Dans la quatrième de couverture du livre « Gouverner, c’est paraître » de l’éminent Jean-Marie Cotteret, professeur émérite du Département de Sciences Politiques de la Sorbonne et ancien membre du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel, il est écrit, en partie ceci : « L’élection n’est pas la seule source de légitimité des hommes politiques au pouvoir. Ceux qui possèdent l’aptitude à communiquer, la maîtrise des moyens audiovisuels, bénéficient d’une autorité sans égale : le pouvoir appartient aux plus apparents ».
De ce qui précède, pour les partis politiques, communiquer dans les règles de l’art, n’est pas un choix, c’est une nécessité, voire un devoir !
Cependant, pour peu qu’on soit observateur de la scène politique sénégalaise, nous sommes au regret de constater que nombreux sont les responsables de structures étatiques qui ne communiquent pas, ou pas fréquemment. Et pourtant, dans notre formation politique (APR), ceux qui bénéficient de la confiance du président de la République Macky Sall, devraient ainsi porter sa politique de développement bien définie dans le Plan Sénégal Émergent (PSE).
Or, quand on gère les politiques publiques, le bon sens voudrait qu’on l’assume entièrement et, par-dessus tout, Communiquer ou faire Communiquer. De ce fait, il faut alors rappeler que la communication administrative répond à l’exigence dite « la règle de 3 », axée autour de trois piliers déterminants de l’exercice du pouvoir, à savoir :
« Le Porteur du pouvoir », qui est l’individu mandaté par le peuple à travers un suffrage électoral dans un contexte démocratique, qui dans ce cas précis, est incarné par Son Excellence le Président Macky Sall ;
« Les porteurs du porteur du pouvoir », c’est-à-dire les personnes à qui le Président Macky Sall a instruit de traduire sa politique et de mener des actes concrets, s’appuyant sur la communication qui est un outil de prédilection pour rendre plus visible et matérialiser sa politique de développement, sont aux abonnés absents du moins, pour nombre d’entre eux ;
La conséquence de cette défaillance en communication, se fait ressentir auprès du troisième déterminant du pouvoir, à savoir « les destinataires du pouvoir », c’est-à-dire les Populations sur lesquelles le pouvoir est exercé et qui ne sont pas suffisamment informées de l’énorme chantier réalisé par le président de la République, en seulement huit (8) ans.
En contribution, l’expertise des techniciens…
Dans l’administration, les techniciens sont les détenteurs de la vraie information. De ce fait, communiquer à travers les hommes de terrain n’est pas chose compliquée. Toutefois, cela exige que ceux-ci soient impliqués davantage dans la planification, l’élaboration et la mise en œuvre des dossiers. À défaut, ils n’accepteront jamais de monter au créneau pour défendre un dossier inconnu.
Étant des maillons clés dans la communication administrative, ces hommes et femmes des départements ministériels ont une bonne maîtrise de la gestion étatique. Ils doivent juste bénéficier de la confiance de leurs supérieurs hiérarchiques qui, à leur tour, les mettront dans de bonnes conditions de travail. Ceci permettra d’éviter la politique de la chaise vide face à des adversaires qui ne vivent que de manipulations et de diversions.
Pour rappel, la communication administrative doit être organisée autour d'un cadre qui définit son champ d'application, en maintenant sa spécificité. Elle demande une volonté réelle d'informer le citoyen en lui transmettant des messages concis et précis, tout en restant fidèle au secret de l'action administrative. Autant de choses qui rendent obligatoire et impérieuse, la définition d’une stratégie de communication harmonisée, structurante et efficiente.
Il s’agit, ici, d’actions de communication qui viseront à assurer la gestion de l’information et des relations avec des publics tels que les acteurs, les partenaires au développement, les ONG, la population de manière générale. Il s’agit aussi, par le biais des actions concrètes, d’informer correctement les médias de masse qui apparaissent comme des relais pour conforter l’information. De nos jours, toutes les structures étatiques ont une obligation de communiquer, à suffisance et selon les règles prédéfinies.
