Les chauffeurs de taxis qui crient à la discrimination, comptent investir la rue le 22 juillet prochain, pour réclamer l’amélioration de leurs conditions de travail.
Selon "L’As", ils se sentent abandonnés par les autorités mais aussi veulent la lumière sur la mort tragique de leur camarade, Ibrahima Samb, tué en 2016.
Ces chauffeurs de taxis, affiliés au Syndicat Démocratique ont lors de leur face-à-face avec la presse, déploré leur exclusion lors des pourparlers sur l’avenir de leur secteur, les tracasseries sur les routes, l’arrêt de délivrance des laissez-passer et des visites techniques et l’insuffisance de l’aide du gouvernement, dans le cadre du fonds Force Covid-19.
Selon "L’As", ils se sentent abandonnés par les autorités mais aussi veulent la lumière sur la mort tragique de leur camarade, Ibrahima Samb, tué en 2016.
Ces chauffeurs de taxis, affiliés au Syndicat Démocratique ont lors de leur face-à-face avec la presse, déploré leur exclusion lors des pourparlers sur l’avenir de leur secteur, les tracasseries sur les routes, l’arrêt de délivrance des laissez-passer et des visites techniques et l’insuffisance de l’aide du gouvernement, dans le cadre du fonds Force Covid-19.