L’exploitation artisanale de l’or continue d’endeuiller les zones aurifères de la région minière. Jeudi dernier, à la psychose des bandes armées s’est ajoutée une série de d’éboulements.
Et ces drames ne font que des victimes étrangères qui avaient choisi de descendre dans des puits, communément appelés « daama », à la recherche du métal précieux, dans deux sites d’orpaillages distincts de Kédougou.
C’est très tôt le matin que le premier ca s d’éboulement a été enregistré à Sayenkoto, un village de Khossanto. Le défunt Asseny Sawadogo, un Burkinabé, a été extrait du fond d’un puits d’une profondeur de 25 mètres où il cherchait de l’or. La triste nouvelle n’avait pas fini de faire le tour d la zone qu’un autre cas d’éboulement est annoncé à Koulidindy, à la mi-journée du même jeudi.
Les défunts, Souleymane Keïta et Maciré Niakhasso, originaires de Guinée Conakry, ont a été surpris par l’affaissement de leur « Daama ». Leurs corps sans vie seront extraits par les orpailleurs. Alertés, les éléments de la compagnie de gendarmerie de Kédougou se sont déployés sur place, pour les constats d’usage. Après quoi, les dépouilles ont été déposées à la morgue du district sanitaire local. En moins de deux mois, c’est la cinquième fois que de tels accidents frappent les « diouras ».
L’Observateur
Et ces drames ne font que des victimes étrangères qui avaient choisi de descendre dans des puits, communément appelés « daama », à la recherche du métal précieux, dans deux sites d’orpaillages distincts de Kédougou.
C’est très tôt le matin que le premier ca s d’éboulement a été enregistré à Sayenkoto, un village de Khossanto. Le défunt Asseny Sawadogo, un Burkinabé, a été extrait du fond d’un puits d’une profondeur de 25 mètres où il cherchait de l’or. La triste nouvelle n’avait pas fini de faire le tour d la zone qu’un autre cas d’éboulement est annoncé à Koulidindy, à la mi-journée du même jeudi.
Les défunts, Souleymane Keïta et Maciré Niakhasso, originaires de Guinée Conakry, ont a été surpris par l’affaissement de leur « Daama ». Leurs corps sans vie seront extraits par les orpailleurs. Alertés, les éléments de la compagnie de gendarmerie de Kédougou se sont déployés sur place, pour les constats d’usage. Après quoi, les dépouilles ont été déposées à la morgue du district sanitaire local. En moins de deux mois, c’est la cinquième fois que de tels accidents frappent les « diouras ».
L’Observateur