«Après la mise en œuvre du Plan d’actions prioritaires (Pap) dans sa phase 1 (2014-2018), qui a permis une mobilisation satisfaisante du financement interne et externe, pour un montant de 5 094 milliards Fcfa (93% dont 54% de financement interne et 38% de financement externe) et à un degré moindre du secteur privé pour 680 milliards Fcfa (7%) ; un rehaussement durable de la trajectoire de croissance du pays passant en moyenne de 3% à 6,6% ; un rattrapage infrastructurel…
La phase 2 (2019-2023) qui n’était qu’une continuité et une accélération, a connu un début d’exécution satisfaisante pour sa première année 2019, grâce à la mobilisation exceptionnelle des recettes et à l’appui de nos partenaires techniques et financiers », informe le Directeur général du Budget.
La phase 2 (2019-2023) qui n’était qu’une continuité et une accélération, a connu un début d’exécution satisfaisante pour sa première année 2019, grâce à la mobilisation exceptionnelle des recettes et à l’appui de nos partenaires techniques et financiers », informe le Directeur général du Budget.