Selon "L'Info", le patron de Sedima s'est attiré les foudres des internautes après avoir publié sur sa page Facebook, des photos de femmes en uniforme, travaillant dans le périmètre. Ces images ont ravivé la colère se des détracteurs.
Pour Seydi Gassama de Amnesty international, "il serait intéressant de savoir la paie journalière de ces ouvrières en uniforme".
A Djilakh, selon Thierno Diop, "on leur paye 1500 FCfa la journée sous ce chaud soleil. Une exploitation revendiquée par les paysans qui demande la restitution de leurs 80 hectares", peste-t-il.
Par contre, un autre riverain de Djilakh, Thierno Seydou Faye, "nous qui vivons dans ce village, nous pouvons être les plus grands témoins de l'impact social (du projet) dans cette zone". Il jure que que le chômage n'existe plus dans son village de Djilakh.
Pour Seydi Gassama de Amnesty international, "il serait intéressant de savoir la paie journalière de ces ouvrières en uniforme".
A Djilakh, selon Thierno Diop, "on leur paye 1500 FCfa la journée sous ce chaud soleil. Une exploitation revendiquée par les paysans qui demande la restitution de leurs 80 hectares", peste-t-il.
Par contre, un autre riverain de Djilakh, Thierno Seydou Faye, "nous qui vivons dans ce village, nous pouvons être les plus grands témoins de l'impact social (du projet) dans cette zone". Il jure que que le chômage n'existe plus dans son village de Djilakh.