Ce maçon de 30 ans, Giovanni Lopez, a été arrêté le 4 mai dernier par la police municipale d'Ixtlahuacan de Los Membrillos, près de Guadalajara, comme le rapporte le Guardian.
Publiées sur les réseaux sociaux, les images de son arrestation montrent plusieurs policiers le traîner de force jusqu'à leur camionnette, alors que des passants plaident pour sa libération. Sur la vidéo, l'un des témoins de la scène demande : «Juste pour ne pas porter de masque ?», ce à quoi un officier répond : «Il résistait».
Plus tard, lorsque ses proches sont allés au commissariat le chercher, les policiers leur ont indiqué que Giovanni Lopez se trouvait à l'hôpital public de Guadalajara, où il était décédé. Son autopsie a révélé qu'il était mort d'un traumatisme crânien, et qu'une balle se trouvait dans son pied.
En quelques heures, le hashtag #JusticiaParaGiovanni a enflammé les réseaux sociaux et de nombreuses personnalités ont pris la parole, comme l'acteur et réalisateur Gael Garcia Bernal pour qui «Giovanni n'est pas mort, la police l'a tué».
Ou encore l'actrice Salma Hayek qui a posté un long message sur Instagram pour réclamer la justice pour Giovanni Lopez. «Nous demandons au gouvernement mexicain la JUSTICE pour Giovanni et pour toutes les personnes touchées par la brutalité et la corruption de certains membres de la police mexicaine. Et je demande aux responsables de la sécurité publique de trouver dans leur coeur, l'humanité et l'honneur de protéger notre peuple qui a tant besoin de héros et d'espoir. Changeons», écrit-elle.
Cette nouvelle affaire de violences policières fait écho à celle du meurtre de George Floyd, un Afro-Américain de 46 ans tué à Minneapolis par un policier blanc, Derek Chauvin, lundi dernier.
Cnews
Publiées sur les réseaux sociaux, les images de son arrestation montrent plusieurs policiers le traîner de force jusqu'à leur camionnette, alors que des passants plaident pour sa libération. Sur la vidéo, l'un des témoins de la scène demande : «Juste pour ne pas porter de masque ?», ce à quoi un officier répond : «Il résistait».
Plus tard, lorsque ses proches sont allés au commissariat le chercher, les policiers leur ont indiqué que Giovanni Lopez se trouvait à l'hôpital public de Guadalajara, où il était décédé. Son autopsie a révélé qu'il était mort d'un traumatisme crânien, et qu'une balle se trouvait dans son pied.
En quelques heures, le hashtag #JusticiaParaGiovanni a enflammé les réseaux sociaux et de nombreuses personnalités ont pris la parole, comme l'acteur et réalisateur Gael Garcia Bernal pour qui «Giovanni n'est pas mort, la police l'a tué».
Ou encore l'actrice Salma Hayek qui a posté un long message sur Instagram pour réclamer la justice pour Giovanni Lopez. «Nous demandons au gouvernement mexicain la JUSTICE pour Giovanni et pour toutes les personnes touchées par la brutalité et la corruption de certains membres de la police mexicaine. Et je demande aux responsables de la sécurité publique de trouver dans leur coeur, l'humanité et l'honneur de protéger notre peuple qui a tant besoin de héros et d'espoir. Changeons», écrit-elle.
Cette nouvelle affaire de violences policières fait écho à celle du meurtre de George Floyd, un Afro-Américain de 46 ans tué à Minneapolis par un policier blanc, Derek Chauvin, lundi dernier.
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