En conférence publique, la semaine dernière à l’Ucad, sur le thème «Paix et stabilité effectives dans les universités sénégalaises : le rôle des acteurs», la présidente de la Commission féminine du Meer a appelé au calme.
«Etant acteur principal pour le maintien de la paix et de la stabilité au sein des campus, l’étudiant doit y jouer un rôle prépondérant avant même que les autorités universitaires, voire étatiques, y participent. Nous devons faire de nos universités, des havres de paix», a dit Ndèye Fatou Thiam.
Pour ce faire, elle estime que «chaque étudiant doit respecter la culture et la tradition de son prochain, la foi ou la croyance de l’autre, l’obédience politique de l’autre». La présidente de la Commission féminine des étudiants du parti au pouvoir, a exhorté ses camarades; «à jeter par la fenêtre, les armes blanches et à s’armer de sagesse» comme l’avait à peu près dit leur parrain, Cheikh Anta Diop, en soutenant : «Armez-vous de sciences jusqu’aux dents et arrachez votre patrimoine culturel ».
Abondant dans le même sens, le Coordonnateur national du Meer est convaincu que pour une paix durable dans l’espace universitaire, il faudrait que tous les universitaires se réunissent autour d’une table.
«L’université a été toujours un lieu de combats de gladiateurs entre étudiants et forces de l’ordre, et entre étudiants et autorités universitaires. Mais depuis 2012, ces grèves tendent à disparaître parce que les attentes des étudiants sont en train d’être prises en compte par un pur produit de l’université sénégalaise, qui est le Président Macky Sall», a dit Abdoulaye Diagne.
Le Meer a cité, entre autres réalisations, l’augmentation du nombre de lits dans les universités, l’augmentation des bourses, la baisse du prix des tickets de restauration et la construction de nouveaux amphis.
Le Quotidien
«Etant acteur principal pour le maintien de la paix et de la stabilité au sein des campus, l’étudiant doit y jouer un rôle prépondérant avant même que les autorités universitaires, voire étatiques, y participent. Nous devons faire de nos universités, des havres de paix», a dit Ndèye Fatou Thiam.
Pour ce faire, elle estime que «chaque étudiant doit respecter la culture et la tradition de son prochain, la foi ou la croyance de l’autre, l’obédience politique de l’autre». La présidente de la Commission féminine des étudiants du parti au pouvoir, a exhorté ses camarades; «à jeter par la fenêtre, les armes blanches et à s’armer de sagesse» comme l’avait à peu près dit leur parrain, Cheikh Anta Diop, en soutenant : «Armez-vous de sciences jusqu’aux dents et arrachez votre patrimoine culturel ».
Abondant dans le même sens, le Coordonnateur national du Meer est convaincu que pour une paix durable dans l’espace universitaire, il faudrait que tous les universitaires se réunissent autour d’une table.
«L’université a été toujours un lieu de combats de gladiateurs entre étudiants et forces de l’ordre, et entre étudiants et autorités universitaires. Mais depuis 2012, ces grèves tendent à disparaître parce que les attentes des étudiants sont en train d’être prises en compte par un pur produit de l’université sénégalaise, qui est le Président Macky Sall», a dit Abdoulaye Diagne.
Le Meer a cité, entre autres réalisations, l’augmentation du nombre de lits dans les universités, l’augmentation des bourses, la baisse du prix des tickets de restauration et la construction de nouveaux amphis.
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