Le chef religieux de Touba a pris le contre-pied d'Ahmed Khalifa Niasse, qui suggérait récemment au chef de l'État d'instaurer l'état d'urgence pour freiner la chaîne de contamination.
" On a décrété l'état d'urgence assorti d'un couvre-feu. Mais les disciples étaient sortis dans les rues pour exiger la levée de ces restrictions. Les émeutes n'avaient pas échappé à Touba et il a fallu l'intervention nocturne de Serigne Mountakha pour apaiser le climat. Le peuple s'est soulevé récemment pour se diriger vers le palais (affaire Sweet beauty). Mais le khalife a réagi en vue de désamorcer la bombe ", a-t-il rappelé dans son discours tenu à Touba Bélel.
Serigne Amsatou Mbacké de préciser au Président Macky Sall que la troisième vague (émeute) sera plus rude. Ainsi, le chef religieux conseillera au chef de l'État d'être toujours plus proche et à l'écoute du peuple.
" Si on instaure l'état d'urgence, nous allons encore manifester et si le Président Macky Sall ne recule pas, on va passer à la vitesse supérieure. Ça sera le chaos! ", prévient-il.
A l'en croire, "les populations souffrent parce qu'elles peinent à joindre les deux bouts. Ces dernières sont confrontées à un manque d'emplois dans le pays".
" On a décrété l'état d'urgence assorti d'un couvre-feu. Mais les disciples étaient sortis dans les rues pour exiger la levée de ces restrictions. Les émeutes n'avaient pas échappé à Touba et il a fallu l'intervention nocturne de Serigne Mountakha pour apaiser le climat. Le peuple s'est soulevé récemment pour se diriger vers le palais (affaire Sweet beauty). Mais le khalife a réagi en vue de désamorcer la bombe ", a-t-il rappelé dans son discours tenu à Touba Bélel.
Serigne Amsatou Mbacké de préciser au Président Macky Sall que la troisième vague (émeute) sera plus rude. Ainsi, le chef religieux conseillera au chef de l'État d'être toujours plus proche et à l'écoute du peuple.
" Si on instaure l'état d'urgence, nous allons encore manifester et si le Président Macky Sall ne recule pas, on va passer à la vitesse supérieure. Ça sera le chaos! ", prévient-il.
A l'en croire, "les populations souffrent parce qu'elles peinent à joindre les deux bouts. Ces dernières sont confrontées à un manque d'emplois dans le pays".