
De l’avis de Abdoulaye Gallo Diao, coordonnateur des Forces vives de BBY, si le mouvement Y en a marre peut se prévaloir d’avoir un récépissé, il ne peut s’agir que de celui d’une association à but non lucratif. Ce qui fait que Y en a marre n’a pas le droit de recevoir de fonds étrangers ou en provenance d’ONG, explique-t-il.
Et, en tant que association à but non lucratif, ses ressources doivent essentiellement provenir des cotisations de ses membres, informe senegal7.com.
Et, en tant que association à but non lucratif, ses ressources doivent essentiellement provenir des cotisations de ses membres, informe senegal7.com.