Venu présider la cérémonie officielle de lancement du recensement général des entreprises ce mercredi 3 août, le chef de l’Etat en a profité pour encore solder ses comptes avec l’opposition. En effet, Macky Sall qui répondait certainement aux attaques de Birame Souleye Diop de Pastef, qui l’avait accusé de fonder son programme sur l’aide financière de l’occident, a fait savoir que son désir c’est de faire en sorte que le Sénégal puisse se passer, sous peu, de l’aide financière des autres. «Nous avons des ressources qui peuvent nous permettre d’atteindre une autonomie financière. Il suffit juste d’avoir la volonté et d’adapter notre économie à la réalité. Nous allons faire du secteur informel le principale pilier de notre économie», a fait savoir le chef de l’Etat.
A en croire le locataire du palais de République, seuls 300.000 sénégalais sur 14 millions ont un salaire. «Le Sénégal peut tout à fait se développer avec son secteur in formel si ce dernier reçoit l’appui nécessaire des autorités étatiques. La majorité des Sénégalais vit du secteur informel, donc un encadrement et un accompagnement pour ces filières s’imposent naturellement», a affirmé le président de la République.
«J’ai fait du syndicalisme, j’ai la fibre sociale mais…»
Il faut croire que rien ne peut amener le Président Sall à céder aux exigences des syndicalistes. Énonçant les difficultés qui plombent l’envol de l’économie sénégalaise, Macky Sall a tenu à mettre en garde les syndicalistes. «J’ai fait du syndicalisme et j’ai la fibre sociale. Mais ce que je ne peux accepter c’est qu’une minorité bénéficie des largesses de l’Etat et que la masse continue de mordre de la poussière. J’ai dit à mon gouvernement que je n’interviendrai pas dans les engagements pris devant les syndicalistes», prévient-il.
A en croire le locataire du palais de République, seuls 300.000 sénégalais sur 14 millions ont un salaire. «Le Sénégal peut tout à fait se développer avec son secteur in formel si ce dernier reçoit l’appui nécessaire des autorités étatiques. La majorité des Sénégalais vit du secteur informel, donc un encadrement et un accompagnement pour ces filières s’imposent naturellement», a affirmé le président de la République.
«J’ai fait du syndicalisme, j’ai la fibre sociale mais…»
Il faut croire que rien ne peut amener le Président Sall à céder aux exigences des syndicalistes. Énonçant les difficultés qui plombent l’envol de l’économie sénégalaise, Macky Sall a tenu à mettre en garde les syndicalistes. «J’ai fait du syndicalisme et j’ai la fibre sociale. Mais ce que je ne peux accepter c’est qu’une minorité bénéficie des largesses de l’Etat et que la masse continue de mordre de la poussière. J’ai dit à mon gouvernement que je n’interviendrai pas dans les engagements pris devant les syndicalistes», prévient-il.