Le nouveau préfet de Rufisque, Abdou Khadre Diop, est en passe de figurer dans les annales de cette ville, qui faisait partie des quatre communes du temps de la colonisation française. En effet, depuis jeudi dernier, Abdou Khadre Diop a réussi à redonner un nouveau cadre de vie aux Rufisquois. Coins, recoins, tables, tableaux d’affichage irréguliers, débordements des cantines, installations irrégulières sur la voie publique… tout a été balayé par les pelleteuses qui accompagnent le préfet de Rufisque, dans sa croisade contre l’anarchie et l’insalubrité.
Selon "Le Témoin", les cantines qui installaient une nuisance sonore en plein centre-ville, aux alentours de l’école primaire Ibra Seck et d’autres établissements scolaires de la ville, ont été détruites. De même, partout sur les principaux axes, rues et ruelles de la ville, Abdou Khadre Diop n'a rien laissé sur son passage. Le nouveau préfet a réussi à assainir l’entrée de la ville de Rufisque, en contenant dans ses justes limites, le foirail qui débordait de toutes parts. Son action a permis d’éviter les monstrueux embouteillages notés en période de Tabaski. Un mur de clôture a été édifié, permettant d’assurer une fluidité de la circulation. Les cantines situées au rond-point Jouttiba, ont été dégagées, donnant un décor épanoui à l’entrée de la vieille ville.
A Rufisque, les témoignages de satisfaction à l’endroit du préfet ne cessent de se multiplier, surtout que l’anarchie avait fini par triompher de tous. Le préfet de Rufisque, Abdou Khadre Diop, est intransigeant et compte mener à terme, ses objectifs. “Nous avons aussi noté une situation d’encombrement avec des véhicules et d’autres objets. Ce que nous pouvons dire, c’est que cette situation ne permet pas à ces apprenants, à ces élèves, d’être dans de bonnes conditions », a-t-il confié.
Pour le moment, les populations approuvent et jubilent, les commerçants, eux, n’ont que leurs yeux pour constater les dégâts.
Selon "Le Témoin", les cantines qui installaient une nuisance sonore en plein centre-ville, aux alentours de l’école primaire Ibra Seck et d’autres établissements scolaires de la ville, ont été détruites. De même, partout sur les principaux axes, rues et ruelles de la ville, Abdou Khadre Diop n'a rien laissé sur son passage. Le nouveau préfet a réussi à assainir l’entrée de la ville de Rufisque, en contenant dans ses justes limites, le foirail qui débordait de toutes parts. Son action a permis d’éviter les monstrueux embouteillages notés en période de Tabaski. Un mur de clôture a été édifié, permettant d’assurer une fluidité de la circulation. Les cantines situées au rond-point Jouttiba, ont été dégagées, donnant un décor épanoui à l’entrée de la vieille ville.
A Rufisque, les témoignages de satisfaction à l’endroit du préfet ne cessent de se multiplier, surtout que l’anarchie avait fini par triompher de tous. Le préfet de Rufisque, Abdou Khadre Diop, est intransigeant et compte mener à terme, ses objectifs. “Nous avons aussi noté une situation d’encombrement avec des véhicules et d’autres objets. Ce que nous pouvons dire, c’est que cette situation ne permet pas à ces apprenants, à ces élèves, d’être dans de bonnes conditions », a-t-il confié.
Pour le moment, les populations approuvent et jubilent, les commerçants, eux, n’ont que leurs yeux pour constater les dégâts.