"Nous n'avons fait que souligner vos graves lacunes, vos enfantillages, votre porosité aux manœuvres des embusqués et ennemis de l'intérieur, chasseurs des voix de votre parti. En retour, sans précaution ni recul, de manière impolie, vous nous avez insultés et copieusement salis. Vous pensiez, à tort, détenir une science infuse que ni vos parcours ni votre discours ne justifiaient. Comme des hallucinés, atteints d'une folie révolutionnaire, que seuls des enfants de chœur pouvaient reprendre à leur compte.
Vous avez été arrogants. Vous avez pris nos messages comme de l'aigreur et de la jalousie. Dans votre arrogance et rêverie, vous avez vendu la peau de l'ours sans savoir que, en votre sein, des fauves vous guettaient ! Vous avez accueilli quiconque chantait en Dieu votre dirigeant. Vous avez refusé d'ouvrir les yeux sur les évidences, qui vous destinaient à n’être que les dindons de la farce que vous êtes devenus.
Les failles de Sonko, son déplacement et ses liens avec Adji Sarr, ses accointances avec les pires éléments du système, son recyclage des pilleurs de la nation, genre Lansana Gagny Sakho, pourvu qu'ils feignent de le rejoindre en membre de son fan club, toutes ses bêtises devenaient, sous votre vulgate de Pastefiens, Moncap, Mojip ou je ne sais quoi d'autre, des coups de… génie.
Vous avez été aveugles. Comme des fanatiques. Vous voici comme la laitière sans lait ni veau. Allez croquer le sable du Ferlo maintenant ! Je pardonne toutes les insultes mais vous invite, Sonko en tête, à relire tous mes écrits. Je vous avais prévenus. Le proverbe Wolof avait raison. Le Doyen peut voir de loin un objet ou une menace quand le gamin qui sautille à côté, n’y voit que dalle ! Les ennemis de Sonko sont comme ces chasseurs de… veuves. Tout en faisant semblant de compatir à son sort, ils sont déjà en train de lorgner sur cet héritage électoral qu'il a bradé !
Khaleh bou rew limou yorr momouko, chantez ça, à la suite de Youssou Ndour, mais avec humilité, car la leçon est dure… Apprenez à écouter le chant des oiseaux. L'oiseau de mauvais augure en premier. Le message compte. Plus que le messager, il est le suc qui compte le plus. On l’ignore à ses périls. Bon week-end !
Adama Gaye Ps: Quand, à son initiative, Sonko est venu me voir à Dakar, le sentiment d’égoïsme et d’arrogance de celui qui se croit supérieur, m'avait frappé chez lui. Son incapacité à n’écouter que des benis-oui-oui est la preuve qu'il n’est qu'un petit tyran qui s’ignore. Je savais qu'il allait à sa perte. Ses fans l'y ont précipité ! Ils ont été ses pires ennemis.
Vous avez été arrogants. Vous avez pris nos messages comme de l'aigreur et de la jalousie. Dans votre arrogance et rêverie, vous avez vendu la peau de l'ours sans savoir que, en votre sein, des fauves vous guettaient ! Vous avez accueilli quiconque chantait en Dieu votre dirigeant. Vous avez refusé d'ouvrir les yeux sur les évidences, qui vous destinaient à n’être que les dindons de la farce que vous êtes devenus.
Les failles de Sonko, son déplacement et ses liens avec Adji Sarr, ses accointances avec les pires éléments du système, son recyclage des pilleurs de la nation, genre Lansana Gagny Sakho, pourvu qu'ils feignent de le rejoindre en membre de son fan club, toutes ses bêtises devenaient, sous votre vulgate de Pastefiens, Moncap, Mojip ou je ne sais quoi d'autre, des coups de… génie.
Vous avez été aveugles. Comme des fanatiques. Vous voici comme la laitière sans lait ni veau. Allez croquer le sable du Ferlo maintenant ! Je pardonne toutes les insultes mais vous invite, Sonko en tête, à relire tous mes écrits. Je vous avais prévenus. Le proverbe Wolof avait raison. Le Doyen peut voir de loin un objet ou une menace quand le gamin qui sautille à côté, n’y voit que dalle ! Les ennemis de Sonko sont comme ces chasseurs de… veuves. Tout en faisant semblant de compatir à son sort, ils sont déjà en train de lorgner sur cet héritage électoral qu'il a bradé !
Khaleh bou rew limou yorr momouko, chantez ça, à la suite de Youssou Ndour, mais avec humilité, car la leçon est dure… Apprenez à écouter le chant des oiseaux. L'oiseau de mauvais augure en premier. Le message compte. Plus que le messager, il est le suc qui compte le plus. On l’ignore à ses périls. Bon week-end !
Adama Gaye Ps: Quand, à son initiative, Sonko est venu me voir à Dakar, le sentiment d’égoïsme et d’arrogance de celui qui se croit supérieur, m'avait frappé chez lui. Son incapacité à n’écouter que des benis-oui-oui est la preuve qu'il n’est qu'un petit tyran qui s’ignore. Je savais qu'il allait à sa perte. Ses fans l'y ont précipité ! Ils ont été ses pires ennemis.