Les faits reprochés à Khadim Bâ concernent des infractions présumées liées à ces deux sociétés, mais ses défenseurs affirment qu'il n’a aucun lien juridique ou opérationnel avec elles. Selon eux, cette situation est un malentendu et la garde à vue de leur client serait injustifiée.
Les avocats de Khadim Bâ dénoncent une détention abusive et travaillent à prouver son innocence, en démontrant qu’il n’est impliqué ni la gestion ni dans les activités de Dermond Oil ou de Gas Africa. Ils exigent sa libération immédiate et soulignent que leur client est victime d’un amalgame qui pourrait porter préjudice à sa réputation.
Cette affaire suscite déjà l’attention de l’opinion publique et plusieurs voix s’élèvent pour exprimer leur soutien à Khadim Bâ. Les autorités douanières n’ont pas encore communiqué les détails des infractions en question, mais les défenseurs de l’homme d’affaires restent confiants quant à l’issue favorable de cette affaire.
Khadim Bâ a passé la nuit dernière à la brigade de gendarmerie de la Foire, après avoir été interrogé par les services douaniers et placé en garde-à-vue, pour une infraction liée à la réglementation des changes. Selon les informations révélées par "Libération", la Douane lui réclame la somme colossale de 215 milliards FCfa. Cependant, l'homme d'affaires conteste ces accusations, affirmant, à travers ses avocats, que l'enquête porterait sur la société Dermond Oil & Gas Africa, une entité avec laquelle il n’a aucun lien juridique. "Monsieur Khadim Bâ n'est ni le représentant légal ni le directeur général ni le président du Conseil d'administration de Dermond Oil & Gas Africa", précisent ses conseils.
De plus, ses avocats soulignent que Khadim Bâ "n’est pas importateur de produits pétroliers", expliquant que la Société africaine de raffinage (SAR) est l’unique importateur légalement reconnu dans ce cadre. Par conséquent, Khadim Bâ est totalement étranger à toute infraction douanière liée à la réglementation des changes, insistent-ils.
L'homme d'affaires avait déjà été convoqué les 19 et 24 septembre 2024, avant d’être appréhendé le jour suivant, aux alentours de midi. Ses avocats dénoncent l'irrégularité de la procédure, estimant que leur client n'a pas pu bénéficier de l'assistance juridique requise lors de son interrogatoire. "Monsieur Khadim Bâ a été victime de ces violations, alors même qu'il n'a rien à se reprocher", soutiennent-ils, ajoutant qu'aucune loi ou réglementation communautaire ne lui impose une quelconque obligation de rapatriement de devises.
En signant le procès-verbal, Khadim Bâ a précisé : "Mon droit à être assisté par mes avocats a été bafoué, ainsi que mon droit à organiser ma défense". Il a vigoureusement contesté toutes les accusations portées contre lui et dénoncé le déroulement de l’enquête, réaffirmant son droit à se défendre face aux accusations qu’il juge infondées.
Les avocats de Khadim Bâ dénoncent une détention abusive et travaillent à prouver son innocence, en démontrant qu’il n’est impliqué ni la gestion ni dans les activités de Dermond Oil ou de Gas Africa. Ils exigent sa libération immédiate et soulignent que leur client est victime d’un amalgame qui pourrait porter préjudice à sa réputation.
Cette affaire suscite déjà l’attention de l’opinion publique et plusieurs voix s’élèvent pour exprimer leur soutien à Khadim Bâ. Les autorités douanières n’ont pas encore communiqué les détails des infractions en question, mais les défenseurs de l’homme d’affaires restent confiants quant à l’issue favorable de cette affaire.
Khadim Bâ a passé la nuit dernière à la brigade de gendarmerie de la Foire, après avoir été interrogé par les services douaniers et placé en garde-à-vue, pour une infraction liée à la réglementation des changes. Selon les informations révélées par "Libération", la Douane lui réclame la somme colossale de 215 milliards FCfa. Cependant, l'homme d'affaires conteste ces accusations, affirmant, à travers ses avocats, que l'enquête porterait sur la société Dermond Oil & Gas Africa, une entité avec laquelle il n’a aucun lien juridique. "Monsieur Khadim Bâ n'est ni le représentant légal ni le directeur général ni le président du Conseil d'administration de Dermond Oil & Gas Africa", précisent ses conseils.
De plus, ses avocats soulignent que Khadim Bâ "n’est pas importateur de produits pétroliers", expliquant que la Société africaine de raffinage (SAR) est l’unique importateur légalement reconnu dans ce cadre. Par conséquent, Khadim Bâ est totalement étranger à toute infraction douanière liée à la réglementation des changes, insistent-ils.
L'homme d'affaires avait déjà été convoqué les 19 et 24 septembre 2024, avant d’être appréhendé le jour suivant, aux alentours de midi. Ses avocats dénoncent l'irrégularité de la procédure, estimant que leur client n'a pas pu bénéficier de l'assistance juridique requise lors de son interrogatoire. "Monsieur Khadim Bâ a été victime de ces violations, alors même qu'il n'a rien à se reprocher", soutiennent-ils, ajoutant qu'aucune loi ou réglementation communautaire ne lui impose une quelconque obligation de rapatriement de devises.
En signant le procès-verbal, Khadim Bâ a précisé : "Mon droit à être assisté par mes avocats a été bafoué, ainsi que mon droit à organiser ma défense". Il a vigoureusement contesté toutes les accusations portées contre lui et dénoncé le déroulement de l’enquête, réaffirmant son droit à se défendre face aux accusations qu’il juge infondées.