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[ VIDÉOS ] Macky Sall repond à Idrissa Seck sur Facebook: " Je me suis exprimé en fin juillet sur les 7 milliards de Tawain sur le plateau de la tfm "

Rédigé par leral.net le Mercredi 16 Novembre 2011 à 01:13 | | 25 commentaire(s)|

Le Secrétaire général de l'Alliance Pour la République (APR), M. Macky SALL, invité de l'émission "ET SI ON EN PARLAIT" sur la TFM avance: " Je me suis exprimé en fin juillet sur les 7 milliards de Tawain". Regardons les vidéos d'explications du candidat de l'APR à la présidentielle de 2012.


[ VIDÉOS  ] Macky Sall repond à Idrissa Seck sur  Facebook: " Je me suis exprimé en fin juillet sur les 7 milliards de Tawain sur le plateau de la tfm "
Macky SALL invité de l'émission "ET SI ON EN PARLAIT" sur la TFM. PART 2



Macky SALL invité de l'émission "ET SI ON EN PARLAIT" sur la TFM. PART 4



Macky SALL invité de l'émission "ET SI ON EN PARLAIT" sur la TFM. PART 5





1.Posté par guissane le 16/11/2011 02:39 | Alerter
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2.Posté par GSI le 16/11/2011 02:52 | Alerter
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3.Posté par dipraka le 16/11/2011 05:46 | Alerter
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Macky sall ma le begeu ,inchallah que dieu fasse que tu soit president de la republique du senegal

4.Posté par momo le 16/11/2011 06:49 | Alerter
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5.Posté par momo le 16/11/2011 06:49 | Alerter
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6.Posté par sengenis le 16/11/2011 07:51 | Alerter
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Quand on utilise des fonds politiques pour s'acheter de tels biens (constitution d'une SCI au capital de 328 millions CFA au 01/07/2004, dont les références sont les suivantes : SIREN 477 677 496 sous le nom de CIRAS), on rentre dans le domaine du blanchiment.
En droit on dit que la meilleure preuve dans une accusation, c'est l'aveu : C'est Monsieur Idrissa Seck qui a lui-même avoué s'être enrichi à travers les fonds politiques que le président de la république lui avait confiés la gestion.
Ce n'est pas tout car c'est lui-même qui disait que son différend avec Wade est une histoire de grands bandits. Après les dérives que nous connaissons tous du premier bandit à la tête de l'état après 27 ans de disette, les sénégalais sont-ils encore prêts à élire un second grand bandit ?
Pour justifier son forfait il tente d'accuser le président Macky Sall sur les fonds taiwanais alors que ce dernier à donner une réponse claire nette et précise en direct sur le plateau télé de TFM en juillet.
Le peuple sénégalais demande à ce que monsieur Idrissa Seck nous fournisse des explications sur son aveu et l'origine de sa fortune estimée à des dizaines de milliards avant de demander nos suffrages.
Les récents sondages donnant Macky Sall vainqueur lui ont fait tourner la tête car son rêve de devenir le quatrième président est en train de s'écrouler. Nous prenons les sondages comme du parfum c'est-à-dire il faudra les sentir mais ne pas les boire.
Pour terminer, nous demandons à Monsieur Idrissa Seck de nous décliner son bilan de 2000 à 2004 sinon nous le ferons à sa place et en public.
Lui qui pensait que les grands projets du chef de l'état étaient de la folie et irréalisables.
Lui qui ne s'occupait que des histoires de détournements et de blanchiment d'argent.
Lui qui ne pensait qu'à lui et à son rêve de devenir président coûte que coûte.
Lui qui donnait des infos aux journalistes pour déstabiliser le pouvoir alors qu'il était le chef du gouvernement.

7.Posté par thio le 16/11/2011 08:10 | Alerter
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Sengenis tu nages dans le mensonge tout ce que tu raconte n'est que affabulation si réellement tu détiens des preuves accablante contre Idy tu les à la police ou la justice du pays sinon tu nous colles la paix .Et un bon conseil tu es malades va te faire soigner

8.Posté par Mouhamed le 16/11/2011 08:20 | Alerter
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Vraiment, Macky est trop nul. Un plateau de télé n'est pas un tribunal.
Tu devras t'expliquer devant les juges.
SENGENIS, toi tu dois être trop con. Si toi même peux découvrir ce que les missions rogatoires n'ont pas pu faire, alors tu es d'une autre planète.
Idy s'est expliqué devant la haute cour de justice et a été blanchi par cette dernière et bien avant par son accusateur.

