En conférence de presse, à Paris, dans le cadre du M 23, il a osé comparer le Chef de l’Etat, Me Abdoulaye WADE, à CEAUCESCU.
Sur les ondes de RFI, il s’est, même, permis de donner des leçons de morale, lui qui est l’antithèse de toute morale.
Les 53 Ministres des Affaires Etrangères de l’Union Africaine, qui l’ont écouté ont dû éclater de rire. Ce griot de WADE, pendant neuf ans, l’injurie aujourd’hui. Décidément, le ridicule ne tue pas.
Quand notre pays, va-t-il s’indigner devant le comportement d’individus comme Cheikh Tidiane GADIO, à qui Abdoulaye WADE a tout donné et qui le paie, en retour, par ses déclarations assassines et son comportement révoltant et sottement revanchard ?
Comment, le Sénégal accepte-t-il, sans laisser éclater sa colère, le langage injurieux d’un ancien laquais du régime en place, qui prouve par ses actes, qu’il n’a jamais été un homme de conviction, ni un homme de confiance, encore moins, un homme sûr, mais bien un personnage louche et indigne au service de ses seuls intérêts.
Avant l’An 2000, ce mauvais journaliste était presque un SDF aux Etats-Unis.
Il changeait rarement de costumes et se distinguait par la saleté des cols et des poignets des chemises qu’il portait.
WADE l’a sorti de la misère pour en faire un homme respecté.
Il n’avait pour toute arme, que sa connaissance de l’Anglais, référence dont peut se réclamer n’importe quelle bonne, qui vit au pays de l’oncle Sam pendant des années. Il ne connaissait rien à la diplomatie et n’a jamais fréquenté une école de diplomatie.
Nommé Ministre des Affaires Etrangères, il rappelle tous ses amis personnels, qu’il nomme dans les Ambassades les plus importantes, à l’exclusion des diplomates de carrière, leur confie la mission de tisser sa toile, parce que cet aventurier boulimique et carriériste, sans compétence véritable, s’est mis dans la tête, le rêve fou de diriger un jour, le Sénégal.
Il recrute ses parents et alliés au Ministère des Affaires Etrangères, case sa progéniture dans les universités américaines et chinoises et sa femme, dans le Système des Nations-Unies, en usant évidemment, de sa position.
Il parvient à force de ruses, à obtenir la nationalité américaine et accumule une fortune qui lui permet de se construire un véritable château dans le quartier huppé des Almadies, lui, qui n’a jamais été fonctionnaire de l’Etat et n’a disposé, en héritage, d’aucun patrimoine, avant son entrée dans le Gouvernement.
Il courtise tous les Leaders africains capables de lui graisser la patte (Lybie, Maroc, entre autres). Il demande de l’argent à plusieurs Chefs d’Etat.
Lorsqu’on le sort du Gouvernement, à cause de sa duplicité, de ses intrigues, il se dresse en ennemi haineux du Président WADE et n’hésite pas à salir l’image d’un pays, qui lui a, pourtant, tout donné et sans lequel, il serait demeuré un illustre inconnu. Le parti qu’i a créé tient difficilement dans une cabine téléphonique.
Qui va voter pour un traître aussi patenté ?
Un frère malien me disait, en écoutant GADIO, plastronner devant les médiats, en Europe : « Il y a des choses qu’on ne voit que dans votre pays. Je plains le Sénégal.
Lorsqu’on érige des traîtres en héros, la morale perd tous ses droits. Votre pays ne mérite pas cela, car l’exemple de GADIO n’est pas un produit d’exportation.
Un homme comme lui, on ne le glorifie pas. On l’accable jusqu’à ce qu’il s’efface. Des hommes comme GADIO sont une honte pour notre continent. Dans mon pays, quand on le voit à, la télévision, on éteint son poste, pour que son exemple n’influence pas nos enfants ».
S. M. DIOP
Sur les ondes de RFI, il s’est, même, permis de donner des leçons de morale, lui qui est l’antithèse de toute morale.
Les 53 Ministres des Affaires Etrangères de l’Union Africaine, qui l’ont écouté ont dû éclater de rire. Ce griot de WADE, pendant neuf ans, l’injurie aujourd’hui. Décidément, le ridicule ne tue pas.
Quand notre pays, va-t-il s’indigner devant le comportement d’individus comme Cheikh Tidiane GADIO, à qui Abdoulaye WADE a tout donné et qui le paie, en retour, par ses déclarations assassines et son comportement révoltant et sottement revanchard ?
Comment, le Sénégal accepte-t-il, sans laisser éclater sa colère, le langage injurieux d’un ancien laquais du régime en place, qui prouve par ses actes, qu’il n’a jamais été un homme de conviction, ni un homme de confiance, encore moins, un homme sûr, mais bien un personnage louche et indigne au service de ses seuls intérêts.
Avant l’An 2000, ce mauvais journaliste était presque un SDF aux Etats-Unis.
Il changeait rarement de costumes et se distinguait par la saleté des cols et des poignets des chemises qu’il portait.
WADE l’a sorti de la misère pour en faire un homme respecté.
Il n’avait pour toute arme, que sa connaissance de l’Anglais, référence dont peut se réclamer n’importe quelle bonne, qui vit au pays de l’oncle Sam pendant des années. Il ne connaissait rien à la diplomatie et n’a jamais fréquenté une école de diplomatie.
Nommé Ministre des Affaires Etrangères, il rappelle tous ses amis personnels, qu’il nomme dans les Ambassades les plus importantes, à l’exclusion des diplomates de carrière, leur confie la mission de tisser sa toile, parce que cet aventurier boulimique et carriériste, sans compétence véritable, s’est mis dans la tête, le rêve fou de diriger un jour, le Sénégal.
Il recrute ses parents et alliés au Ministère des Affaires Etrangères, case sa progéniture dans les universités américaines et chinoises et sa femme, dans le Système des Nations-Unies, en usant évidemment, de sa position.
Il parvient à force de ruses, à obtenir la nationalité américaine et accumule une fortune qui lui permet de se construire un véritable château dans le quartier huppé des Almadies, lui, qui n’a jamais été fonctionnaire de l’Etat et n’a disposé, en héritage, d’aucun patrimoine, avant son entrée dans le Gouvernement.
Il courtise tous les Leaders africains capables de lui graisser la patte (Lybie, Maroc, entre autres). Il demande de l’argent à plusieurs Chefs d’Etat.
Lorsqu’on le sort du Gouvernement, à cause de sa duplicité, de ses intrigues, il se dresse en ennemi haineux du Président WADE et n’hésite pas à salir l’image d’un pays, qui lui a, pourtant, tout donné et sans lequel, il serait demeuré un illustre inconnu. Le parti qu’i a créé tient difficilement dans une cabine téléphonique.
Qui va voter pour un traître aussi patenté ?
Un frère malien me disait, en écoutant GADIO, plastronner devant les médiats, en Europe : « Il y a des choses qu’on ne voit que dans votre pays. Je plains le Sénégal.
Lorsqu’on érige des traîtres en héros, la morale perd tous ses droits. Votre pays ne mérite pas cela, car l’exemple de GADIO n’est pas un produit d’exportation.
Un homme comme lui, on ne le glorifie pas. On l’accable jusqu’à ce qu’il s’efface. Des hommes comme GADIO sont une honte pour notre continent. Dans mon pays, quand on le voit à, la télévision, on éteint son poste, pour que son exemple n’influence pas nos enfants ».
S. M. DIOP