"J'étais passé afin de faire une visite habituelle, comme cela se fait à la veille de chaque consultation. Là justement, vous savez sans doute qu'à partir du 12, nous allons commencer à procéder aux premières opérations de vote. Et pour cela, il fallait qu'on puise s'assurer que tout est à disposition. J'ai constaté avec de beaucoup de satisfaction que nous sommes prêts pour faire face à cette élection", a déclaré le ministre de l’Intérieur.
A en croire Abdoulaye Daouda Diallo, il y a 66 bureaux de vote qui seront ouverts dans le pays pour les corps militaires et paramilitaires, pour les Sénégalais de l'étranger, 200 milles compatriotes sont appelés aux urnes et répartis dans plus de 600 bureaux. Au niveau du territoire national, il soutient que 12 millions de bulletins vont être convoyés sur l'ensemble du pays pour environs 5,5 millions d'électeurs répartis dans 12 380 bureaux de vote.
Revenant sur le débat relatif aux couleurs des bulletins, dont l'opposition fustige celle du Non qui est rose, Abdoulaye Daouda Diallo défend le choix de son ministère. "La majorité des Sénégalais ne sait pas lire et je crois que dans ces conditions, le choix des couleurs est particulièrement déterminante. La couleur est très claire et, puis, on a que deux couleurs qui ne se ressemblent pas, il n'y a pas trois, il n'y a pas quatre. Objectivement, il ne doit pas y avoir de difficulté à ce niveau", a-t-il dit.
Saly Sagne
(Stagiaire)
A en croire Abdoulaye Daouda Diallo, il y a 66 bureaux de vote qui seront ouverts dans le pays pour les corps militaires et paramilitaires, pour les Sénégalais de l'étranger, 200 milles compatriotes sont appelés aux urnes et répartis dans plus de 600 bureaux. Au niveau du territoire national, il soutient que 12 millions de bulletins vont être convoyés sur l'ensemble du pays pour environs 5,5 millions d'électeurs répartis dans 12 380 bureaux de vote.
Revenant sur le débat relatif aux couleurs des bulletins, dont l'opposition fustige celle du Non qui est rose, Abdoulaye Daouda Diallo défend le choix de son ministère. "La majorité des Sénégalais ne sait pas lire et je crois que dans ces conditions, le choix des couleurs est particulièrement déterminante. La couleur est très claire et, puis, on a que deux couleurs qui ne se ressemblent pas, il n'y a pas trois, il n'y a pas quatre. Objectivement, il ne doit pas y avoir de difficulté à ce niveau", a-t-il dit.
Saly Sagne
(Stagiaire)
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