres, communément appelé Service des mines.
Le Quotidien
«Ici à Fatick, le tarif est le même aussi bien pour les taxis que pour les charrettes. Ce qui fait que si l’on n’y prend garde, le métier de conducteur de taxi risque de disparaître de cette localité», a fait remarquer le syndicaliste pour s’en offusquer.
En vue de trouver les voies et moyens pour améliorer les conditions de travail de leurs mandants, M. Ndiaye et Cie disent avoir remis un mémorandum au gouverneur de région, Mme Seynabou Guèye, qui leur a prêté une oreille attentive.
Outre la concurrence déloyale, Mamadou Ndiaye a aussi soulevé des questions relatives au fonds Force Covid-19 que les taximen de Fatick attendent toujours. Le secrétaire général du Sdcts a également déploré les lenteurs administratives qui font que, depuis 3 ans, certains chauffeurs de taxi, exerçant à Fatick, ne peuvent toujours pas disposer de leur licence, agrément et autres dont les demandes sont pourtant bien déposées au niveau du Service régional des transports terrestres, communément appelé Service des mines.
Le Quotidien