9.Posté par diouffa le 16/11/2011 08:36 | Alerter
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Merci Thio.Que des menteurs!Idy a été fouillé de fond en comble sans qu'on ne trouve à lui coller,pendant 4 ans,et Dieu sait qu'ils continuent à chercher,lors pourquoi revenir pour sortir des bêtises de la sorte?il faut vraiment être malade,pour.Que Macky réponde aux questions:d'où venait l'argent,de quel compte...

10.Posté par dembis3 le 16/11/2011 09:33 | Alerter
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il n'ya pas photo entre Idy et Macky. Vous le savez bien. Idy est l'homme qu'il nous faut pour remettre le sénégal sur de bons rails. Vous devez être convaincus par les arguments qu'il brandit. Il maitrise tous les domaines de compétence avec une équipe formidable en vue prendre les rênes du pouvoir pour amener le sénégal à bon port et tourner définitivement la page Wade. Dites à votre comploteur Macky d'aller apprendre parce que en réalité il est nul.

11.Posté par dembis3 le 16/11/2011 09:38 | Alerter
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Pour sondage, comment peux tu expliquer l'avance que Idy a sur tous les candidats par rapport à ceux qui se passent sur toutes les toiles. Tu es vraiment nul. Tu nages dans la subjectivité sengenis. réveillez vous et sachez que Idy a participé à des élections présidentielles et il était deuxiéme.

12.Posté par Souare le 16/11/2011 09:45 | Alerter
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En ce qui concerne Ndoublang Seck (le plus gros voleur de l'histoire politique du Sénégal) le protocole de Rebeuss suffit largement comme preuve. C'est ce protocole qui l'a sauvé d'une condamnation. Et cela vous ne pouvez pas le nier.

13.Posté par boy pikine " lu pour vous" le 16/11/2011 11:14 | Alerter
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Wade, Karim, Macky, Idy : La vérité par les faits, la constance par les actes
L’interprétation des actes, les accusations des uns et des autres, les différentes positions adoptées ont fini par créer un vrai imbroglio autour des relations entre Wade, Idy, Karim et Macky. Cependant, les stratégies, les complots, les ententes politiques, les conversations secrètes… sont autant d’actes posés à l’insu de tout un monde mais dont les tenants et aboutissants se révèlent aux grand public lorsqu’ils se déploient sur le terrain et créent des faits indéniables.

Dans la relation entre ses ténors de la famille libérale, les faits sont suffisamment éloquents. De Wade à Idy en passant par Karim et Macky, l’alternance qui a consacré leur accession au pouvoir à révélé les limites de la fidélité, de l’amitié et de la reconnaissance face aux enjeux du pouvoir.
Wade-Idy : Une rupture inattendue au relent familial
Venus le convaincre pour qu’il se présente à l’élection présidentielle de 2000, Abdoulaye Wade avait déclaré à ses visiteurs dont Idrissa Seck, que « de toutes les façons, compte tenu de mon âge, je ne ferais qu’un mandat pour ensuite laisser à la nouvelle génération la mission de continuer le combat» (propos rapportés par Abdoulaye Bathily dans les colonnes du journal Walfadjri du 30-05-2005)

Idrissa SECK qui avait gardé la maison du père lors de ses voyages répétés à l’étranger a entrepris de mettre à contribution tous les moyens nécessaires pour l’accession au pouvoir d’un leader qu’il avait défendu et soutenu contre vents et marrées.


Son engagement pour l’élection du candidat Wade à la magistrature suprême fut déterminant (Négociations pour le regroupement de chefs de parti autour de Wade dans le cadre de la CA 2000, marche bleu pour faire face aux manques de moyens et assurer en même temps une campagne électorale de proximité efficace, contributions financières pour aider à assurer la continuité d’une lutte acharnée contre un régime puissant à savoir celui du PS etc.)

Ses stratégies de communication visant à déstabiliser le régime socialiste avec son lot de souteneurs dans lequel figuraient en bonne place Ousmane Ngom, Serigne Diop, Jean Paul Diaz, Djibo Ka etc. ont largement contribué à la conscientisation des masses.

