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Affaires Aïdara Sylla : La douane porte plainte, Me Wade fait opposition


Rédigé par leral.net le Samedi 26 Janvier 2013 à 09:16 | | 5 commentaire(s)|

Affaires Aïdara Sylla : La douane porte plainte, Me Wade fait opposition
Les choses se corsent pour Alioune Aïdara Sylla, pris à l’aéroport de Dakar en possession de chèque d’un montant de 2,5 milliards de francs Cfa que lui a remis lui a remis l’ancien président Me Abdoulaye Wade. Selon sources de Libération, la Douane a déposé une plainte avec constitution de partie civile contre l’ancien député libéral et président conseil rural de Thilmakha. Si les soldats de l’économie obtiennent gain de cause, eux qui réclament 12,5 milliards de F Cfa au prévenu, on va tout droit vers la saisine de son patrimoine immobilier et bancaire. Parallèlement, le journal nous apprend que Me Wade s’est opposé au paiement de ses chèques dès qu’il a eu vent de l’arrestation d’Aïdara Sylla à descente d’avion.



1.Posté par LU POUR VOUS le 26/01/2013 10:20 | Alerter
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L'Alliance contre le Parti Rewmi (APR) nuit à l'entente dans la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) ! ( Haby Sirah DIA)
Jeudi 24 Janvier 2013 - 20:32
Ils attaquent, dénigrent et cognent même sous la ceinture, mais une fois de plus Idrissa Seck se met au dessus de la mêlée. Fidèle à ses engagements comme toujours et constant dans sa démarche, il déclare ne point répondre aux agressions et autres associations de malfaiteurs. Quoique l’on veuille nuire à ses intérêts immédiats en cherchant vaille que vaille à décimer son parti politique, Idrissa Seck continue à se comporter en républicain. Points d’égratignures à ceux qui l’éraflent sans cesse. En effet, les cadres de l’APR (Alliance pour la République) et les militants de bas étage du même parti accusent avant l’heure Rewmi de traîtrise et dédoine tous les autres alliés qui, à leurs yeux, bénéficient tous de la présomption d’innocence. Tout le monde est nickel à part Rewmi. Ainsi ont-ils décidé de jeter l’anathème sur le parti dirigé par Idrissa Seck et de former une Alliance contre le Parti REWMI (APR). Une volonté remarquée de présenter leur « probable adversaire » (je reprends ici les mots de Elhaj Malick Sarr, conseiller politique du Président de la République) comme un parti politique peu fiable. Ils cherchent à salir et à détruire l’image redorée d’un militant engagé dans la lutte pour la consolidation de la démocratie et la marche vers le progrès.




Cette mafieuse Alliance cherche tout simplement à neutraliser le parti du Maire de Thiés.

Quand Rewmi décide de se structurer, ils gonflent les joues et menacent, alors que le renforcement d'un parti de la coalition renforce indubitablement la coalition.
Quand Rewmi convoque les engagements pris devant le peuple sénégalais, ils ameutent le monde entier et retroussent les manches oubliant que de la tenue de ces engagements dépend la crédibilité du Président de la République et de ses alliés.
Quand Rewmi mobilise pour venir en aide aux sinistrés, ils parlent de démarche solitaire tout en les suivant au pas et oublient de s'approprier les mêmes critiques. Quand Rewmi salue les bonnes actions du gouvernement, ils n’applaudissent guère et font la sourde oreille.
Cette malhonnêteté Apériste dénote une double volonté. D’une part, ils considèrent ce parti non pas comme un allié mais comme un « probable adversaire » et d’autre part, ils cherchent à le freiner dans son élan de se consolider tout en consolidant la coalition.
Et pourtant, les agressions venant d’eux à l’encontre de Rewmi sont si nombreuses qu’une encyclopédie ne suffirait pas pour les contenir. Alors que l’APR tente de débaucher des militants de Rewmi, alors que des colloques sont organisés pour traiter Rewmi de parti amorphe dans la défense du Président de la République, alors que des militants de l'APR insultent chaque jour qui passe Rewmi membre de la coalition Benno Bokk Yakkaar, alors que des engagements pris en faveur de Rewmi ne sont pas respectés, c’est le parti de Idrissa Seck que l’on accuse de balourdise et de manquer de parole. C’est aberrent, inélégant et hypocrite !

