Dans cette optique, Abdoulaye Diouf, enseignant-chercheur à l’Institut universitaire de pêche et d’aquaculture (Iupa) de l’Ucad de préciser, qu’il n’y a pas de texte réglementaire qui interdit l’installation d’une usine de farine de poisson, mais le ministère serait en train de travailler dans ce sens. Le sujet relatif à l’existence des usines de farine de poisson dans notre pays, fait couler beaucoup d’encre et de salive.
En marge d’un atelier d’élaboration de programme de formation en transformation de produits halieutiques, Abdoulaye Diouf, enseignant-chercheur à l’Institut universitaire de pêche.et d’aquaculture, s’est prononcé sur la question en ces termes. «Au Sénégal, il n’y a pas de texte réglementaire qui interdit l’interdiction d’usine de farine de poisson, mais le ministère est en train de travailler dans ce sens.»
À en croire toujours le spécialiste, le document qui sera élaboré, va permettre de limiter «l’installation d’usines de farine de poisson, dans la mesure où le Sénégal veut arriver à la sécurité alimentaire dans ce secteur à travers la sardinelle et le chinchard et ce sont les espèces qui sont ciblées par les usines».
Abdoulaye Diouf de soutenir qu’il est inconcevable que des poissons de qualité et en nombren soient vendus à ces usines pour l’alimentation d’animaux au détriment des populations sénégalaises qui, pour la plupart, n’ont pas les moyens de se procurer d’autres espèces de poissons.
Tribune
En marge d’un atelier d’élaboration de programme de formation en transformation de produits halieutiques, Abdoulaye Diouf, enseignant-chercheur à l’Institut universitaire de pêche.et d’aquaculture, s’est prononcé sur la question en ces termes. «Au Sénégal, il n’y a pas de texte réglementaire qui interdit l’interdiction d’usine de farine de poisson, mais le ministère est en train de travailler dans ce sens.»
À en croire toujours le spécialiste, le document qui sera élaboré, va permettre de limiter «l’installation d’usines de farine de poisson, dans la mesure où le Sénégal veut arriver à la sécurité alimentaire dans ce secteur à travers la sardinelle et le chinchard et ce sont les espèces qui sont ciblées par les usines».
Abdoulaye Diouf de soutenir qu’il est inconcevable que des poissons de qualité et en nombren soient vendus à ces usines pour l’alimentation d’animaux au détriment des populations sénégalaises qui, pour la plupart, n’ont pas les moyens de se procurer d’autres espèces de poissons.
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