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L’Afp sur l’arnaque autour de 5.000 milliards : « Le nœud gordien a pour noms affairisme et corruption »

Le Bureau Politique de l’Afp ne doute pas de l’arnaque autour des 5.000 milliards. En effet pour Niasse et ses camarades, la liste des forfaitures est trop longue depuis dix ans, pour qu’on puisse accorder au régime en place l’excuse de l’incompétence ou du bénéfice du doute. Aujourd’hui, il apparaît clairement que le nœud gordien a pour noms affairisme et corruption.


Rédigé par leral.net le Mardi 11 Mai 2010 à 12:08 | | 3 commentaire(s)|

L’Afp sur l’arnaque autour de 5.000 milliards : « Le nœud gordien a pour noms affairisme et corruption »
Le Bureau politique de l’AFP qui s’est réuni cet après midi se dit indigné par la fuite en avant inquiétante du régime en place qui, après l’avalanche de scandales financiers, est incapable de se ressaisir pour gérer, avec méthode et organisation, les dossiers prioritaires de notre pays. En effet les progressistes ne peuvent pas comprendre que l’affaire des 20 milliards de SUDATEL tombés, dans l’escarcelle du clan infernal n’ayant pas encore été élucidée par ceux-là mêmes qui ont négocié dans la pénombre, qu’une somme relevant du registre fantastique, 5.000 milliards, soit avancée dans le cadre d’une nébuleuse.

A ce stade, l’instance dirigeante de l’Afp estime qu’il est inutile d’attendre une quelconque amélioration de la gouvernance des Wade. « Comment peut-on comprendre, dans une République, que les principaux projets soient conçus, élaborés et négociés par une camarilla qui ignore royalement l’existence d’un ministre des Finances, des ministères techniques et de leurs services », s’interroge l’Afp ? Et pour Niasse et ses camarades, la liste des forfaitures est longue. « La liste des forfaitures est trop longue depuis dix ans, pour qu’on puisse accorder au régime en place l’excuse de l’incompétence ou du bénéfice du doute. Aujourd’hui, il apparaît clairement que le nœud gordien a pour noms affairisme et corruption, ce qui entraîne le raidissement des pseudo-libéraux qui parasitent, pour des raisons de survie, la vie démocratique du Sénégal et, naturellement, le mode de dévolution du pouvoir plombé par le besoin vital de couvrir des arrières, en confisquant la volonté populaire, par des fraudes électorales massives », ont-ils dit.

C’est, précisément, pour toutes ces raisons, soulignent les progressistes que « les Wade ne peuvent pas tolérer que les hommes de bien émergent au Sénégal et soient célébrés par la communauté internationale. Amadou Mahtar Mbow, Moustapha Niasse, Lamine Diack, Moussa Touré, Jacques Diouf, Ibrahima Fall, Serigne Mansour Sy Jamil, Bara Tall, Youssou Ndour pour ne citer que ces exemples, ont des points communs, en ce sens que dans leurs domaines de compétences respectives et dans les missions qui leur ont été confiées par la communauté des Nations, ils ont brillé de milles feux en portant très haut le flambeau de notre pays, avec talent, rigueur et élégance, le tout mu par une culture patriotique élevée. De surcroît, en portant les valeurs éternelles qui sont celles de notre peuple, ils sont devenus les ennemis publics des tenants du pouvoir qui rêvent de neutraliser ces hommes exemplaires et tous les patriotes ».

Evidemment, dans un tel contexte, il n’est pas étonnant aux yeux des progressistes que le gouvernement de Me Wade consacre l’essentiel de son temps à l’affairisme d’Etat et à la politique politicienne, en refusant de traiter sérieusement les vrais problèmes économiques de notre pays et la demande sociale qui assaille les populations ».



Auteur: Biram NDIAYE

Sahaba net


1.Posté par Badou ba le 11/05/2010 15:01 | Alerter
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JOURNALISTE ALIMENTAIRE TU NOUS EMMERDES

2.Posté par seck le 11/05/2010 19:47 | Alerter
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Fuite en avant de M. François Bakou
mardi 11 mai 2010


Notre enquête sur la compagnie d’assurances Amsa intitulée « Transaction Amsa-Artp : Controverse autour de 6 milliards » a fait sortir François Bakou, actionnaire majoritaire de la société Amsa du bois, alors que jusqu’ici l’homme était très peu loquace préférant travailler dans l’ombre, au figuré comme au propre, pour conduire au Sénégal des affaires qui n’ont pas été toutes orthodoxes, encore moins avantageuses pour ce pays.