Au Sénégal, faute de moyens et de stratégie, la communication est à prédominance médiatique, focalisée essentiellement sur la couverture médiatique. Des créneaux sont cependant mis à profit, pour des actions de communication hors médias, mais de manière ponctuelle et circonstancielle.
Rappelons que la communication administrative exige le respect de toutes les formes de communication, en faisant de sorte que les canaux, principes et normes soient respectés. Elle exige la définition des options stratégiques, l’identification des cibles, la conception des supports, le choix des acteurs, l’élaboration d’une stratégie de mise en œuvre, entre autres. La communication devra être menée de manière horizontale, ascendante et descendante, en interne comme en externe.
À cet effet, et au-delà des relations médias, toute action de communication doit être menée dans une démarche inclusive et participative, et toujours transmise par des supports de qualité, en adéquation avec la cible. La finalité est ainsi d’obtenir une dynamique d’ensemble de tous les acteurs, pour une bonne appropriation des politiques publiques, en ces périodes où la manipulation et la diversion sont devenues de nouvelles formes de communication politique au détriment, non seulement des tenants du pouvoir et de l’opinion publique, mais également de ceux et celles qui la pratiquent.
Chers camarades, éviter les plateaux, micros ou interview de la presse écrite, n’honorent ni le gouvernement ni la mouvance présidentielle encore moins notre parti. Nous nous devons, d’occuper les plateaux de télés, d’arracher les micros des radios, de répondre toujours présent aux questions de la presse écrite et des journaux en ligne. En le faisant ainsi, nous nous conformerons à la ligne directrice du Président Macky Sall à travers le PSE pour un Sénégal émergent à l’horizon 2035. Pour l’atteinte de cet objectif, nous avons besoin que les Sénégalais s’approprient de cette politique de développement.
Nous nous devons donc de posséder l’aptitude à communiquer, à maîtriser les moyens audiovisuels, pour bénéficier d’une autorité sans égale car, « le pouvoir appartient aux plus apparents », nous rappelle Jean-Marie Cotteret.
Par Talibouya AIDARA
Communicant/Journaliste,
Membre de la Convergence des Cadres Républicains
Département de Bignona, Commune Kataba1
Email : aidara.or.t@gmail.com
De ce qui précède, pour les partis politiques, communiquer dans les règles de l’art, n’est pas un choix, c’est une nécessité, voire un devoir !
Cependant, pour peu qu’on soit observateur de la scène politique sénégalaise, nous sommes au regret de constater que nombreux sont les responsables de structures étatiques qui ne communiquent pas, ou pas fréquemment. Et pourtant, dans notre formation politique (APR), ceux qui bénéficient de la confiance du président de la République Macky Sall, devraient ainsi porter sa politique de développement bien définie dans le Plan Sénégal Émergent (PSE).
Or, quand on gère les politiques publiques, le bon sens voudrait qu’on l’assume entièrement et, par-dessus tout, Communiquer ou faire Communiquer. De ce fait, il faut alors rappeler que la communication administrative répond à l’exigence dite « la règle de 3 », axée autour de trois piliers déterminants de l’exercice du pouvoir, à savoir :
« Le Porteur du pouvoir », qui est l’individu mandaté par le peuple à travers un suffrage électoral dans un contexte démocratique, qui dans ce cas précis, est incarné par Son Excellence le Président Macky Sall ;
« Les porteurs du porteur du pouvoir », c’est-à-dire les personnes à qui le Président Macky Sall a instruit de traduire sa politique et de mener des actes concrets, s’appuyant sur la communication qui est un outil de prédilection pour rendre plus visible et matérialiser sa politique de développement, sont aux abonnés absents du moins, pour nombre d’entre eux ;
La conséquence de cette défaillance en communication, se fait ressentir auprès du troisième déterminant du pouvoir, à savoir « les destinataires du pouvoir », c’est-à-dire les Populations sur lesquelles le pouvoir est exercé et qui ne sont pas suffisamment informées de l’énorme chantier réalisé par le président de la République, en seulement huit (8) ans.
