Elle n’a jamais été citée dans ce conflit entre Erdogan (Maarif) et Gulen (Yavuz Selim). Elle c’est Me Nafissatou Diop Cissé qui avait pourtant créé la Société Yavuz Selim SA. Loin des querelles entre le Gouvernement et le Groupe scolaire turc, la célèbre Notaire est pourtant à l’origine de toutes les transactions financières. Elle s’est acquittée de cette tâche en toute transparence. Aujourd’hui, elle est une pièce maitresse dans l’affaire.
Mais, en vraie professionnelle, on ne l’entendra jamais dans cette polémique. Pour rappel, le président du Conseil d’Administration Madiambal Diagne avait déclaré que des français sont entrés dans l’actionnariat du Groupe avec un apport de plusieurs millions de FCFA. Et que le Bureau économique de l’Ambassade de France avait été impliqué dans les opérations.
Cette implication des français n’a pas empêché au Gouvernement du Sénégal à mettre en application la décision de faire partir les turcs pro Gulen. Madiambal Diagne a trop fait confiance aux tenants du pouvoir oubliant la raison d’Etat qui prime sur toutes les considérations crypto personnelles. Alors pourquoi s’agripper sur le label Yavuz Sélim ? L’essentiel c’est la qualité des enseignements que l’école se nomme X ou Y. Seulement, le patrimoine de l’établissement demeure un enjeu de taille que l’Etat devrait franchement céder à Madiambal et ses amis… Mais telle n’est pas l’option de Macky Sall et de Tayyip Erdogan qui veulent tout prendre… mêmes les moquettes.
Dakar Times
Mais, en vraie professionnelle, on ne l’entendra jamais dans cette polémique. Pour rappel, le président du Conseil d’Administration Madiambal Diagne avait déclaré que des français sont entrés dans l’actionnariat du Groupe avec un apport de plusieurs millions de FCFA. Et que le Bureau économique de l’Ambassade de France avait été impliqué dans les opérations.
Cette implication des français n’a pas empêché au Gouvernement du Sénégal à mettre en application la décision de faire partir les turcs pro Gulen. Madiambal Diagne a trop fait confiance aux tenants du pouvoir oubliant la raison d’Etat qui prime sur toutes les considérations crypto personnelles. Alors pourquoi s’agripper sur le label Yavuz Sélim ? L’essentiel c’est la qualité des enseignements que l’école se nomme X ou Y. Seulement, le patrimoine de l’établissement demeure un enjeu de taille que l’Etat devrait franchement céder à Madiambal et ses amis… Mais telle n’est pas l’option de Macky Sall et de Tayyip Erdogan qui veulent tout prendre… mêmes les moquettes.
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