Le colonel Guorgui Bâ, l’adjudant-chef Moussa Ndiaye, le maréchal de Police Jeanne Ndiaye et l’adjudant Thierno Diouf, tous des gendarmes, ont prêté serment en qualité d’enquêteur de l’Office national de lutte contre la fraude et le crime (Ofnac) hier, jeudi 28 octobre 2021, à la salle 4 du Tribunal de Grande instance hors classe de Dakar. Les adjudants de Police, Lamine Séne et Fatou Kiné Diop, ont, eux aussi, intégré l’Ofnac.
Le parquet a insisté sur la nécessité des agents de mesurer le degré de l’engagement qu’ils ont pris car, dit-il, «l’Ofnac est une institution louable». Y travailler requiert des qualités morales et le respect de la confidentialité des dossiers. Travailler pour l’Ofnac exige également l’exercice de sa mission sans une quête de profit personnel et la loyauté envers soi-même et l’Etat, juge également le représentant du ministère public. Ces nouveaux pensionnaires ne doivent pas aussi exposer le secret de leurs enquêtes sur la place publique.
Le président du Tribunal souligne, en ce qui le concerne, que la corruption est une menace pour l’Etat de droit ; s’engager à lutter contre son essor, est une grande responsabilité. Mieux, il invite les nouveaux agents au culte de la préservation des deniers publics.
Le représentant du barreau a rappelé l’importance que la lutte contre la corruption peut constituer pour une nation. Il a signifié aussi aux nouveaux agents enquêteurs, que l’Ofnac n’est pas un organe de répression, mais une structure d’anticipation de la corruption, renseigne "Sud Quotidien".
Le parquet a insisté sur la nécessité des agents de mesurer le degré de l’engagement qu’ils ont pris car, dit-il, «l’Ofnac est une institution louable». Y travailler requiert des qualités morales et le respect de la confidentialité des dossiers. Travailler pour l’Ofnac exige également l’exercice de sa mission sans une quête de profit personnel et la loyauté envers soi-même et l’Etat, juge également le représentant du ministère public. Ces nouveaux pensionnaires ne doivent pas aussi exposer le secret de leurs enquêtes sur la place publique.
Le président du Tribunal souligne, en ce qui le concerne, que la corruption est une menace pour l’Etat de droit ; s’engager à lutter contre son essor, est une grande responsabilité. Mieux, il invite les nouveaux agents au culte de la préservation des deniers publics.
Le représentant du barreau a rappelé l’importance que la lutte contre la corruption peut constituer pour une nation. Il a signifié aussi aux nouveaux agents enquêteurs, que l’Ofnac n’est pas un organe de répression, mais une structure d’anticipation de la corruption, renseigne "Sud Quotidien".
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