Dans cet immeuble sis à Sacré cœur, le vigile trouvé en fin de soirée sur lieux assure que pas l’ombre d’un chat n’a pointé le bout de son nez depuis le matin. Et à la résidence du quartier Point E, le remue-ménage infernal observé durant la campagne e électorale a laissé place à des allers retours timides des habitués.
Deux hommes en costume discutaient devant la maison du maire de Thiès. L’un d’entre eux n’est autre qu’Abdourakhmane Diouf, le porte-parole. Comme en vrai politicien, son discours ne fait pas original. « Nous sommes satisfait du travail accompli » même si les tendances qui se révèle sont loin d’être favorable à son candidat.
Combattre le candidat de Me Wade était plus important, dit-il. C’était un devoir citoyen pour le respect de la légendaire démocratie sénégalaise, ajoute M. Diouf. « Nous avions les moyens de battre campagne, dira-t-il, mais nous avons jugés inopportun de faire une promotion individuelle » pendant trois semaines.
Deux hommes en costume discutaient devant la maison du maire de Thiès. L’un d’entre eux n’est autre qu’Abdourakhmane Diouf, le porte-parole. Comme en vrai politicien, son discours ne fait pas original. « Nous sommes satisfait du travail accompli » même si les tendances qui se révèle sont loin d’être favorable à son candidat.
Combattre le candidat de Me Wade était plus important, dit-il. C’était un devoir citoyen pour le respect de la légendaire démocratie sénégalaise, ajoute M. Diouf. « Nous avions les moyens de battre campagne, dira-t-il, mais nous avons jugés inopportun de faire une promotion individuelle » pendant trois semaines.