La démarche du parti du maire de Thiés est pourtant simple à comprendre. S’allier avec le parti au pouvoir sans s’aliéner. Quoi de plus normal pour un parti politique qui a choisi de ne point évoluer dans l’obscurité et d’approuver le convenable et de dénoncer le blâmable ! Cette démarche a été clairement définie et dés les premières heures de l’alliance avec l’APR qui a été faite sans négociations, sans chantages et de façon totalement désintéressée. Il est alors du rôle de ce parti de continuer le combat entamé sous Wade qui se résume à défendre la démocratie et à veiller sur la bonne gouvernance. Toute autre démarche venant d’eux serait de contre nature et n’entrerait pas dans la voie qu’elle s’est tracée depuis 2004.

L’APR en cherchant ainsi à affaiblir un allié en l’occurrence Rewmi, est entrain de détruire l'entente dans la coalition. La présomption de culpabilité brise la confiance et quand celle ci s'effrite, c'est tout le mur de la coalition qui dégringole. Elle n’a pas intérêt à se créer des adversaires de surcroît dans les rangs de la mouvance présidentielle. Elle a l’obligation, comme tous leurs alliés, de répondre aux nombreuses attentes du peuple et de donner des résultats satisfaisants aux audits réclamés par les sénégalais. Les séminaires qu’elle organise doivent servir à apporter des réponses circonstanciées aux problèmes vécus par les sénégalais et non à apporter l’estocade à des alliés embarqués dans le même bateau.

Rewmi n'est pas dans une dynamique de fusion avec l'APR et compte garder toute sa liberté d'action. Sa solidarité à la coalition restera indemne tant qu'il est associé aux prises de décisions. Le Président de la République et son parti sont libres de conduire le pays en solitaire et sans rendre compte à qui que se soit. C'est Macky Sall qui a été élu et qui détient la légitimité populaire. Mais doivent ils aussi savoir qu'à l'impossible et à l'indélicatesse nul n'est tenu de suivre ! Rewmi ne défendra jamais l'indéfendable.

Leur démarche les nuit, nuit à la coalition et non au parti Rewmi que les militants défendront à chaque nouvelle écorchure !

Haby Sirah DIA
habysirahdia@yahoo.fr
habydia.blogspot.com

2.Posté par Sophie le 26/01/2013 10:47 | Alerter
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Fermez les yeux, détendez-vous, laissez-vous bercer par un bon massage doux ou tonique. Le tout,  dans un cadre enchanteur et très discret.
Faites-nous confiance. Le bien-être, c'est notre domaine !!!
Tel: 70 829 95 95 / 33 865 25 21

3.Posté par Ahmadou Diop le 26/01/2013 11:41 | Alerter
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Et la mayonnaise prendra-t-elle ?

Y a-t-il vraiment une justice libre, indépendante du pouvoir politique dans ce pays ? La question nous taraude. Et pour cause. Forge-t-on des chefs d’accusation massifs, bien bétonnés et bidouillés pour achever politiquement, financièrement un présumé coupable pour blanchiment d’argent, escroquerie, association de malfaiteurs ? Alors que le principal commanditaire ne s’inquiétant outre mesure, est libre de toutes poursuites, parce que totalement couvert par son prétendu statut d’immunité en tant qu’ancien chef d’Etat, lequel devient une impunité, fait royalement et tranquillement ses courses, alors que pendant ce temps, pas loin des yeux du locataire en chef d’un palais, il existe des auteurs aux apparences respectables, lesquelles contrastent parfaitement avec des indices tangibles de blanchiment d’argent, d’escroquerie, association de malfaiteurs, qui avouent eux-mêmes publiquement leurs propres forfaitures, au prétexte fallacieux qu’il n’y avait pas eu la cour de répression de l’enrichissement illicite.
Nous voulons parler de l’affaire Hissène Habré, dont le procès est programmé au mois de février et qui continue de défrayer la chronique. N’y a t-il pas deux poids et deux mesures ? Macky Sall pourra-t-il faire l’économie du procès de l’ancien président du Tchad, en gardant dans ses bras son premier ministre Abdoul Mbaye, mouillé jusqu’aux os dans cette affaire scandaleusement décriée ? Qu’est-ce que la Com va nous faire sortir encore pour se dédouaner et pour se tirer d’affaire, comme si rien n’était ?