Dés les premiers jours de l’alternance, Idrissa Seck qui avait tous les mérites s’est vu naturellement octroyé les pouvoirs nécessaires qui ont fait de lui un deuxième homme fort après Wade Il était le successeur naturel de Wade au sein du PDS et éventuellement au sein de l’Etat.



Entre Wade et Idy, rien ne présageait une rupture, à partir de ce moment. Idy a tout fait pour l’élection à la magistrature suprême de Wade. Ce dernier, après son accession, à tout entrepris pour que Idrissa Seck soit récompensé de ses efforts.


Mais c’était sans compter avec l’arrivée d’un fils biologique qui se la coulait douce à l’étranger au moment où des sacrifices énormes étaient consacrés, au Sénégal, pour l’accession de son père à la magistrature suprême. Un fils sorti de nulle part avec des ambitions démesurées est subitement devenu la nouvelle coqueluche politique de la famille Wade. Une entreprise familiale visant à le hisser au sommet se met en branle.

Un schéma qu’Idrissa Seck n’a pas voulu accepter et déclare, entre autres, ce qui suit :

«Le président de la République n’a ni ascendant, ni descendant. C’est une créature constitutionnelle à incarnation humaine variable. Ses pouvoirs et attributs sont fixés dans la Constitution et sont à son usage exclusif. Ici au Sénégal, il s’est appelé Senghor pendant 20 ans, puis Diouf pendant 20 ans, aujourd’hui Wade. Demain autrement. Par nos comportements, nous devrons veiller à lui assurer une mention honorable sur les langues de la prospérité.» (Révélation faite dans le CD1 22 juillet 2005)

Pour imposer le fils biologique, il fallait donc détruire un fils d’emprunt qui ne sert plus à rien après avoir servi d’escalier pour l’accession au pouvoir et qui manifestait des réticences face à la nouvelle trajectoire politique tracée.
Idrissa Seck est donc vite présenté comme un homme pressé, qui travail pour prendre le pouvoir des mains de Wade. (Ce dernier est revenu sur cette phase, le mercredi 21 février 2007 à Thiès, en ces termes : « « J’ai proposé à Idrissa Seck d’être mon dauphin, mais aveuglé par l’argent et le pouvoir que je lui ai confiés, il a voulu usurper mon pouvoir »)


Puis, il est placé à la station primatoriale pour une meilleure visibilité de la cible. On lui prête par la suite, de vouloir imposer une dualité au sommet de l’Etat (alors qu’il n’était qu’un Premier ministre nommé par le président, chargé d’exécuter sa politique et pouvant être révoqué à tout moment). En même temps, Wade se met à monter au palais un groupe composé de détracteurs de l’ancien premier ministre notamment Ousmane Ngom à qui il a fait appel au moment où Idrissa Seck était en voyage. Et tout un stratagème fut mis sur pied pour liquider le fils d’emprunt.



Des journaux créés à cet effet et logés à la présidence n’avaient pas manqué de se charger du rôle de ternir l’image du potentiel successeur de Wade.

Il revenait à des politiques tels que Farba Senghor, Aliou Sow et Mahmouth Saleh de théoriser la volonté de déstabilisation du régime de Wade par son plus proche collaborateur.



« J’étais l’un des acteurs principaux dans ce combat féroce. Je faisais parti des éléments du commando » a fini par lâcher Aliou Sow (Walf Grand Place du 7 mai 2007)

Qui ne se rappel pas de la théorie du coup d’Etat rampant puis debout que Saleh brandissait partout à chaque fois que l’occasion lui était offerte. Saleh donnait l’impression à cette époque qu’il lui fallait emprunter tous les moyens pour faire passer son message.



L’idée était bien entendue de préparer le terrain du limogeage d’un fils d’emprunt pour céder la place au fils biologique. La suite des événements a été édifiante.

Idrissa Seck a été relevé de ses fonction à la tête du gouvernent le 21 Avril 2004. Les détracteurs d’Idrissa Seck qui avait accepté de jouer la sale besogne ont été tous récompensés.



L’après Idrissa Seck fut décrété période Karim Wade à tout point de vue.

