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La génération bleue : un choix, une foi

Bien des observateurs politiques sont d’avis que le Sénégal à l’image de tous les pays ne peut se développer en occultant sa jeunesse qui constitue le moteur impulsif, l’énergie sans laquelle aucune émergence de quelque nature qu’il soit n’est possible.


Rédigé par leral.net le Mardi 29 Mars 2011 à 09:10 | | 4 commentaire(s)|

Les nations fortes ont toujours compté sur l’expertise d’une jeunesse responsable parce que bien formée au préalable, à une échelle transversale pour relever les défis qui, à l’origine ont l’air d’obstacles insurmontables. Le Sénégal qui n’est pas une exception à la règle n’a de force que sa jeunesse, fer de lance de la bataille pour le développement au sens le plus large du mot ; devoir aux jeunes d’assurer la relève car il est cas d’un héritage dont le poids repose sur les épaules d’une frange de la population plus prompte à contester qu’à s’assumer.

Aujourd’hui, il est clair que le Sénégal ne se réalisera pas sans sa jeunesse. Cela, le Parti démocratique sénégalais au pouvoir en est d’autant plus conscient que le Chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade, depuis son arrivée à la tête de la magistrature suprême a fait signe de foi en la jeunesse de son pays dont la promotion à des stations de responsabilité est d’une illustration sans commune mesure ailleurs. Preuve que dans une République, le principe de la continuité des institutions recommande à plus d’un impératif que la jeunesse soit associée aux commandes et aux affaires.

Et la génération bleue, cette structure à la naissance de laquelle nous sommes acquis se veut un cadre inter-générationnel de discussion sur l’avenir du libéralisme qui veut que plus d’espace soit accordé aux jeunes qui n’étaient pas là à l’heure de la formations du Pds mais qui jouent aujourd’hui des rôles de responsables. Cela à notre avis est une manière de faire évoluer l’idéologie du Parti démocratique sénégalais qui n’entend pas faillir à son devoir de remettre le flambeau aux jeunes pour être en phase avec les préoccupations du temps. De 1974, l’année de la création du Pds à nos jours, les contextes ont évolué ; autrement dit, les anciens de la formation politique libérale ont naturellement fait leur preuve. Il y a lieu de les remercier pour laisser les choses bouger avec les jeunes. Telle est notre conviction politique. Elle est irréductible car inspirée d’une démarche politique cohérente qui veut que le Sénégal aux destinées duquel Me Wade préside en tant troisième Chef de l’Etat soit une République qui force respect et considération avec une jeunesse à la pointe de toutes les batailles futures.

Me Wade qui reste incontestablement porteur d’espoir est naturellement le candidat idéal de la génération bleue à la présidentielle de 2012. L’homme pour avoir fait confiance à la jeunesse à laquelle il a préparé à l’accomplissement des responsabilités est un acteur de la rupture par rapport aux méthodes classiques. Qui dit génération bleue, renvoie à ce cadre de dialogue qui a déjà étendu ses antennes en France et en Espagne, avec en ligne de mire la mise en place des comités régionaux au Sénégal.

Par la rédaction De leral.net


1.Posté par BOUKI SINE le 29/03/2011 10:03 | Alerter
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Encore une "griotterie" pour servir la propagande des Wade !
La jeunesse sénégalaise d'aujourd'hui a vomi le régime de Wade. Son regroupement sous le slogan : Y'EN A MARRE, le prouve et met fin à toutes polémiques.
VOUS NE NOUS TROMPEREZ PLUS !

2.Posté par lakatar le 29/03/2011 13:15 | Alerter
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mais comment tu viens nous faire chier avec ce cadavre de 90 ans. wade est fini biologiquement politiquement ;

3.Posté par makou le 29/03/2011 13:51 | Alerter
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Ce qui est franchement désopilant, c'est d'entendre de jeunes seriner à tout vent que "Pa bi" est le candidat idéal sur lequel ils comptent pour demain... Ils ne semblent même pas se rendre compte que si par extraordinaire, il rempilait le Sénégal serait alors le seul pays au monde gouverné par un vieillard de cent ans. Ne surtout pas perdre de vue que Mame Wade a officiellement 87 ans, et c'est à partir d'un jugement supplétif pour lui permettre d'aller à l'école des blancs. Et puisqu'il dit avoir couru derrière le cheval de Serigne Touba, il faut ajouter au moins 10 ans à cet âge officiel. On n'est donc pas loin des 100 ans alors que le pays le plus puissant du monde est coaché par un cinquantenaire, la France de même, la Russie, et beaucoup d'autres. En clair, Pa bi est fini, et bien fini

4.Posté par KANE le 29/03/2011 14:25 | Alerter
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vous taxez le vieux de tous les mots, mais le probleme est de savoir qui est votre idole ,votre homme fort, il nous faut quelqu'un a la place de notre bibliotheque et vous devez savoir que personne ne souhaite remplacer sa bibliotheque par des parterres.donnez nous un nom pour le successeur de wade.

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