Alors que pendant ce temps, les prétendus chefs d’accusation éminemment politiques contre Aliou Aïdara Sylla, ouvrent la boite de pandore d’une impunité totale de la justice des vainqueurs imbus dans une république à géométrie variable, dans laquelle du haut de son piédestal, le monarque républicain, sa famille, sa garde rapprochée, ses courtisans-ministrables, sévissent, vaille que vaille, organisent savamment un matraquage politico-médiatique, sans discontinuer, au nom d’une démocratie apparentée à la tyrannie au double standard, tendant par la ruse, à défendre des intérêts clientélistes politico-financiers.
Il y a là les preuves matérielles d’une faillite incontestable d’un Etat de droit et des institutions judiciaires décriées, de l’indépendance à nos jours. Des dysfonctionnements sciemment voulus, inadmissibles et incongrus, font florès, sans que rien l’arrête et auxquels il faut nécessairement corriger la brutalité, sans attendre une minute de plus, au péril de pérenniser l’impunité injurieuse. Cet embastillement arbitraire s’inscrit parfaitement dans une logique de la justice des vainqueurs triomphalistes, condescendants, hautains, ivres de revanches jusqu’à la lie. Et la mayonnaise prendra-t-elle ? Qui vivra, verra et la vérité triomphera, tôt ou tard !

Le combat continue !
Ahmadou Diop

4.Posté par Ahmadou Diop le 26/01/2013 12:58 | Alerter
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Affaire Aliou Aïdara Sylla : le totalitarisme dénie le statut de mérite à un homme d’honneur exceptionnel.


