Cette fois-ci, la bataille semble bel et bien finie. Sous pression après son nul à domicile contre l'Espanyol Barcelone (2-2) dimanche dernier, le Real Madrid a commis un nouveau faux-pas, ce samedi. Celui de trop, très certainement. En s'inclinant sur la pelouse de Malaga (2-3), au terme d'un match dont ils n'auront jamais su s'adjuger les clés, les Merengue se sont un peu plus éloignés du titre de champion qu'ils visaient en début de saison. Ils comptent désormais 16 points de retard sur le FC Barcelone. Un gouffre qui paraît aujourd'hui impossible à combler.
Des relations tendues...
Critiqué par les journalistes, désavoué par certains de ses propres joueurs, José Mourinho avait décidé de frapper fort, en reléguant Iker Casillas, qu'il ne juge pas assez performant, sur le banc des remplaçants. Une première depuis dix ans ! Un nouveau signe, s'il en était nécessaire, des tensions qui gangrènent le vestiaire madrilène. Un nouveau symbole, également, de la relation tendue qu'entretiennent le coach portugais et certains cadres, espagnols notamment...
S'il a parfaitement résisté à Malaga en première période, le Real Madrid, qui paraissait démobilisé, a vu les tensions déteindre sur sa performance au retour des vestiaires. Après l'ouverture du score d'Isco (48e), Santa Cruz s'est offert un doublé (73e, 76e), offrant ainsi une victoire de prestige aux siens. Si le Real est parvenu à revenir, grâce à un but contre son camp de Sergio Sanchez (66e) puis par l'intermédiaire de Benzema (81e), il a manqué de rigueur pour l'emporter. D'ambition, aussi, peut-être. Comme si tout était déjà joué. Tant sur le plan sportif que sur le plan interne.
Des relations tendues...
Critiqué par les journalistes, désavoué par certains de ses propres joueurs, José Mourinho avait décidé de frapper fort, en reléguant Iker Casillas, qu'il ne juge pas assez performant, sur le banc des remplaçants. Une première depuis dix ans ! Un nouveau signe, s'il en était nécessaire, des tensions qui gangrènent le vestiaire madrilène. Un nouveau symbole, également, de la relation tendue qu'entretiennent le coach portugais et certains cadres, espagnols notamment...
S'il a parfaitement résisté à Malaga en première période, le Real Madrid, qui paraissait démobilisé, a vu les tensions déteindre sur sa performance au retour des vestiaires. Après l'ouverture du score d'Isco (48e), Santa Cruz s'est offert un doublé (73e, 76e), offrant ainsi une victoire de prestige aux siens. Si le Real est parvenu à revenir, grâce à un but contre son camp de Sergio Sanchez (66e) puis par l'intermédiaire de Benzema (81e), il a manqué de rigueur pour l'emporter. D'ambition, aussi, peut-être. Comme si tout était déjà joué. Tant sur le plan sportif que sur le plan interne.
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