A hauteur de la grille, elle se divise en 2 ramifications qui forment des demi- cercles par rapport à cette grande voie. L’intérieur de ces demi-cercles est constitué par des espaces gazonnées sur lequel jaillissent des cocotiers, des tamariniers et des fleurs. Face à ces demi-cercles un alignement de villas que Baye Djily a construites pour sa descendance. La voie franchit les grilles pour se subdiviser encore une fois en 2 devant la splendeur et l’immensité d’une citadelle que les employés nomment affectueusement Palais 1.
A droite elle (la voie) mène tout droit à un minaret aux allures de mosquée. Puis elle s’engouffre presque dans les plus grands châteaux du Palais de Djily Mbaye que le personnel appelle avec fierté Palais 2. A gauche elle vous amène à la première salle des Banquets avant de vous trainer sur les 100m de la deuxième salle des banquets.
Ces constructions sont toutes décorées pour que tout dirigeant de ce monde s’y sente chez lui. Des carreaux de marbre sur lesquels s’étalent impunément des tapis épais et mous. Des canapés arabes qui se meurent sur les courbes et les formes de ces innombrables et grands séjours sur toutes leurs longueurs. Dans ces grands salons spacieux, plusieurs causeuses permettent aux convives de causer à leurs guises. Un bois de luxe, lissé par un vernissage haut de gamme est encastrés sur les parties intérieures des salles.
Et à certains endroits ils (les murs) se confondent aux mobiliers aux étagères et aux bibliothèques. La diversité et l’harmonie des couleurs sont aussi respectées, malgré la dominance du rouge lustré par endroit par les rayons du soleil qui s’échappent des lustres du plafond. Dans cette grande demeure toutes les espaces à ciel ouvert sont recouvertes de gazon sur lequel jaillissent plusieurs espèces d’arbres et d’arbustes. L’oxygène dégagé par les cocotiers, les tamariniers, les manguiers et les autres végétaux crée à l’intérieur de ce palais un micro -climat qui contraste avec celui de l’ensemble de la ville.
Par son architecture et son intérieur, le Palais de Djily Mbaye porte bien son nom de « Palais » et son « livre d’or » retrace une partie de son histoire. Si les Présidents du Sénégal Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf, Abdoulaye Wade et Macky Sall sont chez eux dans ce palais, C’est aussi ici que les plus grands Présidents africains ont trouvé un autre chez soi. Les Présidents Houphouët Boigny de la Côte d’Ivoire, Mobutu du Zaïre, Denis Sassou Nguésso, Hissène Habré du Tchad, Yacine Bé Eyadema, entre autres.
A côté des Présidents, le Palais de Djily accueillent des invités particuliers. Des grands dignitaires religieux, de simples voyageurs, des inconnus qui sont tous traités avec les mêmes égards. Car pour cet érudit de l’islam, son palais a été aussi construit pour accueillir tous les hommes de foi. Et c’est pour cette raison qu’il a soustrait le palais et « Ker Mohameth » de la liste de son héritage. Il les déclare patrimoine de tous les musulmans.
Cet homme qui repose aujourd’hui dans sa demeure éternelle à droite de la grande grille de son palais a marqué l’histoire de sa ville natale et du pays de part son génie créatif, les infrastructures qu’il a réalisées et surtout sa sobriété, son humanisme et sa dimension religieuse. Ce palais, il l’a inauguré en 1979, durant la période du Maouloud. Après s’être installé lui et sa famille, il a dédié cette propriété au prophète Mohamed (SAWS). Chaque année, il y célébrait la naissance du propte maishète Mohamed (SAWS). C'est dans ce palais où il se tenait et offrait des sommes d’argent à tous ceux qui avaient assisté au Maouloud. C’était des sommes énormes qu’il distribuait. Ensuite, il allait voir les autorités pour leur offrir à leur tour des présents.
A droite elle (la voie) mène tout droit à un minaret aux allures de mosquée. Puis elle s’engouffre presque dans les plus grands châteaux du Palais de Djily Mbaye que le personnel appelle avec fierté Palais 2. A gauche elle vous amène à la première salle des Banquets avant de vous trainer sur les 100m de la deuxième salle des banquets.
Ces constructions sont toutes décorées pour que tout dirigeant de ce monde s’y sente chez lui. Des carreaux de marbre sur lesquels s’étalent impunément des tapis épais et mous. Des canapés arabes qui se meurent sur les courbes et les formes de ces innombrables et grands séjours sur toutes leurs longueurs. Dans ces grands salons spacieux, plusieurs causeuses permettent aux convives de causer à leurs guises. Un bois de luxe, lissé par un vernissage haut de gamme est encastrés sur les parties intérieures des salles.
Et à certains endroits ils (les murs) se confondent aux mobiliers aux étagères et aux bibliothèques. La diversité et l’harmonie des couleurs sont aussi respectées, malgré la dominance du rouge lustré par endroit par les rayons du soleil qui s’échappent des lustres du plafond. Dans cette grande demeure toutes les espaces à ciel ouvert sont recouvertes de gazon sur lequel jaillissent plusieurs espèces d’arbres et d’arbustes. L’oxygène dégagé par les cocotiers, les tamariniers, les manguiers et les autres végétaux crée à l’intérieur de ce palais un micro -climat qui contraste avec celui de l’ensemble de la ville.
Par son architecture et son intérieur, le Palais de Djily Mbaye porte bien son nom de « Palais » et son « livre d’or » retrace une partie de son histoire. Si les Présidents du Sénégal Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf, Abdoulaye Wade et Macky Sall sont chez eux dans ce palais, C’est aussi ici que les plus grands Présidents africains ont trouvé un autre chez soi. Les Présidents Houphouët Boigny de la Côte d’Ivoire, Mobutu du Zaïre, Denis Sassou Nguésso, Hissène Habré du Tchad, Yacine Bé Eyadema, entre autres.
A côté des Présidents, le Palais de Djily accueillent des invités particuliers. Des grands dignitaires religieux, de simples voyageurs, des inconnus qui sont tous traités avec les mêmes égards. Car pour cet érudit de l’islam, son palais a été aussi construit pour accueillir tous les hommes de foi. Et c’est pour cette raison qu’il a soustrait le palais et « Ker Mohameth » de la liste de son héritage. Il les déclare patrimoine de tous les musulmans.
Cet homme qui repose aujourd’hui dans sa demeure éternelle à droite de la grande grille de son palais a marqué l’histoire de sa ville natale et du pays de part son génie créatif, les infrastructures qu’il a réalisées et surtout sa sobriété, son humanisme et sa dimension religieuse. Ce palais, il l’a inauguré en 1979, durant la période du Maouloud. Après s’être installé lui et sa famille, il a dédié cette propriété au prophète Mohamed (SAWS). Chaque année, il y célébrait la naissance du propte maishète Mohamed (SAWS). C'est dans ce palais où il se tenait et offrait des sommes d’argent à tous ceux qui avaient assisté au Maouloud. C’était des sommes énormes qu’il distribuait. Ensuite, il allait voir les autorités pour leur offrir à leur tour des présents.