Tout ce qui était reproché à Idrissa Seck pour justifier sa mise à l’écart des sphères de décision est mué en stratégie pour Karim Wade. La dualité au sommet de l’Etat est devenue un fait. Des ministres qui ne sont connu que par Karim et sa bande font leur entrée dans le gouvernement, Karim Wade se supplée aux ministres. Il engage des négociations au nom de l’Etat, monte des projets de privatisation, influe sur la carrière des uns et des autres.



Karim Wade qui se réclame du PDS ne se gêne pas pour créer une structure concurrente dénommée la génération du concret qui sape les instances régulière du parti. Idrissa Seck qui avait été exclu pour activité fractionnelle n’avait pas pour autant créer une structure parallèle, malgré sa mise à l’écart

Il est confié à Karim Wade un budget de plusieurs centaines de milliards dans le cadre de la préparation du sommet de l’OCI pour ravir la vedette au fils d’emprunt, auréolé par les travaux des chantiers de Thiès. Son nom est mêlé dans toutes les sauces à saveur d’argent (les privatisations, les appels d’offre, les investissements…)

Puis la concomitance « renforcer Karim, détruire Idy » a pris son envol pour faire regretter au fils d’emprunt d’avoir fait de l’ombre et d’avoir empêcher le fils naturel de remplir les réserves de la famille.



La touche Macky Sall



Idrissa Seck ayant été écarté pour céder la place à Karim, il fallait, pour ne pas éveiller des soupçons sur une probable dévolution monarchique du pouvoir, créer un personnage intermédiaire qui puisse jouer le rôle d’un faire-valoir. Macky a été la personne choisie. Cet ancien militant d’AJ/PADS a vite gravi les échelons pour rejoindre le cercle des souteneurs de Karim avec comme rôle celui de lui baliser le terrain et d’enfoncer son prédécesseur. Macky a vite pris ses empruntes dans sa nouvelle mission sous les lambris dorés du pouvoir.



Il a accepté de jouer, de fait, le second rôle au sein de l’Etat en laissant à Karim le soin de lui dépouiller, sans rechigner, des projets qui revenait à des ministères de son gouvernement pour se tailler un statut de présidentiable. Il l’a défendu et a tenté de lui baliser le terrain en s’attaquant directement à ses concurrents directs, notamment Idrissa Seck.



Au moment où tout le monde soupçonnait Wade de vouloir imposer son fils, avec les conseils ingénieux qu’il a donné à Eyadéma fils, Macky a couru au secours du fils du Président malgré son statut de Premier Ministre.

« C’est pas parce qu’il est de teint clair qu’il n’est pas sénégalais ? C’est Karim Meissa Wade, il s’appelle, fils de son père. Pourquoi il n’aurait pas droit à assumer une fonction publique au Sénégal ? » disait-il, en juillet 2006, dans un entretien accordé à la chaîne de télévision Télésud



Il a poussé le bouchon jusqu’à s’attaquer, par écrit, au grand Maodo qui s’en était pris à Karim dans une contribution intitulée « Allons-nous vers une dynastie Wadiste ? » publiée le 28 juin 2006. « Le Sénégal de 1968 n’est pas celui de 2006 » lui rétorqua t-il

Après avoir enrichi son vocabulaire par des expressions destinées à faire l’éloge du wadisme, Macky Sall s’est employé à tisser des lauriers aux faucons du palais connus dans leur art de mettre sur pied des plans diaboliques pour baliser la voie au fils. Il disait, ainsi, de ces faucons, qu’ils avaient « sauvé le Président d’une tentative d’usurpation des fonctions présidentielles » en faisant allusion à Idrissa Seck. Ce qui lui a, d’ailleurs, valu des conseils de ce dernier, du fond de sa cellule.



« Je donne ce conseil à Macky écrivait-il : «Concentre-toi sur les inondations l’assistance aux populations sinistrées dont votre acharnement à me détruire vous avait détournés des priorités depuis presque deux ans.

Concentre-toi sur le sort des paysans, le fonctionnement normal de notre système de santé, le désenclavement de la Casamance , le respect du calendrier électoral, socle de notre démocratie,… Plutôt que de tourner les pages d’une histoire «Wade-Idi», écrite à ton insu et qui te dépasse.»