L’objectif majeur dans cette affaire, c’est tout simplement blanchir la mayonnaise d’un totalitarisme ambiant comme de système de gouvernance absolue.
Celui qui est arrivé au pouvoir par les urnes populaires, « démocratise le totalitarisme d’état ». La bête reprend du poil. Dans la plupart des cas, tout régime autoritaire arrive au pouvoir par la voie des urnes. Le locataire du palais ne déroge point à la règle. C’est le propre de tout régime despotique. C’est la voie obscure de l’absolutisme.
Pour commencer, une seule question. Mais qui peut croire en Afrique, sans être ridicule, que les biens mal acquis, spoliés et placés à l’étranger, puissent atterrir de plein droit dans la poche du contribuable africain astiqué ? Rapatriement des biens mal acquis, spoliés et placés à l’étranger ! Une terminologie très emphatique ! Mais cela n’engage que leurs auteurs et « leurs talibés » serviles qui y croient.
A moins que le pays de la téranga, « le bon élève de francophonie », infirme l’exceptionnalité de la règle, jusqu’à preuve du contraire, ce qui équivaut à vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. En réalité, c’est une soustraction politique à libre cours, puisque les commanditaires principaux n’ont que des arrière-pensées dans la perspective d’engranger les seuls bénéfices politiques, demain, pour renouveler un mandat déjà mal parti. Et pour cause.
Plutôt d’informer librement les citoyens, conformément à la liberté d’expression, inscrite à la constitution, une certaine abondance stérile, prend le contrepied de l’esprit républicain, se transforme vulgairement et de façon systématique, en machine de propagande, mécanique infernale, dont l’objectif premier reste, bien évidemment, la désinformation et la manipulation, tendant à couvrir par la ruse, le nouveau élu et sa garde rapprochée.
Comme si cela ne suffisait encore, on en met une couche plus opaque, puisque le débat à l’Assemblée pour la levée de l'immunité parlementaire de trois est une faute politique grave contre la démocratie dans une république normale. C’est même contre productif, aux conséquences incalculables. Autrement dit, il n’y aura plus de députés du peuple et pour le peuple, mais, à contrario, des godillots de Macky Sall.
C’est une confiscation indirecte du pouvoir du peuple souverain, libre et indépendant, qui les a élus que l’on remet en cause, dans les faits. C’est tout simplement du fascisme. C’est donc une trahison pure et simple contre les consciences collectives qu’on tient à aliéner, par ricochet. On ne vote pas en fonction des intérêts politiques, exclusifs d’un président de la république.
Dans l’hypothèse d’un tel vote impensable, le totalitarisme de la gouvernance de Maky Sall s’installera définitivement dans ce pays. Il faut nécessairement un contre-pouvoir salutaire pour équilibrer les pouvoirs.
Autrement dit, ce sera l’émergence d’une Assemblée nationale, qui deviendra de facto, une caisse de résonnance et d’enregistrements acquise pour les beaux yeux d’un dictateur pire que son prédécesseur décrié. On en a déjà un avant-goût amer avec le rapt d’un entrepreneur.
Chaque magistère doit marquer son temps : hier, c’était Bara Tall, sous wade, aujourd’hui, c’est le tour d’Aliou Aïdara Sylla chez le coiffeur. La ressemblance des faits est étrange !
Nous le martelons toujours : « un intellectuel n’est certainement pas un ramassis de connaissances mécaniques, abstraites, au service d’un quelconque politique, mais plutôt, une personne dont l'activité repose sur l'exercice de l'intelligence, qui s'engage dans la sphère publique pour faire part de ses analyses, de ses points de vue sur les sujets les plus variés ou pour défendre des valeurs, et qui dispose d'une forme d'autorité.
Il est donc par excellence l’expression de la société par son autorité morale et son honneur qu’il met en jeu ; et non point un vulgaire opportuniste, s’autorisant tout, à dessein de changer constamment sa trajectoire, telle une girouette, en fonction de ses propres pulsions convertibles à la bonne météo du moment, par des pirouettes indignes que lui procure sa posture bouffonne, sur l’autel d’intérêts crypto personnels, bassement matériels, comme un arrière plan de notoriété. L’homme qu’on a élu à défaut et par dépit, ne peut être un visionnaire, tel qu’on tente de nous le présenter sous de faux postulats. Il est bien la doublure et le calque masqué de son clone.
Une certaine stature supposée intellectuelle, convertie en chiens de garde perd ses pédales et verse dans l’ignominie la plus effroyable.
Décidément, on est au cœur d’une justice des vainqueurs. C’est le moins que l’on puisse dire dans cette affaire sordide dans laquelle rien ne tient. Rien que des accusations stériles, hystériques. Notre chemin ne peut être que celui de la liberté pour faire jaillir la lumière, n’en déplaise à ceux qui ne veulent pas l’entendre de cette oreille !
Macky Sall veut créer son groupe de presse, à l’instar de Berlusconi, son totem. Une première dans l’histoire politique d’un président de la république du pays de la téranga.
