Cet accroissement de l’usage du chanvre indien chez nos compatriotes s’explique en grande partie par la pauvreté. Toutefois, Selon Abdoulaye Niang, Directeur de l’Office central de répression du trafique illicite de stupéfiants (OCRTIS), «malgré les efforts intenses fournis par les services de répression (douane, gendarmerie police), jusqu’à présent chaque année on note un accroissement de la consommation et du trafic de chanvre indien (cannabis). Mais, concernant l’héroïne et la cocaïne, plus dangereux que le cannabis, on constate une nette régression des ses deux drogues aussi bien au plan de la consommation qu’au plan du trafic».
Richard
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