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Gaston le verbo-moteur machiavélique : A bouche que veux-tu ? ( Mame Cheikh Moustarchidine )

La forme est certes étrange, mais point n’eût besoin d’analyser les termes pour comprendre l'image qu'elle véhicule : si la bouche obtient tout ce qu'elle désire, c'est qu'elle est servie à volonté. Et si cette locution portait au départ sur la profusion de nourriture, elle s'est aujourd'hui étendue à bien d'autres choses que le contenu d'une assiette, surtout quand il s’agit de qualifier un ignorant verbo-moteur tel que Gaston Mbengue.


Rédigé par leral.net le Mardi 23 Janvier 2018 à 08:18 | | 0 commentaire(s)|

Gaston le verbo-moteur machiavélique :  A bouche que veux-tu ? ( Mame Cheikh Moustarchidine )
Bien sûr, quand un homme a décidé d’épouser le principe d'une nature qui joue aux dés, c’est parce qu’il a décidé d’être un moins que rien, car il s’installe volontairement dans l’univers des variables ; univers d’incertitude structurelle qui ne dépend pas du soin que l'individu prend à ne pas « déranger » la vérité, mais qui constitue une entrave réelle à la précision de tout instrument de mesure.

Oui, le sens de la mesure ! Gaston Mbengue lui, ignore tout du sens de la mesure car en claquant une fois de plus sa langue fourchue, il dépasse toutes les bornes en parlant de Serigne Moustapha SY. La dernière trouvaille du Procureur de la République (Offense aux chefs religieux) va-t-elle s’abattre sur Gaston ? Ou bien n’a-t-elle été inventée que pour alpaguer Assane Diouf ?

Pourtant Gaston qui a été récemment cité dans une affaire aussi gravissime que celle de chantage, d’injures à l’encontre d’autorités de la République, se pavane allègrement dans les ruelles de la capitale sans autres formes de procès après son audition à la gendarmerie alors que ses lampistes sont retenus dans les liens de la prévention; oserait-on penser que c’est l’impôt de sa liberté qu’il paie en s’attaquant à la volée à Serigne Moustapha SY ?...

Plusieurs questions interpellent la conscience des hommes de bonne volonté ; En tout cas si lobby il y a derrière lui, les masques doivent tomber ne serait-ce que par courage moral. Que ses commanditaires sortent de l’ombre ; en effet, Gaston n’est qu’un lampiste, du menu fretin entre les doigts de personnes tapies dans l’obscurité qui le manipulent comme un fétu de paille. Il se prête à ce jeu dangereux, tout en ignorant qu’il sera tôt ou tard le dindon de la farce à farcir, à la fin de l’histoire.

Et il comprendra, mais un peu tard que le cœur possède sa propre intelligence, différente de celle du cerveau et qu’il devait apprendre à les utiliser en intégrant les deux formes. Les gens aussi bourrus que lui, peuvent-il seulement comprendre la loi de la clarté ? Si la clarté conduit aux bons choix, les bons choix conduisent aux bonnes décisions. Mais la caractéristique des gens indécis, qui perdent du temps à choisir ou qui finissent par mal choisir, est liée au fait qu’ils ne savent pas exactement ce qu’ils veulent faire de leur vie, quelles sont les valeurs auxquelles ils tiennent, les choses qu’ils ne peuvent pas se permettre de faire, les lignes qu’ils ne doivent pas dépasser, et même qui ils souhaitent devenir. En s’improvisant verbo-moteur et défenseur de causes illusoires, Gaston perd énormément du temps à gérer les conséquences de ses mauvais choix plutôt que de se concentrer sur la marche vers la réalisation d’un idéal, parce qu’incapable de voir cet idéal exigible ainsi que les principes et valeurs qui vont avec.

Mais que voulez-vous ? Quand un homme qui n’a jamais pensé faire partie d’un troupeau, est nommé berger par un malencontreux cours du hasard, il lui est très facile de devenir un valet de pied. Il doit essayer un tant soit peu d’élever son sens vibratoire pour être à la hauteur des discours que d’ailleurs, il ne parviendra jamais à décortiquer. Le plus drôle c’est qu’il cherche à faire croire qu’il sert Le Président Macky SALL, alors qu’il se conduit en véritable fossoyeur des efforts consentis jusque-là par les personnes de bonne volonté qui ne cessent de s’activer dans la médiation. Les thuriféraires de son espèce qui ont pour mission de toujours envenimer les situations, comprendront bientôt, que le temps des incendiaires et des pyromanes à la recherche de planques pour chercher bonne fortune s’estompe petit à petit et tout ce qu’ils gagneront dans leurs combats perdus d’avance, est une célébrité quasi triste et un isolement total.

Depuis l’aube des temps, le combat entre le Bien et le Mal perdure, et ceux qui, comme Gaston ont choisi le camp du mal, qu’ils l’assument outre mesure ; en cherchant vaille que vaille à faire partie de l’aristocratie ou de la ploutocratie, on finit par vendre son âme au démon… Lucifer a encore les bras longs pour pêcher ses sujets parmi ces égarés volontaires. Pitié ! Pitié …

Gaston sera-t-il assez intelligent un jour pour comprendre que l’excès de zèle ne paie que tristement ? Certes non, car trop emmuré dans un crétinisme exacerbé...





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Ndèye Fatou Kébé