Décidément, qu’on le veuille ou non, l’ex député, entrepreneur exceptionnel cristallise tous les regards, les délires et crée un cataclysme surréaliste, sans précédent dans tout l’échiquier politique de ce pays qui perd son Cocc Barma. Cet homme est-il si important au point de susciter autant de passions, de supputations les plus farfelues ? Une vérité établie. La sarabande envoyée aux charbons pour les besoins du service, dénie ouvertement le statut de mérite à cet homme exceptionnel, dont la peau est traînée dans la boue. Si les diplômes pouvaient développer un pays, ça se saurait depuis longtemps.
Un paysan ne peut-il pas être un chef d’entreprise ? Seuls les intellectuels doivent avoir une place de choix dans ce pays inintelligible ? Hugo Chavez, cet ouvrier est devenu président de la république. Et le premier président des Etats-Unis était-il un intellectuel, Abraham Lincoln, le héros de la guerre de sécession ?
Faut-il être borné pour insulter un tel homme ? En réalité, c’est à travers l’affaire Sylla qu’on tente sans le dire, ouvertement d’insulter le monde rural, les marabouts, les ouvriers etc.
l’affaire est devenue comme telle, lorsque le politique tapis dans l’ombre tire les ficelles, en ouvrant le bal. C’est une faute politique d’une gravité exceptionnelle.
Qui est le principal commanditaire qui menace l’identité nationale ? Veut-on créer une société de classe dans laquelle, seuls les instruits doivent être à l’endroit même ? L’identité nationale et la cohésion sociale sont menacées dans ce pays ? Et par qui ?
Certains titres de presse au contenu pestilentiel ne sont rien d’autre qu’une odeur de charogne Prenons au hasard quelques titres ignominieux des auteurs hautement trempés de poison hautement toxiques, qui ne valent rien, si ce n n’est l’étroitesse de leur d’esprit dément. « Aïdara Sylla: de vendeur de pain à homme d’affaires », « dernière minute : Aidara Sylla sous mandat de dépôt », « Aïdara Sylla, le paysan qui construit des châteaux ».
La même rengaine rime parfaitement avec la salissure nauséabonde de la rancune. De tels discours indignes renseignent que le seul responsable actif est le premier magistrat. Il n’y a aucun doute sur ce point là. Plus loin, encore, on boucle la boucle avec des chefs d’accusation bidon : « L’homme d’affaires Aliou Aïdara Sylla vient d’être placé sous mandat de dépôt par le doyen des juges au motif blanchiment, escroquerie, association de malfaiteurs ». Mais faut-il qu’ils puissent aller jusqu’au bout et démontrer avec des preuves tangibles ce qu’ils avancent, sans traîner en justice celui qui est considéré comme « le ndéyi mbilgui », c'est-à-dire Abdoulaye ? Pour cela, pour le faire, il faut absolument porter la culotte.
Dans cette hypothèse impensable, ce sera, assurément la garantie totale des grands déballages à haut débit illimité des salves croustillantes. A défaut, ils se ridiculiseront affreusement comme de pitoyables accusateurs sans cause réelle. Alors, peut-on vraiment accuser Aliou Aïdara Sylla, en épargnant son chef ? Apparemment, c’est ce cas de figure qu’ils optent pour éviter tout risque. En tout état de cause, inculpez Wade ou libérez Aïdara Sylla, comme le révèle Madiambal Diagne, est l’option la plus raisonnable. D’autre part, s’il y a dans ce pays des contrefacteurs indécrottables mouillés, l’action patriotique de certains compense admirablement la lâcheté de la bouffonnerie ordurière. C’est le cas du Docteur Mouhamadou Bamba Ndiaye, dans [opinion]- le régime du président Macky Sall sur une trajectoire d’autodestruction ?
Nous reproduisons ses propos d’une vérité éclatante, sans appel : « Régime du Président Macky Sall sur une trajectoire d’autodestruction ? (De la nécessité de l’implication politique d’une autre génération de »religieux » !!!).
En vérité, ce qui s’est passé entre 2000 et 2012, en termes de mal-gouvernance constitue un véritable naufrage financier qui devrait être considéré comme une haute trahison ; mais, à l’évidence, l’inculpation de l’Ancien Président Abdoulaye WADE risquerait d’entraîner une implosion de la République ; en effet, un tel scénario entraînerait forcément la mise en cause, au moins, de tous les hauts dignitaires de l’Ancien – Régime et leur inculpation pour ‘’complicité de haute trahison’’. Et personne ne peut nier la très lourde responsabilité de l’actuel Président de la République, Mr Macky Sall qui a accompagné le Président Abdoulaye Wade pendant 8 ans sur 12 années de pouvoir – et qui fut son directeur de campagne en 2007, positivant le bilan de son mentor et réussissant à coups de milliards à le réélire ; était-il de bonne foi ou nous cachait-il le chaos que son maître avait déjà installé ? Oui, nier sa responsabilité directe ou indirecte dans ce naufrage relève d’une amnésie certaine ou d’une hypocrisie morbide. Ainsi, pour être crédible dans sa croisade contre les ‘’pilleurs de la République’’, Mr Macky Sall devrait renoncer à ses droits constitutionnels et expliquer aux sénégalais l’origine de son fabuleux patrimoine – C’est là une exigence éthique ! »
A suivre…

