Le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Oumar Guèye, va co-présider un panel sur les Objectifs de développement durable (ODD 14), mercredi, à New York (Etats-Unis), à l’occasion de la Conférence mondiale sur les Océans (5-10 juin), a appris l’APS.
À la tribune de l’Organisation des Nations unies (ONU), le ministre Oumar Guèye va partager l’expérience sénégalaise sur la pêche durable "avec la panoplie de mesures prises par le gouvernement pour préserver, protéger" ce secteur.
Cette intervention sera axée sur : "Conserver et exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines aux fins du développement durable", a expliqué M. Guèye qui va co-présider cette rencontre avec son homologue canadien.
Ce panel va constituer une opportunité pour partager "la grande expérience" sénégalaise en matière de pêche, a indiqué M. Guèye, dans un entretien téléphonique avec l’APS.
"Nous allons parler du Code la pêche instauré par la loi 2015-18 de juillet 2015, de la lutte contre la pêche illégale, de l’augmentation de la taille minimale de poissons à capturer, de la protection des ressources marines, de la gestion durable, de la protection des pêcheries, des aires et zones de pêche protégées, du développement de l’aquaculture, etc.", a détaillé le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime.
Accompagné d’experts de son département, dont le capitaine de Vaisseau et directeur de la Protection et de la Surveillance des pêches, Mamadou Ndiaye, Oumar Guèye s’exprimera devant un parterre de chefs d’Etat, de gouvernements et de ministres en charge de la Pêche du monde.
Selon l’ONU, les océans sont de plus en plus menacés, dégradés ou détruits par les activités humaines, réduisant leur capacité à favoriser une aide à l’économie mondiale.
"30% des stocks mondiaux de poissons sont surexploités et plus de 50% sont totalement exploités, les habitats côtiers sont sous pression avec environ 20% du récif corallien mondial perdu et 20% dégradé", ajoutent les experts de l’organisation des Nations-Unies.
Ils renseignent que "la Conférence sur les océans représente une opportunité inestimable pour le monde d’inverser le déclin précipité de la santé des océans et des mers avec des solutions concrètes. Celle-ci devrait également favoriser le progrès dans la mise en œuvre de l’ODD 14 issu du Programme de développement durable à l’horizon 2030, adopté par 193 Etats membres de l’ONU en 2015".
À la tribune de l’Organisation des Nations unies (ONU), le ministre Oumar Guèye va partager l’expérience sénégalaise sur la pêche durable "avec la panoplie de mesures prises par le gouvernement pour préserver, protéger" ce secteur.
Cette intervention sera axée sur : "Conserver et exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines aux fins du développement durable", a expliqué M. Guèye qui va co-présider cette rencontre avec son homologue canadien.
Ce panel va constituer une opportunité pour partager "la grande expérience" sénégalaise en matière de pêche, a indiqué M. Guèye, dans un entretien téléphonique avec l’APS.
"Nous allons parler du Code la pêche instauré par la loi 2015-18 de juillet 2015, de la lutte contre la pêche illégale, de l’augmentation de la taille minimale de poissons à capturer, de la protection des ressources marines, de la gestion durable, de la protection des pêcheries, des aires et zones de pêche protégées, du développement de l’aquaculture, etc.", a détaillé le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime.
Accompagné d’experts de son département, dont le capitaine de Vaisseau et directeur de la Protection et de la Surveillance des pêches, Mamadou Ndiaye, Oumar Guèye s’exprimera devant un parterre de chefs d’Etat, de gouvernements et de ministres en charge de la Pêche du monde.
Selon l’ONU, les océans sont de plus en plus menacés, dégradés ou détruits par les activités humaines, réduisant leur capacité à favoriser une aide à l’économie mondiale.
"30% des stocks mondiaux de poissons sont surexploités et plus de 50% sont totalement exploités, les habitats côtiers sont sous pression avec environ 20% du récif corallien mondial perdu et 20% dégradé", ajoutent les experts de l’organisation des Nations-Unies.
Ils renseignent que "la Conférence sur les océans représente une opportunité inestimable pour le monde d’inverser le déclin précipité de la santé des océans et des mers avec des solutions concrètes. Celle-ci devrait également favoriser le progrès dans la mise en œuvre de l’ODD 14 issu du Programme de développement durable à l’horizon 2030, adopté par 193 Etats membres de l’ONU en 2015".