« Je me suis rendue ce matin à la prison de Sébikotane pour m’enquérir de l’état de santé de mon mari. Après 3 jours de grève de la faim, son état de santé se dégrade gravement. Il arrive à peine à marcher et à parler.» L’alerte est de Mme Niang, la femme de notre confrère Pape Alé Niang.
Dans son message transmis à la CAP, elle ajoute « nous informons l’opinion nationale et internationale et avisons les autorités de la nécessité de prendre toutes les dispositions afin d’éviter l’irréparable ! ».
Espérons que cette alerte ne tombera pas dans l'oreille d'un sourd.
Dans son message transmis à la CAP, elle ajoute « nous informons l’opinion nationale et internationale et avisons les autorités de la nécessité de prendre toutes les dispositions afin d’éviter l’irréparable ! ».
Espérons que cette alerte ne tombera pas dans l'oreille d'un sourd.