‘’Ce n’est pas possible’’, a-t-il martelé, lors de la remise des cahiers des doléances des centrales syndicales au Palais de la République. Le président de la République juge ‘’très faible’’ le niveau de régulation des réseaux sociaux au Sénégal, informe aps sn.
Pour lui, il n’est pas possible de permettre à des gens de se cacher derrière des claviers, pour ‘’détruire la réputation des personnes, des familles, gratuitement’’. Il a averti que ‘’des mesures seront prises rapidement sur ces questions’’.
D’après l’agence de presse, analysant le recul du Sénégal dans le classement mondial de la liberté, il a indiqué que l’Etat n’est pas responsable de cette situation. Selon lui, elle est ‘’principalement due aux agressions’’ dont ont été victimes des journalistes et des organes de presse lors des manifestations et violences survenues au début du mois de mars dernier.
Ces évènements, qui ont éclaté après l’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko, ont vu un ‘’climat de terreur’’ s’installer dans le pays, a dénoncé le chef de l’Etat, jugeant une telle situation ‘’inacceptable’’.
Il dit compter sur les professionnels de médias à travers les conclusions qui sortiront des prochaines assises des médias.
Le Sénégal a reculé de deux places dans le classement mondial de la liberté de la presse 2021 de Reporters sans frontières (RSF), passant de la 47e à la 49e place.
Pour lui, il n’est pas possible de permettre à des gens de se cacher derrière des claviers, pour ‘’détruire la réputation des personnes, des familles, gratuitement’’. Il a averti que ‘’des mesures seront prises rapidement sur ces questions’’.
D’après l’agence de presse, analysant le recul du Sénégal dans le classement mondial de la liberté, il a indiqué que l’Etat n’est pas responsable de cette situation. Selon lui, elle est ‘’principalement due aux agressions’’ dont ont été victimes des journalistes et des organes de presse lors des manifestations et violences survenues au début du mois de mars dernier.
Ces évènements, qui ont éclaté après l’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko, ont vu un ‘’climat de terreur’’ s’installer dans le pays, a dénoncé le chef de l’Etat, jugeant une telle situation ‘’inacceptable’’.
Il dit compter sur les professionnels de médias à travers les conclusions qui sortiront des prochaines assises des médias.
Le Sénégal a reculé de deux places dans le classement mondial de la liberté de la presse 2021 de Reporters sans frontières (RSF), passant de la 47e à la 49e place.