En contribution, l’expertise des techniciens…
Dans l’administration, les techniciens sont les détenteurs de la vraie information. De ce fait, communiquer à travers les hommes de terrain n’est pas chose compliquée. Toutefois, cela exige que ceux-ci soient impliqués davantage dans la planification, l’élaboration et la mise en œuvre des dossiers. À défaut, ils n’accepteront jamais de monter au créneau pour défendre un dossier inconnu.
Étant des maillons clés dans la communication administrative, ces hommes et femmes des départements ministériels ont une bonne maîtrise de la gestion étatique. Ils doivent juste bénéficier de la confiance de leurs supérieurs hiérarchiques qui, à leur tour, les mettront dans de bonnes conditions de travail. Ceci permettra d’éviter la politique de la chaise vide face à des adversaires qui ne vivent que de manipulations et de diversions.
Pour rappel, la communication administrative doit être organisée autour d'un cadre qui définit son champ d'application, en maintenant sa spécificité. Elle demande une volonté réelle d'informer le citoyen en lui transmettant des messages concis et précis, tout en restant fidèle au secret de l'action administrative. Autant de choses qui rendent obligatoire et impérieuse, la définition d’une stratégie de communication harmonisée, structurante et efficiente.
Il s’agit, ici, d’actions de communication qui viseront à assurer la gestion de l’information et des relations avec des publics tels que les acteurs, les partenaires au développement, les ONG, la population de manière générale. Il s’agit aussi, par le biais des actions concrètes, d’informer correctement les médias de masse qui apparaissent comme des relais pour conforter l’information. De nos jours, toutes les structures étatiques ont une obligation de communiquer, à suffisance et selon les règles prédéfinies.
Au Sénégal, faute de moyens et de stratégie, la communication est à prédominance médiatique, focalisée essentiellement sur la couverture médiatique. Des créneaux sont cependant mis à profit, pour des actions de communication hors médias, mais de manière ponctuelle et circonstancielle.
Rappelons que la communication administrative exige le respect de toutes les formes de communication, en faisant de sorte que les canaux, principes et normes soient respectés. Elle exige la définition des options stratégiques, l’identification des cibles, la conception des supports, le choix des acteurs, l’élaboration d’une stratégie de mise en œuvre, entre autres. La communication devra être menée de manière horizontale, ascendante et descendante, en interne comme en externe.
À cet effet, et au-delà des relations médias, toute action de communication doit être menée dans une démarche inclusive et participative, et toujours transmise par des supports de qualité, en adéquation avec la cible. La finalité est ainsi d’obtenir une dynamique d’ensemble de tous les acteurs, pour une bonne appropriation des politiques publiques, en ces périodes où la manipulation et la diversion sont devenues de nouvelles formes de communication politique au détriment, non seulement des tenants du pouvoir et de l’opinion publique, mais également de ceux et celles qui la pratiquent.
Chers camarades, éviter les plateaux, micros ou interview de la presse écrite, n’honorent ni le gouvernement ni la mouvance présidentielle encore moins notre parti. Nous nous devons, d’occuper les plateaux de télés, d’arracher les micros des radios, de répondre toujours présent aux questions de la presse écrite et des journaux en ligne. En le faisant ainsi, nous nous conformerons à la ligne directrice du Président Macky Sall à travers le PSE pour un Sénégal émergent à l’horizon 2035. Pour l’atteinte de cet objectif, nous avons besoin que les Sénégalais s’approprient de cette politique de développement.
Nous nous devons donc de posséder l’aptitude à communiquer, à maîtriser les moyens audiovisuels, pour bénéficier d’une autorité sans égale car, « le pouvoir appartient aux plus apparents », nous rappelle Jean-Marie Cotteret.
Par Talibouya AIDARA
Communicant/Journaliste,
Membre de la Convergence des Cadres Républicains
Département de Bignona, Commune Kataba1
Email : aidara.or.t@gmail.com