Le responsable de la section sénégalaise de «Transparency International» souligne qu’en attaquant la Cour des Comptes et à traiter certains vérificateurs de politiques, «monsieur le ministre Mansour Faye est en train de jeter directement le discrédit sur les institutions».
Birahim Seck précise que le rapport de la Cour des comptes est contradictoire et les ministères ont eu à répondre aux contrôleurs avant qu’ils ne fassent leur rapport. «Il ne s’agit plus de faire des sorties dans la presse pour s’expliquer ou se dédouaner. L’heure est de faire face aux juridictions compétentes pour éclairer la lanterne des sénégalais. Il faut impérativement que les faits soient discutés devant le Juge et nulle part ailleurs», martèle-t-il.
Pour le coordonnateur du Forum civil, «le président Macky Sall doit prendre ses responsabilités et laisser la justice faire son travail». A noter que le ministre Mansour Faye avait déclaré ceci:
«Nous avons une cour des comptes de référence, mais il y a quand même des graines qui ternissent un peu l’image de cette institution, parce que ce rapport ne s’explique pas. Ce n’est pas juste. Pourquoi ? Est-ce que ces auteurs n’ont pas d’autres préoccupations ou des ambitions politiques ? On peut toujours se poser la question. Certaines personnes ont des casquettes politiques et se cachent derrière des institutions pour atteindre leur but»
Le Grand Panel
Birahim Seck précise que le rapport de la Cour des comptes est contradictoire et les ministères ont eu à répondre aux contrôleurs avant qu’ils ne fassent leur rapport. «Il ne s’agit plus de faire des sorties dans la presse pour s’expliquer ou se dédouaner. L’heure est de faire face aux juridictions compétentes pour éclairer la lanterne des sénégalais. Il faut impérativement que les faits soient discutés devant le Juge et nulle part ailleurs», martèle-t-il.
Pour le coordonnateur du Forum civil, «le président Macky Sall doit prendre ses responsabilités et laisser la justice faire son travail». A noter que le ministre Mansour Faye avait déclaré ceci:
«Nous avons une cour des comptes de référence, mais il y a quand même des graines qui ternissent un peu l’image de cette institution, parce que ce rapport ne s’explique pas. Ce n’est pas juste. Pourquoi ? Est-ce que ces auteurs n’ont pas d’autres préoccupations ou des ambitions politiques ? On peut toujours se poser la question. Certaines personnes ont des casquettes politiques et se cachent derrière des institutions pour atteindre leur but»
Le Grand Panel