Pour sa première sortie officielle, celui qui était jadis nommé le golden boy ivoirien, faisant la pluie et le beau, sous le régime de son ex-mentor, l’ancien président Henry Konan Bédié, s’est livré à une attaque en règle contre notre journal. Il s’en est particulièrement pris à son Directeur de publication, Abdou Latif Coulibaly, dans une mise au point publiée dans le journal en ligne politicosn.com. Cette mise au point de François Bakou appelle plusieurs remarques et des clarifications.

Première observation. Tout au long de l’article, M. Bakou, dans un ton vindicatif se pose en victime d’un procès en sorcellerie intenté par une presse sénégalaise xénophobe, à ses yeux. M Bakou a évité soigneusement d’apporter des réponses précises incriminant sa gestion de la compagnie. Ce n’est pas étonnant de sa part. Il est le produit du régime qui a inventé et théorisé en Côte d’Ivoire, son pays natal, avec une redoutable efficacité sur l’ivoirité : symbole achevé de la xénophobie et de la haine de l’autre. Il sait de quoi il parle, quand il sort de sa bouche le mot.

En effet, quand on a la malchance, comme lui, d’être né, d’avoir grandi et d’avoir été couvé, pendant des années, par un régime totalitaire, comme celui qui en a fait l’homme d’affaires ou l’affairiste de son acabit qu’il est devenu, on comprend facilement que cet homme ait des difficultés réelles à accepter, aujourd’hui, de vivre dans un pays comme le nôtre, où les journalistes exercent en toute indépendance, et avec compétence, leur métier. Il aura toujours du mal à se faire à l’idée que ceux-là pratiquent leur métier avec l’irrévérence naturelle et nécessaire inhérente à l’exercice de leur profession.

La morgue et la prétention – tout cela traduit en définitive le caractère quelque peu voyou de l’homme-, avec lesquelles il s’attaque à la presse de ce pays, dissipent mal dans son propos la frousse qui l’habite et le désarroi qui est le sien, face aux terribles révélations de notre journal. Qu’il reprenne ses esprits ! Il nous laissera toujours de marbre. Nous en avons vu d’autres passer… Il doit d’autant plus garder ses esprits en éveil constant, qu’il aura, sous peu, fort à faire avec la Justice de ce pays….

Revenons à sa réponse qui le met dans une posture victimaire ! Il omet volontairement de dire qu’on lui a donné la parole. Mieux, c’est le directeur de publication de La Gazette qui, face à toutes les dérobades des responsables de sa compagnie, est allé trouver personnellement le président du conseil d’Administration d’Amsa, M. Alioune Badara Niang, pour lui expliquer qu’il n’était pas souhaitable que le journal publie son enquête, sans que François Bakou ou un des responsables de la compagnie désigné par lui, prenne la parole et apporte la version des faits de la compagnie Amsa, face aux graves accusations portées sur elle par le rapport Cima.

Aussi François Bakou falsifie–t-il la vérité, lorsqu’il soutient que nous ne l’avons pas contacté pour recueillir son point de vue. Dans sa mise au point, il dit : « Ce qu’il m’importe de vous apprendre aujourd’hui est simple : il vous était loisible, si votre intention était vraiment d’éclairer la lanterne de vos lecteurs, de m’approcher pour entendre ma part de vérité et la fournir à leur appréciation. Vous auriez sans doute produit un dossier plus rigoureux, plus objectif, plus équilibré. Au lieu de cela, vous avez préféré me fuir et, retranchés dans votre cachette, accumuler des ragots que vous n’avez voulu ni vérifier ni recouper à la bonne source. ».

