Les pêcheurs de Mbour arrêtés lors des affrontements lundi avec les forces de l'ordre ont été placés sous mandat de dépôt à la prison de Mbour.
Au nombre de onze ( 11), ils ont été inculpés pour les chefs d’accusation de troubles graves à l’ordre public, destruction de biens publics et privés, incitation à la violence et coups et blessures volontaires contre agents de la force publique dans l’exercice de leurs fonctions. Ces pêcheurs se sont opposés à la construction d'un deuxième quai de pêche à Mbour.
En visite sur les lieux après l’incident, le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Alioune Ndoye, a affirmé que l’opposition à ce projet s’explique par une "désinformation" consistant à faire croire aux populations qu’une usine de farine de poisson est en construction sur le site en question, en lieu et place d’un quai de pêche.
«Il faudra que ceux qui sont allés raconter des contre-vérités et de fausses informations puissent regarder leurs populations en face et assumer cette responsabilité. Nous n’allons pas perdre notre temps», a-t-il dit.
Le ministre de la Pêche n’exclut pas une délocalisation du projet en question, d’autant que « aujourd’hui, tout le monde en est demandeur.»
Au nombre de onze ( 11), ils ont été inculpés pour les chefs d’accusation de troubles graves à l’ordre public, destruction de biens publics et privés, incitation à la violence et coups et blessures volontaires contre agents de la force publique dans l’exercice de leurs fonctions. Ces pêcheurs se sont opposés à la construction d'un deuxième quai de pêche à Mbour.
En visite sur les lieux après l’incident, le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Alioune Ndoye, a affirmé que l’opposition à ce projet s’explique par une "désinformation" consistant à faire croire aux populations qu’une usine de farine de poisson est en construction sur le site en question, en lieu et place d’un quai de pêche.
«Il faudra que ceux qui sont allés raconter des contre-vérités et de fausses informations puissent regarder leurs populations en face et assumer cette responsabilité. Nous n’allons pas perdre notre temps», a-t-il dit.
Le ministre de la Pêche n’exclut pas une délocalisation du projet en question, d’autant que « aujourd’hui, tout le monde en est demandeur.»