Gare aux flots qui sont aptes à noyer et rendre vaines les œuvres des traitres car « Allah n’aime pas les traitres ». Moi non plus. »

Malgré tout, Macky Sall n’a pas une seule fois hésité à se présenter devant la presse nationale et internationale, muni d’un faux rapport (d’après l’IGE Naffissatou Keita, sur les ondes de la radio Walfadjri, le vrai rapport n’a jamais été publié) pour enfoncer Idrissa Seck et ainsi justifier l’ouverture d’un parcours programmé pour guider ce dernier à la guillotine.

Macky Sall a pris beaucoup de risques et a beaucoup fait pour les Wade. Depuis le début, il savait qu’il semait pour le fils du président. Mais ce qu’il ne savait pas c’est qu’il n’aura pas droit aux récoltes, même pas une partie

Il pensait qu’il pouvait tout avoir en faisant tout ce qui lui a été dicté. Il était entrain de se transformer en simple pion. Or un pion sur un échiquier n’a pas d’importance, seule la stratégie globale compte.

Macky a fini de faire parti de la stratégie après avoir terminé son travail. Ce qui explique sa mise à l’écart. Il s’y ajoute que sa rébellion qui a réussi à freiner, pour le moment, sa mise à mort et les moyens dont il a disposé lors de son passage à la primature et dont il dispose actuellement, à la tête de l’assemblée nationale font de lui un adversaire, à surveiller, pour les partisans de la montée du fils vers le sommet.

La constance dans le positionnement

L’après Wade est devenu le nouveau enjeu dans la lutte entre ses ténors de la famille libérale.



L’entreprise familiale qui a entrainé la chute de Idy et la mise à l’écart de Macky continue son déploiement et compte imposer le fils, propulser les proches, entretenir la cour. Wade est constant dans sa démarche. Tout le travail accomplit depuis le début de l’alternance, pour placer son fils ne doit pas être vain semble t-il penser. Rien dans son comportement ne laisse croire qu’il renonce à ce projet. Karim tisse sa toile dans les coulisses et laisse le père balayer la voie.

La récente dissolution de certaines collectivités locales entre, à n’en pas douter, dans cette vaste stratégie de positionnement. La famille Wade compte se perpétuer pendant des années et des années encore à la tête du Sénégal. La dynastie Wade veut régner dans une république et le père pense que c’est possible.

Macky Sall, qui avait pris des risques pour se maintenir au sommet reste constant. Tant qu’il est laissé au sommet, il ne fera pas d’histoires. Sa position de Président de l’Assemblée Nationale est une belle planque pour lui. Il sait que la position de pouvoir joue sur le maintien de la base. Avec un fond politique de plusieurs centaines de millions que l’assemblée met à sa disposition, Macky se présente comme un des éléments du PDS qui ont les moyens de ratisser large et de conquérir un électorat aussi minime soit-il.

Quant à Idrissa Seck, son comportement montre d’une manière claire, qu’il tient à participer au partage de l’héritage qui sera laissé par Wade malgré son déploiement en dehors des instances du PDS. C’est quelqu’un qui n’a jamais voulu tourné le dos au PDS et qui a été constant dans cette démarche.



Après avoir été éjecté de la tête du gouvernement (21 avril 2004), il est resté chez lui tout en continuant à se considérer comme membre à part entière du parti. A la veille de sa convocation à la DIC (14 juillet 2005), au moment où l’arbitraire allait s’abattre sur sa personne, il a déclaré qu’il préférait être la tête de liste du PDS et c’est seulement si l’arbitraire lui prive de cette opportunité qu’il va se présenter avec une coalition. Sorti de prison, au moment de sa déclaration de candidature (04 Avril 2006), il annonce qu’il compte sur sa famille naturelle le PDS.



Ce comportement constant peut se justifier par le fait que Idrissa Seck est le seul à jouir d’une légitimité indiscutable pour succéder à Wade. L’arbitraire l’a écarté de ce schéma mais le peuple l’a rétablit en lui octroyant une légitimité populaire (2ème après Wade, lors de la dernière élection présidentielle)

Il serait injuste de priver quelqu’un de vouloir récupérer son dû. Il a beaucoup investi dans ce parti depuis le bas âge. Il y a cru et a tout donner pour voir ce parti gravir les échelons pour accéder à la magistrature suprême.

Mais ses ambitions se heurtent à la volonté de Wade de parachuter son fils.