Pour l’opinion, nous rappelons que nous avons eu différents échanges avec François Bakou. Par souci d’équilibre, nous avons couru derrière les responsables d’Amsa, dont M. Bakou lui-même pendant trois semaines pour recueillir leur avis sur l’article. C’est donc au bout de trois semaines qu’ils ont finalement daigné répondre à nos nombreuses et incessantes sollicitations. C’est ainsi que M. Bakou, par l’entremise Alioune Badara Niang a pris langue avec Abdou Latif Coulibaly.

A la suite de leur rencontre, nous le reconnaissons, il a immédiatement instruit, l’une des directrices de la compagnie qui a accordé plusieurs heures d’entretien au reporter de La Gazette, en lui précisant de ne pas la nommer dans les articles. Elle a exigé l’anonymat. Nous lui avons accordé cet anonymat, comme nous y obligent les règles. Nous étions conscients à La Gazette que cet anonymat affaiblissait les propos de la compagnie. Et c’est ainsi que le directeur de publication a établi de nouveau un contact avec François Bakou, en lui expliquant l’intérêt qu’il y avait pour eux de parler à visage découvert. Et c’est à la suite de cette nouvelle démarche, que François Bakou a désigné le secrétaire général du groupe Cfoa, Amadou Sy pour qu’il parle au journaliste sans anonymat. Et c’est cela qui explique qu’on ait eu deux interlocuteurs de la compagnie, l’un parlant sous le couvert de l’anonymat et l’autre s’exprimant ouvertement.

Deux jours, avant la sortie de notre enquête, ce même Amadou Sy a été dépêché auprès de notre directeur de publication. Il était 19 heures passées ce mardi 4 mai. Quand il est arrivé dans nos locaux, toute la rédaction, toute l’équipe de journalistes qui avait vainement attendue son arrivée était finalement partie.

Avant l’arrivée de M. Sy à la rédaction, M. François Bakou, lui-même, avait téléphoné à M. Coulibaly. Nous vous livrons la teneur de leur entretien : « mon frère, c’est François, je vous envoie M. Sy, Vous savez en cette période, il faut que nous nous envoyions de l’eau ».

La réplique de notre directeur de publication a été celle-ci : « quelle sera la nature de cette eau ? » Et M. Bakou de répondre : « il s’agit de l’eau de pluie ». « Cette eau de pluie », réplique notre directeur de publication à M. François Bakou, « nous en disposerons bientôt par la grâce de Dieu. » Et François Bakou de conclure son propos : « Amadou se déplace vers vous, il va bientôt arriver ».

A son arrivée, Amadou Sy dira au directeur de publication de La Gazette, toute son admiration pour le travail fait par toute la rédaction et son implication personnelle dans le combat patriotique pour la sauvegarde de la démocratie dans notre pays. Il exprimera également tout son respect, concernant la dernière enquête du journal publiée sur les commissions payées concernant l’affaire Sudatel. Il en viendra ensuite à l’affaire qui l’amène. Sa demande a été claire : « nous demandons de renoncer à la publication de votre enquête ne serait-ce que pour une semaine. C’est la directrice de la compagnie Amsa-vie qui sollicite ce report, car elle est en train de négocier un important contrat avec deux sociétés, or si vous publiez, cela risque de faire des dégâts dans nos négociations ».

La réponse de notre directeur de publication fut tout aussi limpide : Sa réponse a été non. Pour une semaine de report, lui indique M. Coulibaly, « nous pourrions même le faire, car pour nous, cela ne changeait pas fondamentalement les données du problème. Cependant, je ne l’aurai accordé qu’avec l’accord de toute la rédaction. Seulement, nous avons déjà lancé l’impression ».

Avec une très grande courtoisie, que la déception manifeste qui marque l’homme n’a en rien édulcorée, Amadou Sy remercie notre directeur de publication et prend congé de lui. La suite on la connaît. Le journal a été mis en vente le jeudi 6 mai. Quelques heures après sa sortie en kiosque, M. François Bakou, appelle M. Coulibaly. Il est furieux et demande à faire paraître une mise au point dans le journal. Le directeur, accepte et lui dit de nous la faire parvenir, à condition que cela porte sur quatre points mises en cause le concernant, et pour lesquelles il n’a pas donné sa version des faits incriminés.

Ces quatre questions ont, en effet, constitué la trame d’un article de (3000 signes), un quart de page du journal et qui est intitulé : « Gestion contestée de la Cfoa », Page 13. Il marque son accord.

