Une enquête judiciaire est ouverte au Sénégal pour déterminer les circonstances à l’origine de la disparition, depuis samedi soir, d’un avion de la compagnie privée Sénégalair, a annoncé lundi la ministre du Tourisme et des Transports aériens, Maïmouna Ndoye Seck.
Cette enquête est menée par une équipe constituée de représentants de la Police, de la Gendarmerie, du ministère des Transports aériens et de la Division des investigations criminelles (DIC), a précisé Mme Seck lors d’une conférence de presse.
Un avion médical de la compagnie privée Sénégalair est porté disparu depuis samedi soir. Son dernier contact avec les services aéroportuaires à Dakar a eu lieu peu après 19h, lorsque l’appareil se trouvait à 111 km à l’ouest de Dakar, en mer, selon l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
L’avion parti de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, avait à bord sept passagers : les trois membres de l’équipage, à savoir deux Algériens et un Congolais, un médecin sénégalais et deux de ses compatriotes, qui sont infirmiers et une patiente de nationalité française.
Selon Maïmouna Ndoye Seck, le Sénégal a mis en place le Bureau d’enquête et d’analyse pour la sécurité de l’aviation civile (BEA), dimanche, par décret présidentiel, pour déterminer les circonstances et les causes de l’"accident" ou de l’"incident" de l’aéronef de Sénégalair.
Le président Macky Sall a nommé l’expert en aviation Amadou Lamine Traoré à la tête de cette structure semblable au Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile, un organisme français de même sigle, souvent sollicité dans le monde pour élucider les circonstances des accidents d’avion.
M. Traoré, expert des enquêtes sur les accidents d’avion, a capitalisé 34 ans d’expérience dans ce domaine, selon Maïmouna Ndoye Seck.
Le BEA est chargé de "prévenir la survenue d’autres accidents ou incidents et formuler des recommandations de sécurité et de sûreté", a-t-elle expliqué.
APS
Cette enquête est menée par une équipe constituée de représentants de la Police, de la Gendarmerie, du ministère des Transports aériens et de la Division des investigations criminelles (DIC), a précisé Mme Seck lors d’une conférence de presse.
Un avion médical de la compagnie privée Sénégalair est porté disparu depuis samedi soir. Son dernier contact avec les services aéroportuaires à Dakar a eu lieu peu après 19h, lorsque l’appareil se trouvait à 111 km à l’ouest de Dakar, en mer, selon l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
L’avion parti de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, avait à bord sept passagers : les trois membres de l’équipage, à savoir deux Algériens et un Congolais, un médecin sénégalais et deux de ses compatriotes, qui sont infirmiers et une patiente de nationalité française.
Selon Maïmouna Ndoye Seck, le Sénégal a mis en place le Bureau d’enquête et d’analyse pour la sécurité de l’aviation civile (BEA), dimanche, par décret présidentiel, pour déterminer les circonstances et les causes de l’"accident" ou de l’"incident" de l’aéronef de Sénégalair.
Le président Macky Sall a nommé l’expert en aviation Amadou Lamine Traoré à la tête de cette structure semblable au Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile, un organisme français de même sigle, souvent sollicité dans le monde pour élucider les circonstances des accidents d’avion.
M. Traoré, expert des enquêtes sur les accidents d’avion, a capitalisé 34 ans d’expérience dans ce domaine, selon Maïmouna Ndoye Seck.
Le BEA est chargé de "prévenir la survenue d’autres accidents ou incidents et formuler des recommandations de sécurité et de sûreté", a-t-elle expliqué.
APS