– Effectuer l’immolation chez soi (dans sa propre maison) en présence des membres de sa famille (le Prophète avait invité sa fille Fatimata à venir assister au sacrifice de son mouton et lui a fait savoir que ses fautes seront pardonnées dès que la 1ère goutte de sang gicle de la veine de l’animal).
– Immoler soi-même.
– Faire face ce faisant à l’Est (dioublou pinkou).
– Le mouton doit être orienté vers l’est également.
– Couper la trachée artère ainsi que les 2 veines jugulaires (boli gui ak niaari siddiite yi ko sekh).
– S’arrêter dès que ces éléments sont sectionnés.
– Ne pas détacher donc la tête du corps.
– Ne pas casser la colonne cervicale (l’os au niveau du cou) non plus.
– Laisser « refroidir » le mouton ; ne pas commencer le dépeçage alors qu’il est encore tout chaud.
– Ne pas le « secouer » ; il doit refroidir tout seul (Boul ko yeungeul ; Boul ko geusseum).
– Ne pas l’étrangler ; « Boul ko ndiate ».
– Le couteau doit être bien aiguisé.
– On doit faire de sorte que le mouton ne voit pas le couteau ; de même que les autres moutons qui attendent (s’il y en a d’autres).
– Lui donner à boire avant de l’immoler.
– Ne pas le brusquer ni le brutaliser lorsqu’on l’amène vers le lieu d’immolation : le traiter avec délicatesse.
– Le coucher par terre avec le maximum de précaution, de douceur ; encore une fois éviter de le brutaliser.
– Diligenter l’immolation ; ne surtout pas faire « traîner » le couteau.
– Après l’immolation faire 2 rakas (dioulik yoor – yoor) et adresser ses demandes à Dieu ; ces vœux seront exaucés incha Allah.
Daaraserignemordiop.net
– Immoler soi-même.
– Faire face ce faisant à l’Est (dioublou pinkou).
– Le mouton doit être orienté vers l’est également.
– Couper la trachée artère ainsi que les 2 veines jugulaires (boli gui ak niaari siddiite yi ko sekh).
– S’arrêter dès que ces éléments sont sectionnés.
– Ne pas détacher donc la tête du corps.
– Ne pas casser la colonne cervicale (l’os au niveau du cou) non plus.
– Laisser « refroidir » le mouton ; ne pas commencer le dépeçage alors qu’il est encore tout chaud.
– Ne pas le « secouer » ; il doit refroidir tout seul (Boul ko yeungeul ; Boul ko geusseum).
– Ne pas l’étrangler ; « Boul ko ndiate ».
– Le couteau doit être bien aiguisé.
– On doit faire de sorte que le mouton ne voit pas le couteau ; de même que les autres moutons qui attendent (s’il y en a d’autres).
– Lui donner à boire avant de l’immoler.
– Ne pas le brusquer ni le brutaliser lorsqu’on l’amène vers le lieu d’immolation : le traiter avec délicatesse.
– Le coucher par terre avec le maximum de précaution, de douceur ; encore une fois éviter de le brutaliser.
– Diligenter l’immolation ; ne surtout pas faire « traîner » le couteau.
– Après l’immolation faire 2 rakas (dioulik yoor – yoor) et adresser ses demandes à Dieu ; ces vœux seront exaucés incha Allah.
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