Seulement, moins de vingt heures après, il nous fait parvenir une mise au point qui fait le double de toutes les réponses déjà publiées dans le journal qu’il met en cause. La mise au point repend l’intégralité des arguments contenus dans l’interview d’Amadou Sy. Avec fermeté et courtoisie, notre journal exige que François se conforme aux prescriptions de loi, en matière de mise en œuvre du droit de réponse. Il n’en a pas voulu. C’est son droit le plus absolu. C’est le notre également d’édifier l’opinion et de dire toute la vérité sur cette prétendue mise au point qui serait refusée par notre journal à M. François Bakou.

Revenons sur le déroulement du film des entretiens réalisés avec les responsables de la compagnie Amsa, pour prouver que nous avons respecté toutes les règles en la matière. Ils ont eu lieu grâce à M. François Bakou. Au téléphone, François Bakou nous a mis en relation avec la directrice d’Amsa-Vie, Fatou Kiné Fall pour qu’elle apporte des réponses à toutes les questions techniques. Il nous a, en outre assuré, qu’il sera présent à cette rencontre pour répondre éventuellement à certaines questions. Il ne l’a pas fait. Le mardi 20 avril, nous avons discuté pendant 3 heures avec la Directrice, qui malgré sa position dans l’entreprise a souhaité requérir l’anonymat.

Nous avons respecté sa volonté en leur faisant part de notre souhait qu’une autre personne se prononce officiellement. Le lendemain, Amadou Sy, le secrétaire général d’Amsa est venu à la rédaction pour nous convaincre de ne pas publier l’enquête. Il a reçu la même réponse que son patron François Bakou. En clair, la disponibilité subite des responsables d’Amsa était mue par une volonté de s’opposer par tous les moyens à la publication de l’enquête, y compris par des moyens peu orthodoxes. En l’occurrence, Fatou Kiné Fall a proposé à notre reporter de l’offrir un tableau d’art en guise de cadeau. Jugez en vous-même de la nature de l’offre dans le contexte.

C’est donc en désespoir de cause qu’ils ont finalement concédé à répondre à nos questions. A cet effet, nous avons envoyé à Amadou Sy un questionnaire pour répondre aux observations formulées par la mission de contrôle de la Cima. Ses réponses ont été publiées in extenso ainsi que celles de la directrice dans le même dossier. Dans cette quête d’équilibre, nous avons suspendu la publication du dossier pendant trois semaines.

Par ailleurs, François Bakou s’interroge en ces termes : « Dans quel but avez-vous agi ainsi si ce n’est pour nuire à mon image, pour apporter votre pierre à l’entreprise de noircissement de mon nom qui semble être devenue le projet d’une ligue de votre milieu ? » Selon M. Bakou, la Gazette participe ainsi à l’entreprise de destruction de son image. Après un an d’existence, la Gazette, a publié des dizaines d’enquêtes portant sur des sujets d’intérêt public incriminant la gestion et le comportement délinquants de personnalités occupant de hautes responsabilités. C’est la première fois que nous publions une information le mettant en cause. Nous laissons les lecteurs juger.

Peut-être M. Bakou veut-il subtilement nous ébranler en anticipant sur d’éventuelles enquêtes ultérieures portant sur lui. Nous nous réservons le droit de revenir sur la gestion de Amsa autant que nécessaire et autant que l’intérêt public le commandera. Car au-delà de la personne de Bakou il y va de l’intérêt des assurés et des travailleurs. D’ailleurs, ces derniers ont arboré des brassards rouges, le lundi 26 avril dernier, pour dénoncer la gestion de l’entreprise.

Bakou nous accuse de prendre un pré-rapport pour un rapport définitif en ces termes : « La décision de faire passer un pré-rapport pour un rapport définitif et, à partir de là, de proférer invectives, mises en garde et leçons de morale est une première bizarrerie. Il y en a une deuxième. Quand votre rédacteur, après avoir reçu le pré-rapport de la Cima, a approché Amsa-Vie, le rapport correctif de cette maison, préparé pour la Cima, lui a été remis. Or votre article l’a ignoré totalement, n’en laissant pas même transpirer une virgule. »

La remarque est d’autant plus saugrenue que nous leur avons soumis une série de questions portant sur ce pré-rapport. Ils ont disposé de 10 jours pour y répondre amplement. Ces mêmes réponses ont été publiées en intégralité. C’est donc une pure affabulation que d’affirmer qu’« une virgule » de la réponse ne figure dans l’enquête. Il suffit pour s’en convaincre de lire le numéro 57 de la Gazette.

