Au total, les engagements en matière d’investissements dans les régions de Saint-Louis, Kaolack, Diourbel, Ziguinchor, Louga, Matam, Kolda, Tambacounda, Kédougou, Thiès, Sédhiou, Kaffrine et Fatick ont été évalués à deux mille neuf cent quatre vingt dix-huit milliards sept cent quarante-cinq millions (2 998,745 milliards de F CFA) et concernent des programmes et projets à réaliser à fin 2017.
Les conseils délocalisés se sont tenus dans les 14 régions. Toutefois le rapport établit un bilan d’étape pour les 13 régions. La région de Dakar a fait l’objet d’un traitement spécifique, étant la dernière à accueillir le Conseil des Ministres délocalisé, et ayant plusieurs projets en instance de démarrage.
A ce jour, l’ensemble des investissements consentis par l’Etat et ses différents démembrements, en cours d’achèvement ou entièrement exécutés, est évalué à 2 450,913 milliards, soit un taux d’exécution global de 82%.
Au total des niveaux d’exécution appréciables ont été notés pour les régions de Saint Louis (111%), Matam (145%), Thiès (115%), Kolda (101%), Ziguinchor (86%), Louga (79%) et Tambacounda (73%), dans une certaine mesure.
La région de Fatick, avec 50%, affiche un taux d’exécution assez satisfaisant, si l’on considère qu’elle a été parmi les toutes dernières à accueillir son Conseil Délocalisé. Toutefois, les performances dans les régions de Sédhiou (36%), Kaffrine (39%) et Kédougou (46%), sont à améliorer.
Des efforts devront être faits pour accélérer les investissements prévus au niveau des régions de Diourbel et Kédougou pour relever leur taux d’exécution. En effet, pour ces régions des retards importants ont été observés dans la réalisation de projets d’infrastructures importants.
Il s’agit de la réalisation d’hôpitaux, de stades, d’infrastructures routières et de pistes prévus pour Kaffrine, Sédhiou, Kédougou. Ces retards résultent des difficultés dans la mobilisation des ressources ou de lenteur dans les procédures d’instruction des projets et de passation des marchés (Boucle du Boudier, Pont de Marsassoum, Pont de Rosso, Hôpitaux de Sédhiou et Kédougou…).
Des défaillances ont également été observées au niveau de certaines entreprises adjudicataires de marchés publics d’infrastructures. La suite de ce rapport donnera une idée sur l’étendue des réalisations tout en mettant en évidence des actions majeures à mettre en œuvre pour booster les investissements dans les régions.
Les conseils délocalisés se sont tenus dans les 14 régions. Toutefois le rapport établit un bilan d’étape pour les 13 régions. La région de Dakar a fait l’objet d’un traitement spécifique, étant la dernière à accueillir le Conseil des Ministres délocalisé, et ayant plusieurs projets en instance de démarrage.
A ce jour, l’ensemble des investissements consentis par l’Etat et ses différents démembrements, en cours d’achèvement ou entièrement exécutés, est évalué à 2 450,913 milliards, soit un taux d’exécution global de 82%.
Au total des niveaux d’exécution appréciables ont été notés pour les régions de Saint Louis (111%), Matam (145%), Thiès (115%), Kolda (101%), Ziguinchor (86%), Louga (79%) et Tambacounda (73%), dans une certaine mesure.
La région de Fatick, avec 50%, affiche un taux d’exécution assez satisfaisant, si l’on considère qu’elle a été parmi les toutes dernières à accueillir son Conseil Délocalisé. Toutefois, les performances dans les régions de Sédhiou (36%), Kaffrine (39%) et Kédougou (46%), sont à améliorer.
Des efforts devront être faits pour accélérer les investissements prévus au niveau des régions de Diourbel et Kédougou pour relever leur taux d’exécution. En effet, pour ces régions des retards importants ont été observés dans la réalisation de projets d’infrastructures importants.
Il s’agit de la réalisation d’hôpitaux, de stades, d’infrastructures routières et de pistes prévus pour Kaffrine, Sédhiou, Kédougou. Ces retards résultent des difficultés dans la mobilisation des ressources ou de lenteur dans les procédures d’instruction des projets et de passation des marchés (Boucle du Boudier, Pont de Marsassoum, Pont de Rosso, Hôpitaux de Sédhiou et Kédougou…).
Des défaillances ont également été observées au niveau de certaines entreprises adjudicataires de marchés publics d’infrastructures. La suite de ce rapport donnera une idée sur l’étendue des réalisations tout en mettant en évidence des actions majeures à mettre en œuvre pour booster les investissements dans les régions.