Le combat continue !
Ahmadou Diop

5.Posté par Ahmadou Diop le 26/01/2013 13:53 | Alerter
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Affaire Aliou aïdara Sylla : tout pouvoir abusif pour être charismatique, contrôle et musèle la presse, est totalitaire par définition. Circulez, il n’y a rien à voir !


Ainsi, la sarabande reprend servilement et vulgairement en boucle l’ignominie distillée pour qu’elle soit une vérité éternelle.
« On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. [Abraham Lincoln1809-assassiné en avril 1865] ».
« Toute l’eau de la mer ne suffit pas pour laver une tache de sang intellectuelle…[Lautréamont] ».
Aliou Aïdara Sylla paie son crime de lèse-majesté pour son refus de soutenir le candidat des élections présidentielles. C’est la preuve matérielle d’un totalitarisme abject comme système de gouvernance qui commence mal.
Laissons les faire donc dans leur sale guerre de bas étage, de lynchage politico-médiatique, ce à quoi ils excellent exclusivement, obstinément, mais tôt ou tard la vérité triomphera, à coup sûr, quoiqu’ils puissent déverser à longueur de journées des litanies de mensonges cousus de fil blanc qui leur collent à la peau. Le soubassement des chefs d’accusation bidon démontrent clairement que seuls les plus forts doivent avoir une histoire. Ils sont au-dessus des autres, parce qu’ils ont la force publique pour agir en toute impunité. Ils peuvent réduire au silence qui ils veulent, sans qu’on leur applique la même loi. Ces adeptes là finiront par se taire et mourir de leur propre poison. La justice divine prime sur celle des hommes. Et heureusement ! Qui vivra, verra !
« 5 millions de FCfa. C’est la somme dégainée par la Première Dame Marième Faye, pour le financement des jeunes et femmes apéristes de Saint-Louis. Le pactole se trouve entre les mains de son frère Mansour Faye, qui se chargera de le distribuer aux militants ».
Tout pouvoir abusif pour être charismatique, contrôle et musèle la presse, est totalitaire par définition. L’autocratie commence par le contrôle de la presse asservie et réduite en carpe.
Décidément, une certaine presse de caniveau peut-elle faire l’économie des traitres à la pelle de basse classe, dont les accointances avec des lobbies et des oligarchies internationales financières tapis dans l’ombre sont si ténues, au point que nous passons notre temps à n’élire que de piètres médiocres en lieu et place des vrais patriotes ?
On inverse ridiculement les rôles pour amuser la galerie. Le miracle n’aura pas lieu. Le lynchage médiatique à charge contre Aliou Aïdara Sylla masque les charrettes des scandales infinis d’un régime népotique. C’est le moins que l’on puisse dire, car c’est le délire total d’une presse de service, embrigadée et déchainée, qui attend peut être le retour de l’ascenseur, après s’être mise dans le cambouis. Pendant ce temps, l’amateurisme du gouvernemental sur la question sociale, en particulier, les nominations pithiatiques aux relents népotiques tente de blanchir son incongruité pour se faire une bien maigre santé. Mais jusqu’à quand ?
En vérité, Plutôt d’informer librement les citoyens, conformément à la liberté d’expression, inscrite à la constitution, une certaine abondance stérile, prend le contrepied de l’esprit républicain, se transforme vulgairement et de façon systématique, en machine de propagande, mécanique infernale, dont l’objectif premier reste, bien évidemment, la désinformation et la manipulation, tendant à couvrir par la ruse, le nouveau élu et sa garde rapprochée.
Décidément, pour une certaine presse de la farandole aux ordres, déchainée, envoyée lâchement aux charbons, sur l’autel d’un totalitarisme, obéit servilement, pour plaire, espérant ainsi, piteusement, un retour sur investissement. Une curiosité d’une certaine presse pressurisée, vassalisée jusqu’à la lie, se déculotte, se défausse, se déshonore publiquement et affreusement, mais se convertit en machine propagandiste ordurière, passe sous silence Abdoulaye Wade et son fils, sur ordre d’en haut et par manque de courage, mais s’appesantit vulgairement sur Aliou aïdara Sylla et sa famille. Que vient faire sa femme qui gagnerait ou ne gagnerait pas 100.0000 FRANCS ou 1000.000 ? «Macky Sall ne peut pas être aussi riche s’il n’avait pas fait comme ceux qu’ils accusent d’enrichissement illicite».