Cependant, Karim qui a le soutien de son père et d’un clan élargi à des leaders d’opinion et des chefs religieux n’a pas encore fait ses preuves sur le terrain politique. Quelques sorties par ci, un meeting par là, financées à coup de millions ne sont pas des baromètres suffisamment éloquents pour mesurer sa capacité de mobilisation.


Il s’y ajoute que l’après OCI qui devait consacrer le grand déploiement politique avec les chantiers de l’ANOCI en bandoulière a coïncidé avec une crise alimentaire qui ne justifierai pas que la beauté d’une allées soit vendu à des sénégalais affamés.

Mais Wade ne renonce pas. Il se donne encore du temps et pense pouvoir y arriver. L’enjeu est trop sérieux pour reculer. Il complote encore et toujours.


Cependant, il devrait se rappeler de cette belle parole de Dieu « Ils complotèrent, mais Allah a fait échouer leur complot, et Allah est le meilleur en stratagèmes. » (Coran, sourate 8 verset 30)



Fatou Diop

fatouivon@yahoo.fr

14.Posté par boy pikine " lu pour vous" le 16/11/2011 11:16 | Alerter
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La fin d’un complot d’Etat ?



A la question de savoir s’il ne craignait pas des poursuites judiciaires après son divorce avec Wade, Macky Sall avait répondu au journaliste de la rfm Alassane Samba Diop, le 10 Novembre 2008, qu’il ne l’excluait pas puisqu’« un pouvoir a toujours la possibilité de fomenter des dossiers, de fabriquer tout ce qu’il veut. » Macky qui prévoyait qu’un complot d’Etat s’abatte sur sa personne, après avoir tourné le dos à Wade a sans doute eu une fraiche souvenance d’un dossier qu’il a personnellement diligenté en qualité de Premier Ministre. Lorsqu’il empruntait les marches du méridien Président, le 26 juillet 2005, pour, dit-il « souscrire aux obligations conjointes d’information et de transparence », il savait déjà qu’il était un maillon important d’un complot d’Etat contre son prédécesseur.

Mais Macky ne pouvait pas imaginer qu’il serait un jour dans la crainte de goutter à une cynique entreprise politique soutenue par des moyens étatiques. Il avait lu avec fierté et assurance le résumé d’un faux rapport de l’IGE en prenant le soin d’enfoncer son prédécesseur et en ignorant royalement les réponses apportées en annexes. Un rapport dont la fausseté avait été honteusement déclinée dans les colonnes du journal Walfadjri, le 20 septembre 2005, par l’IGE Nafi Ngom Keita. « Le vrai rapport n’a jamais été publié » finira-t-elle par lâcher, piquer on ne sait par quelle bonne mouche. Mais cet aveu n’était pas une mère des preuves dont l’existence était suffisante pour mettre fin à des poursuites injustes et ridicules.

Il fallait encore compter sur une pléthore d’accusations et de montages de « preuves » dont l’incongruité n’était pas suffisante pour constituer une exception à la célèbre et encombrante règle qui veut qu’on « laisse la justice faire son travail. » Il était pourtant clair aux yeux des personnes averties qu’il était d’une absurdité insolite que d’engager la responsabilité pénale d’une personne sur un dossier de détournement de deniers publics alors qu’elle n’est ni ordonnateur des dépenses ni administrateur des crédits ni entrepreneur ni sous-traitant ni convoyeur d’argent ni trésorier. Mais les comploteurs avaient sans doute préféré prendre Idrissa Seck au mot : attendre l’extinction du soleil en espérant voir se réaliser, entre temps, un miracle devant décliner la culpabilité de l’ancien premier ministre.

L’inexistence de faits délictuels imputables au malheureux accusé, malgré tous les moyens financiers et matériels déployés en plus de la mobilisation sans précédent, des structures de l’Etat (gendarmerie, police, experts évaluateur, agents de renseignement, commissions rogatoires), n’avait pas suffit pour arrêter la (coûteuse) farce. Il était donc évident que tout ce tapage n’avait rien à voir avec une volonté de transparence et d’éthique dans la gestion mais bien une question de règlement de compte politique. Idrissa Seck devait payer son opposition à la dévolution monarchique du pouvoir, après avoir déclaré, entre autres que :

