Mais aussi d’un centre de diagnostic et d’imagerie médical, afin de renforcer le centre hospitalier de Fatick. Il inclut également la fourniture d’un ensemble d’équipement destinés à moderniser les services d’imagerie médicale des hôpitaux du pays, ainsi que d’un lot d’une centaine d’ambulances. Ceci a été approuvé par le ministère des Finances et du Budget, le 15 septembre dernier.
En effet, les tractations en vue du « deal » ont démarré au printemps dernier et ont mobilisé un nombre restreint d’acteurs, au premier rang desquels, l’actuelle ministre de la Santé, Marie Khémesse Ngom Ndiaye. Afin de justifier cet ensemble de commandes par une procédure d’entente directe, elle a invoqué une série d’arguments, parmi lesquels une « urgence impérieuse » liée aux émeutes de mars 2021 et de juin 2023.
D’après le journal "La Tribune", dans un courrier du 15 juin 2023, à la Direction centrale des marchés publics, le ministre de la Santé avait estimé que les incidents avaient exacerbé le besoin pour l’État du Sénégalais, de booster ses capacités sanitaires. La ministre a également mis en avant la nécessité de mieux prévenir les menaces épidémiques, parmi lesquelles la dengue, le Covid-19 ou encore la fièvre hémorragique de Crimée-Congo.
L’argumentaire a convaincu la Direction centrale des marchés publics, qui lui a signifié son accord pour une procédure de gré-à-gré, dans une lettre estampillée « confidentielle », datée du 16 juin 2023.
En effet, les tractations en vue du « deal » ont démarré au printemps dernier et ont mobilisé un nombre restreint d’acteurs, au premier rang desquels, l’actuelle ministre de la Santé, Marie Khémesse Ngom Ndiaye. Afin de justifier cet ensemble de commandes par une procédure d’entente directe, elle a invoqué une série d’arguments, parmi lesquels une « urgence impérieuse » liée aux émeutes de mars 2021 et de juin 2023.
D’après le journal "La Tribune", dans un courrier du 15 juin 2023, à la Direction centrale des marchés publics, le ministre de la Santé avait estimé que les incidents avaient exacerbé le besoin pour l’État du Sénégalais, de booster ses capacités sanitaires. La ministre a également mis en avant la nécessité de mieux prévenir les menaces épidémiques, parmi lesquelles la dengue, le Covid-19 ou encore la fièvre hémorragique de Crimée-Congo.
L’argumentaire a convaincu la Direction centrale des marchés publics, qui lui a signifié son accord pour une procédure de gré-à-gré, dans une lettre estampillée « confidentielle », datée du 16 juin 2023.