La culture « du diay dooley » de la revanche et des rancunes matériellement fournies, commence maintenant et tourne en plein régime! Cà est, les drogués de la désinformation et des ignominies monstrueuses, crapuleuses, verbeuses, baveuses, verbeuses au travail maintenant ! Ni les contrevérités, ni les cavalcades des indignes conjurations, l’apanage de la crédibilité douteuse, encore moins, les basses grossièretés, abondantes ne vous honorent point, vous détruisent, au contraire, vous condamnent, vous réduisent en cendre, que ne le fait le pain sur le feu, vous élèvent à votre rang. Vous êtes donc coupables jusqu’à la lie ! Pour une certaine respectabilité de façade, l’immoralité est devenue un gagne-pain, une prière ! N’ont-elles pas honte de vouloir salir un homme de valeur, de haute stature, exceptionnelle, innocente, si ce n’est sa propre liberté qu’il tient comme la prunelle de ses yeux ?
Le discours : « Le parti avant la patrie » cache bien le scandale de « l’affaire Aliou Sall », frère du président et la galaxie des nominations hystériques. C’est la preuve matérielle d’une dilution des consciences. « Je suis président de la république, je nomme donc qui je veux ». Les nominations à flot correspondent au personnage.
La grandeur d’un homme se mesure à l’aune de la lumière qu’il incarne pour faire jaillir l’éternelle vérité et non le contraire.
Les sarcasmes, les insultes éhontées par presse interposée, renforceront notre détermination, au contraire, nous serons encore plus forts que nous ne l’étions. Écrivez, soulevez des montagnes, et dites tout, peu importe, notre chemin ne peut-être que celui de la liberté !
Le chef de l’Etat revendique, également, un parc de trente cinq (35) véhicules divers, sans compter que son épouse, Mme Marième Faye, avec qui il est marié sous le régime de la séparation des biens, est propriétaire de deux villas à Sacré-Cœur 3 et Comico III. Rien que pour la valeur estimé du coût de ses villas sises à Dakar, Niague, Saly et Fatick, nous avoisinons le milliard avec ce chiffre faramineux de 951.520.312 Fcfa.
Eh bien, le népotisme à haut débit devient irrévocablement un mode de gouvernance absolu du maquillage. Une démocratie cliniquement clanique, ouvertement déclarée. Un parti, famille, une dynastie, des courtisans ?
La compétence de la distribution des postes se résume exclusivement à l’aune de l’ethnisme déclaré publiquement, non-éclairé, par devers, sans discontinuer et sur commande recommandée d’en haut, comme seul fonds de commerce, royalement autorisé. C’est le seul critère pour mesurer le baromètre des expériences et les compétences farfelues taillées sur mesure.
« Le parti avant la patrie ». L’homme du moment change son fusil d’épaule et contre toute attente, il reste le chef ubiquitaire de son propre parti dont il est l’unique actionnaire. Le parti du président fait main basse sur tout ce qui est rentable, en se tranchant la meilleure part du lion. Le parti du président occupe tous les postes clés de l’administration, des dg de ramassis dans toutes les entreprises, des parents et proches collaborateurs, tout est passé au peigne fin, rien n’est laissé, même les griots ne sont pas oubliés.
L’idolâtrie du culte de personnalité révulse par son caractère ostentatoire Celui qui nous dirige, maintenant devient un obscur multimilliardaire en l’espace de moins de 8 ans ?
Une telle fortune peut-elle être obtenue avec des dons d’amis ? Curieux non !
Nous y reviendrons largement dans une contribution

Le combat continue !
Ahmadou Diop

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