«Actuellement, je peux dire que je souffre parce que nos filles sont utilisées comme des objets sans valeur. Le sort de nos filles me fait souffrir. On parle souvent de viol et de manque de considération, ce qui est contraire à la valeur et à la dignité humaine», a fait savoir Mme Sidibé, qui invite l’État à faire preuve de volonté politique pour que cela cesse.
Selon elle, on ne peut pas construire une société de qualité, si les filles sont considérées de la sorte.
Elle s’exprimait en marge de l’atelier du comité ad-hoc des Femmes leaders pour la paix, la démocratie, le respect des institutions et de l’État de droit, qui s’est tenu hier, mercredi 24 novembre 2021.
Tribune
Selon elle, on ne peut pas construire une société de qualité, si les filles sont considérées de la sorte.
Elle s’exprimait en marge de l’atelier du comité ad-hoc des Femmes leaders pour la paix, la démocratie, le respect des institutions et de l’État de droit, qui s’est tenu hier, mercredi 24 novembre 2021.
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