« «Le président de la République n’a ni ascendant, ni descendant. C’est une créature constitutionnelle à incarnation humaine variable. Ses pouvoirs et attributs sont fixés dans la Constitution et sont à son usage exclusif. Ici au Sénégal, il s’est appelé Senghor pendant 20 ans, puis Diouf pendant 20 ans, aujourd’hui Wade. Demain autrement. Par nos comportements, nous devrons veiller à lui assurer une mention honorable sur les langues de la postérité.» (Révélation faite dans le CD1 22 juillet 2005)

Pour imposer le fils biologique, il fallait donc détruire un fils d’emprunt qui ne sert plus à rien après avoir servi d’escalier pour l’accession au pouvoir et qui manifestait des réticences face à la nouvelle trajectoire politique tracée.

L’opération avait nécessité la mise sur pied d’une équipe de mercenaires politiques à laquelle Aliou Sow donnera plus tard le nom de « commando». « J’étais l’un des acteurs principaux dans ce combat féroce. Je faisais parti des éléments du commando » avait fini par lâcher le jeune ministre dans le journal Walf Grand Place du 7 mai 2007. En dehors du personnel politique l’utilisation des moyens étatique dans ce combat et la distribution du sésame de l’impunité aux adversaires de l’ancien premier ministre avait conduit ce dernier à supporter entre autres un emprisonnement de plus de 7 mois de prison, des attaques contre sa maison, son convoi, l’emprisonnement et l’intimidation de ses proches, la confiscation de son passeport qui l’a mise pendant prés de 6 mois dans une situation de quasi résidence surveillée, l’exile forcé de sa famille, les injures publiques, la calomnie et le mensonge contre sa personne véhiculées par des journaux créés à cet effet, les cabales politique en série (immobilisation de son véhicule, filatures, infiltration …)

Tous ces actes subis ne l’ont pas éloigné de sa famille politique, bien au contraire.Une certaine logique guidée par l’émotion aurait voulu qu’il en soit ainsi mais loin de développer le syndrome de stockholme, Idrissa Seck fut un otage qui a préféré taper aux portes des lieux du crime pour libérer sa famille politique prise dans la tourmente d’un projet monarchique. Il aurait déclaré sa décision de quitter définitivement le pds, Karim aurait eu les coudées franches et n’aurait plus qu’à recueillir, sans efforts, les adhésions massives à une nébuleuse génération du concret. Un seul choix se serait imposé : karim Wade.

Le fait que Idy ait été visible devant les portes du pds a été déterminant dans l’échec du projet de dévolution monarchique du pouvoir. Il a donné l’espoir à ses autres frères libéraux qui ne se sont pas empressé à cirer les bottes du dernier venu parce que conscients de l’existence d’une alternative. L’actuel Premier Ministre avait vite fait de demander le retour de Idrissa Seck, de même que tous les autres ténors du pds authentique qui ont toujours refusé de se mettre derrière le gosse.

Si Karim Wade avait eu le soutien de tous les leaders du pds, il aurait été difficile de lui infliger l’humiliation qu’il a subi le 22 Mars 2009 et de freiner le projet de dévolution monarchique du pouvoir. L’un des talons d’Achille de ce projet est qu’il n’a été soutenu que par une famille et un groupe de laudateurs inconnus des bataillons. Son ossature familiale et le manque de légitimité de ses souteneurs en ont fait une cible facile à démonter et à vouer aux gémonies.

Idrissa Seck est aujourd’hui combattu par des personnes sans aucune légitimité et qui veulent conduire le pds droit au mur. Ils n’ont jamais rien misé dans ce parti et ne se sont jamais sacrifié pour voir l’avènement de l’alternance. Ils ont attendu la fin du combat pour venir se servir. Il est aujourd’hui de la responsabilité des membres du pds et de la famille libérale en général de faire face à cette bande d’opportunistes. Ils jouissent d’un pouvoir sans en être les légitimes dépositaires.

Ce clientélisme d’inspiration monarchique est tout simplement effarent. Le pire est qu’ils veulent réussir leur coup au pds pour pouvoir l’étendre dans le pays.