Dernière remarque. Nous le répétons : Après la publication de l’article, M. Bakou a contacté M. Coulibaly pour lui pour faire savoir qu’il voulait faire une mise au point parce qu’estimant, à juste titre, qu’on ne lui a pas donné la parole sur un passage qui parle de ses déboires financiers en Côte-d’Ivoire et au Togo. Au lieu de s’en limiter à cette question comme la loi lui permet, il a voulu revenir sur les autres questions sur lesquelles il a déjà répondu. Bien entendu, nous lui avons dit de s’en limiter au passage incriminé. A notre surprise nous avons constaté qu’il a préféré faire une mise au point dans un journal en ligne totalement étranger à cette histoire. Voilà les faits

En définitive, l’enquête que nous avons publiée contient des informations précises qui mettent en cause la responsabilité des dirigeants au premier chef, François Bakou. Comme nous le disions plus haut, M. Bakou s’est bien gardé d’apporter des clarifications, tout en essayant de se poser en victime d’une presse calomnieuse et xénophobe qui ne l’inspire que « pitié. »

La Gazette a appris que François Bakou dit aujourd’hui avoir suffisamment travaillé sur son dossier pendant devant la justice, pour espérer arriver dans un délai assez rapproché à une conclusion heureuse pour lui. Nous le lui souhaitons. Seulement, nous savons quelle a été la nature du travail effectué. En temps opportun, nous révélerons aux Sénégalais quelle a été la substance du travail accompli. Nous rappelons à M. François Bakou qu’il a choisi de vivre au Sénégal qui, fort heureusement, est encore épargné par la vague de xénophobie et d’ostracisme qui frappe et déstructure les sociétés africaines ailleurs en Afrique.

Il supportera, tant que son choix demeurera, les dérives de la presse nationale, ses manquements, ses incompétences supposées ou réelles. Sinon, il pourra toujours faire laver son honneur bafoué, car il a toute la latitude de saisir la justice à cet effet. En attendant, il devra apprendre à faire avec la rigueur de cette même presse qui dérange ses certitudes d’homme d’affaires ou d’affairiste accompli, ayant souvent pris, ailleurs, et chez nous aussi, trop de liberté avec la loi républicaine. Qu’il se le tienne pour dit. Et sans rancœur !

La Gazette

3.Posté par Monique JOUBERT le 06/12/2016 00:18 | Alerter
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J’ai été victime d’une grosse arnaque sur le net.

Mon nom est Monique JOUBERT j'ai été victime d'une arnaque Le coupable était un homme qui se dit être homme d’affaire du milieu pétrolier qui devait se rendre urgemment en Afrique.

Dès son arrivée, il m'a fait signe de vie et nous avons dialogué sur skype pendant quelque semaine. Suite a cela, il m'a dit qu’il a été victime d’une agression et me demandait de l’aide, c’est a partir de cet instant que mon calvaire a commencé, j'ai dépensé jusqu'à 18.200 euros.

Compte tenu de la situation, j’ai porté plainte auprès de ma gendarmerie mais rien n'a été fait car le coupable étant en Afrique ainsi donc je me suis rapprocher du service Interpol luttant contre les arnaques sur internet en Afrique qui a pris mon dossier en main et cette personne qui se faisait passer pour un français a été arrêté puis j'ai récupéré mon argent ainsi que des dédommagements.

Soyons vigilants sur internet et surtout sur les réseaux sociaux, alors si vous pensez être victime d'une arnaque, vous pouvez prendre contact avec le service Interpol et ils vous aideront à arrêter votre
arnaqueur,

voici leur adresse mail: alain.duchet54@gmail.com
Ouvrons les yeux et faisons attention aux faux profils.

ALAIN DUCHET

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