Après avoir tout tenté contre Idrissa SECK sans pouvoir l’atteindre, ils doivent se résigner à méditer sur cette belle parole de Dieu : « (Et rappelle-toi) le moment où les mécréants complotaient contre toi pour t’emprisonner ou t’assassiner ou te bannir. Ils complotèrent, mais Dieu a fait échouer leur complot, et Dieu est le meilleur en stratagèmes. » (Sourate 8 V30)





Fatou Diop

fatouivon@yahoo.fr

www.fatouivon.blog.com


15.Posté par papi le 16/11/2011 11:31 | Alerter
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en tout cas macky est tres posee .... ma carte sera pour toi au moins je te fait comfiance a cause de m'baye ndiaye ex maire de parcelles

16.Posté par KADIEL le 16/11/2011 13:06 | Alerter
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Macky et Idrissa Seck sont pareils, ils ont tous volé les caisses de l'Etat pour s'enrichir car rien ne justifie les moyens qu'ils ont.

17.Posté par segne le 16/11/2011 13:06 | Alerter
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vraiment alassane vous m'avez déçu comment un grand journaliste de votre tramp puisse orienter un invitè d'une manière très intéressée .tu demandes à macky qu'est ce qui t 'a fait sortir du pds .avant la rèponse tu l'oriente pour est ce n'ètait pas par ce que Karim était là .de grâce laissez lui s'exprimer. grand idiot .nafekh bi.

18.Posté par KADIEL le 16/11/2011 13:07 | Alerter
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Parfois j’ai du mal à comprendre Macky et Idrissa Seck en plus de cela ils prennent les sénégalais pour des demeurés.

19.Posté par KADIEL le 16/11/2011 13:08 | Alerter
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Ils ont tous les deux un point commun qui s’appel détournement de deniers public.

20.Posté par KADIEL le 16/11/2011 13:10 | Alerter
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Idrissa Seck a ses chantiers de Thiès et Macky Sall les fonds Taïwanais. on ne leur donnera jamais les reines de notre pays sinon ils vont tout détourné.

21.Posté par KADIEL le 16/11/2011 13:12 | Alerter
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Ils sont trahis la confiance des sénégalais et nous les considérons comme des traitre de la pire espèce et en ce sens ils n'ont pas droit au chapitre.

22.Posté par ouza 2012 le 16/11/2011 14:07 | Alerter
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Le Secrétaire général de l'Alliance Pour la République (APR), M. Macky SALL doit rendre compte si le détournement de fonds publics est l'opération illégale qui consiste à utiliser des sommes appartenant à la collectivité à des fins autres que le bien public.
Donc Macky SALL et Idi sont identique

vive wade et ses alliés 75% au premier tour

23.Posté par Patisco le 16/11/2011 14:09 | Alerter
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Il

24.Posté par Patisco le 16/11/2011 14:10 | Alerter
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Il est évoqué par certains citoyens et même certains éminents juristes de notre pays, l’incrimination « Détournement de deniers publics » pour des faits qui résultent des relations entre les privés. Ainsi, certains dirigeants sociaux dont les sociétés sont entièrement régies par le droit des affaires (droit OHADA), sont inculpés sur la base de l’incrimination appelée « détournement de deniers publics ». Bien que cette situation pose la question essentielle de connaissance de l’incrimination appelée « Détournement de deniers publics », on constate que les juges saisis instruisent le dossier sans évoquer l’irrecevabilité de la procédure du fait de la qualité des inculpés. En le faisant ainsi, certains dirigeants sociaux à tort et en méconnaissance de notre droit positif sont mis sous mandat de dépôt pour des infractions qui ne sont pas constituées.

wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek

25.Posté par Mbour le 16/11/2011 14:13 | Alerter
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Il est évoqué par certains citoyens et même certains éminents juristes de notre pays, l’incrimination « Détournement de deniers publics » pour des faits qui résultent des relations entre les privés. Ainsi, certains dirigeants sociaux dont les sociétés sont entièrement régies par le droit des affaires (droit OHADA), sont inculpés sur la base de l’incrimination appelée « détournement de deniers publics ». Bien que cette situation pose la question essentielle de connaissance de l’incrimination appelée « Détournement de deniers publics », on constate que les juges saisis instruisent le dossier sans évoquer l’irrecevabilité de la procédure du fait de la qualité des inculpés. En le faisant ainsi, certains dirigeants sociaux à tort et en méconnaissance de notre droit positif sont mis sous mandat de dépôt pour des infractions qui ne sont pas constituées.

wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek

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